Le Déisme

de Voltaire, écrit en 1736. Voltaire est alors âgé de 42 ans, et possède déjà une grande notoriété de célèbre écrivain aimant l’aisance matérielle, et faisant parti du mouvement des lumières. On trouve dans son écriture des traces d’optimisme, de déisme, religion sans dogme à laquelle il croyait, ainsi que l’enthousiasme des lumières, par la foi en l’homme et en la civilisation. Dans ce poème, composé de 82 vers formés de décasyllabes, Voltaire fait l’éloge du progrès économique, un des thèmes

tonsure de l'évêque de Langres. Arrivé à Paris, son parcours académique se fait dans des institutions d'obédience catholique, comme la Sorbonne. C'est au gré de ses lectures que sa foi va s'étioler et Diderot semble évoluer de la foi vers le théisme, le déisme et enfin souscrire aux idées matérialistes. C'est cette évolution que l'on constate des Pensées philosophiques à la Lettre sur les aveugles à l'usage de ceux qui voient. Plus tard, ces positions sont confirmées dans le Supplément au voyage de Bougainville

effet le meilleur fondement de la morale pour les esprits simples. Quant aux « philosophes », ils peuvent s’en passer : leur raison suffit à les maintenir dans la morale. Le déisme Voltairien : Conscient des limites de l’homme, Voltaire s’interdit de définir Dieu avec plus de précision : tel est le point de départ de son déisme. Il y a, « dans l’âme de Voltaire quelque chose de l’enthousiasme que devaient éprouver les premiers chrétiens », qu’il rêve de fonder « une religion qu’il croit nouvelle

l’absurdité de certains modes de pensée. Les philosophes des Lumières ne se contentent pas de critiquer et de contester : ils agissent et apportent des solutions nouvelles. Ils proposent ainsi d’instaurer une monarchie parlementaire, penchent pour le déisme en matière de religion préconisent le développement de l’éducation, défendent l’idée de la vaccination. Dans le Contrat social, Rousseau apparaît comme novateur en matières d’organisation politique. Beaucoup de ces idées novatrices seront reprises

Cours d'Histoire du 18-05-2012 Maximilien de Robespierre Club des jacobins Culte de l'être suprême -> déisme La Terreur: régime policier basé sur des exécutions quotidiennes Sur l'économie, le maximum est pris. Deuxième mesure importante, la loi des suspects (doc 5 page 285), septembre 1793, elle permet de mettre en place la terreur, d'arrêter n'importe qui, les tribunaux populaires. Bilan: dizaines de milliers de gens guillotinés en quelques mois, dans cette période va avoir lieu une

une chose admirable que ce gouvernement (…) les Pères y ont tout et les peuples rien ; c’est le chef-d’œuvre de la raison et de la justice ». 2°) Les utopies valorisées : • L’Eldorado : On retrouve dans l'El dorado, la religion naturelle et le Déisme, un urbanisme organisé, un palais des sciences, une atmosphère de tolérance, de liberté, d’hospitalité, un pouvoir sans répression. Nenamoins, l’Eldorado est un modèle théorique, irréalisable. Comme Thunder-ten-tronckh, c’est un monde clos, isolé

d’embellir sa vie par la science, l’industrie, les arts et par une bonne « police » des sociétés. Ainsi, la vie en commun ne serait pas possible sans une convention où chacun trouve son compte. ------------------------------------------------- Le déisme Anticlérical, il dénonce de manière virulente les dogmes des religions. Il croit cependant en un Dieu créateur et non révélé. Ses positions sont donc proches de celles des déistes anglais. Pour lui, la petitesse de l'homme perdu dans l'immensité

autonomie. On notera donc l’importance pour la philosophie d’auteurs comme Anselme de Cantorbery, Duns Scot, Guillaume d'Occam ou Thomas d'Aquin. Par ailleurs, certains courants philosophiques ont eu tendance à vouloir remplacer le fait religieux. Le déisme pose un dieu créateur mais en refuse l’institution religieuse. Le culte de la Raison (voire de la déesse Raison entendue comme allégorie) fut proposé durant la Révolution française. Le saint-simonisme athée, se nommait lui-même « nouveau christianisme

œuvres dans lesquelles il s’interroge sur les grandes thématiques philosophiques : o L’athéisme. Hostile à toute forme d’obscurantisme, Diderot s’inquiéte beaucoup du fanatisme religieux et de ses conséquences. (Entretien avec la Maréchale). Du déisme, il évoluera vers le matérialisme (Diderot privilégie la réalité matérielle du monde au détriment de toute conception spirituelle) . o Le déterminisme : Jacques ne cesse de répéter dans le roman que tout est écrit sur le grand rouleau. Ce

-les apports de la connaissance dans la lutte contre l'obscurantisme. -le développement de l'esprit critique et de la réflexion (Éclairer les hommes et les rendre meilleurs) -développement des sciences (Nous garantir de la peste) -défense du déisme par la défense des rites et de la toute puissance de l’Église L'ironie pour discréditer la thèse de Joussouf-Cheribi Voltaire fait semblant de le valoriser en utilisant l’exagération. Ça consiste à employer le discours de l'adversaire et de le