Le Désir Insensé

C’est insensé. Non, non et non ! Mon père renchérit : - As-tu perdu la tête ? On parle de ton avenir, là ! Hôtesse de l’air… Et puis quoi encore ? Je pense que tu connais notre avis là-dessus, c’est vraiment trop dangereux. Je ne supporterais pas de te savoir dans les airs toute ta vie. Et même pas ! Réfléchis. Tu ferais ce métier dix ans, quinze ans et puis tu te lasserais. Tu ne pourrais plus rien faire après, tu n’aurais plus rien. De plus, le salaire laisse à désirer. Pour

Ce texte évoque le thème du désir mais également du bonheur. Le bonheur réside dans la satisfaction de nos désirs. Or, nos désirs, embellis par notre imaginaire, ne sont pas toujours réalisables entrainant souffrance, déception, frustration. Malheureusement, le désir ne se fixe pas de limite, en effet l’impossible, l’irréel attire. Sommes-nous alors contraints à vivre dans l’éternelle insatisfaction ? Ou ne faudrait-il pas plutôt réduire l’écart entre le réel et le désir, afin de pouvoir réaliser tous

pas toujours compatibles, est-ce que l’on doit changer plutôt ses désirs ou alors l’ordre du monde ? D’un côté pourquoi faudrait-il changer ses désirs ? Le désir n’est-il pas selon Spinoza « l’essence même de l’Homme » et la tendance de tout désir n’est-elle pas de tendre à se réaliser ? En effet, toujours d’après Spinoza « être, c’est désirer être. ». Pour ne pas changer notre propre nature, il faudrait donc se disposer à changer le réel. Mais d’un autre côté, il faut se rendre à l’évidence et constater

affaires suivant un dessein arrêté ou encore si la fortune leur était toujours favorable, il s ne seraient jamais prisonniers de la superstition. Mais souvent réduits à une extrémité telle qu’ils ne savent plus que résoudre, et condamnés, par leur désir sans mesure des biens incertains de fortune, à flotter presque sans répit entre l’espérance et la crainte, ils ont très naturellement l’âme encline à la plus extrême crédulité ; est - elle dans le doute, la plus légère impulsion la fait pencher

vivantes me répugne comme la viande morte qui pend aux crocs des bouchers, et le rire épais de mes soldats me soulève le coeur. Tu m'as menti, Wang-Fô, vieil imposteur : le monde n'est qu'un amas de taches confuses, jetées sur le vide par un peintre insensé, sans cesse effacées par nos larmes. Le royaume de Han n'est pas le plus beau des royaumes, et je ne suis pas l'Empereur. Le seul empire sur lequel il vaille la peine de régner est celui où tu pénètres, vieux Wang, par le chemin des Mille Courbes

acheté ? C'est vrai je l'ai lu je peux même te raconter ce que ma grande tante y raconte, et à toi aussi Dominique si vous le voulez. Kat: Et bien dans ce livre SDB nous dévoile sa vie et son parcours professionnel comme ses débuts au cours désir qui était essentiellement un cours catholique. OU sa mère l'y avait inscrite pour qu'elle suive l'éducation normale des jeunes filles de l’époque. Cependant de part son caractère et ses capacités intellectuelles celle-ci a réussit a se de faire de

Faut-il désirer l’impossible ? Introduction : Le désir humain est une chose étrange, il se porte plutôt aux choses impossibles que raisonnables, contrairement au besoin, et de ce fait, il se condamne lui-même semble t-il à l’échec. Que de rêves, de projets déçus, chez les hommes ! Que de mirages ! Il semble bien qu’une vie réussie est une vie où nos désirs s’en tiendraient strictement au possible et banniraient le plus possible les rêves éveillés, les projets insensés, bref, on peut penser qu’il

nos têtes. Elles nous ronge et finissent par nous contrôler. Elles fonctionnent sur nous comme un désir inassouvible. Ces besoins commencent de grandir et de prendre une place encore plus importante. L’inaccessible est toujours recherché. Plus le temps passe, et plus l’obsession est grande, et finit dans le malheur, la déchéance, voir un maladie psychique. Elle peut nous faire faire des actes insensés, à l’instar d’Oreste, à condition de l’assouvir et d’en tirer de l’espoir, quitte à finir totalement

américain » = Idée de la réussite sociale, partir de rien et devenir quelqu’un d’important. « L’eldorado » = pays/terre idéal, habité par des gens heureux. (Réf : Candide, de Voltaire). «  Faire des châteaux en Espagne » = Avoir des projets insensés. « Etre dans les nuages » = Se perdre dans des rêveries confuse. Le rêve engendre-t-il un problème d’isolement ? « Même pas en rêve » = Refus catégorique = jamais de la vie. Artémidore, La Clef des songes. « oneiros » = image onirique, provenant

compte parmi eux les gens malicieux et ignorants. Deuxièmement, un grand nombre ne peut pas légiférer parce qu’il n’est pas capable de s’accorder entre ses différents membres. En plus du fait que ses membres (citoyens du peuple) sont méchants et insensés. La solution est de mettre un petit groupe qui s’occupe de légiférer. Troisièmement, le petit groupe qui légifère doit être une élite d’hommes sages et de savants puisque ces gens savent ce qui est bon pour la cité. Il légifère mieux et utilement