Le Déséquilibre Financier

Introduction : 2 Chapitre 1- Le capitalisme 3 A- Ses Fondements 3 a- Approche libérale 3 b- Approche socialiste 3 B- Son évolution historique 4 1- Le capitalisme commercial ou Marchand 4 2- Le capitalisme industriel 5 3- Le capitalisme financier 6 Chapitre 2- Les modèles du capitalisme 6 A- Les différentes approches 6 1- L’approche de B. Amable (2007) 6 2- La théorie de la régulation- Boyer 7 B- Les différents modèles 8 1- Le modèle social-démocrate 8 2- Le capitalisme

assureurs…) qui repose sur des titres structurés dont l’évaluation est problématique. Vivant à l’origine d’effets de levier et d’optimisme, ce système débouche sur une crise de liquidité et de confiance se généralisant à l’ensemble du secteur bancaire et financier. La crise financière La crise financière qui débute en 2007 a surpris tous les observateurs. Peu de temps avant l’été, nombreux sont ceux qui anticipaient une augmentation des défaillances sur les prêts hypothécaires à risque, les fameux prêts subprimes

incalculable de défaut de payement et de l'autre une baisse général en valeur des produits financiers. Le système financier est en bien mauvais état, plusieurs banques échappent de justesse à la faillite grâce à des prêts d'urgence des banques centrales ou à des nationalisations par les gouvernements. Cette crise financière se mue alors en crise économique : l'effondrement des cours des produits financiers ainsi que la paralysie du marché interbancaire entraine les faillites des entreprises donc

financière. Le débat sur les problèmes de communication financière chez les entreprises est au cœur de l’actualité durant ces dernières années : Une crédibilité de l’information financière entachée par la succession des scandales financiers et une complicité de certains cabinets d’audit dans ces affaires. Notre travail de recherche se propose d’étudier l’origine de ces dysfonctionnements. La première partie de notre travail va porter sur l’étude des problèmes d’asymétrie d’information

actuelle ? Le sommet du G20 s’est réunit à Londres le 2 avril dernier pour débattre de la réforme du système financier actuel et d’un plan de relance économique mondial. La nécessité d’une politique de relance commune témoigne de l’insuffisance de la régulation par le marché. Les libéraux considèrent que le marché est doté d’un mécanisme de correction automatique des déséquilibres économiques et perçoivent l’interventionnisme comme une entrave au bon fonctionnement du marché. Cette théorie n’a

potentiel d’organisation des associations économiques. Ce potentiel d’organisation entraine aussi une position financière plus forte : les associations économiques emploient plus de personnel et possèdent plus de point d’accès aux institutions. Ce poids financier les avantage largement face aux groupes d’intérêts publics car ils ont la possibilité d’avoir une plus grande force de frappe auprès des différentes institutions communautaires. Les lobbies européens ont repris le modèle américain au niveau de leur

de change (les all ont une préférence d’une monnaie chère alors que les Fr ont une préférence pr une monnaie faible parce qu’ils bcp de dépense) En Pol éco il existe 2 courants Courant keynésien : le marché ne s’équilibre pas, l’éco est tjr déséquilibré. Augmenter la quantité de monnaie car ça stimule l’emploi (théorie quantitative de Fisher de la monnaie : Sa n’entrainera pas de l’inflation. a partir du moment qu’on émet de la monnaie, la quantité de monnaie à ce moment la soi insuffisante) Pr

TVA). Cette prise en charge de l'État est devenue le noyau dur des rapports financiers État-collectivités locales. Cet état de fait exprime sans nul doute l'accent mis par Sa Majesté le Roi que Dieu l'assiste, dans son discours prononcé à Jorf Lasfar, sur l'importance de la fiscalité locale en matière de développement économique où plusieurs défis financiers au niveau local pourraient ainsi épargner la Nation des déséquilibres économiques et sociaux. Il exprime également la nécessité, le besoin pressant

leçons de la crise afin de faire évoluer le système financier car une chose est à peu près certaine, la planète finance ne va pas se reconstruire à l’identique. Tout d’abord, il faut reconnaître que la finance doit être au service de l’économie et non l’économie au service de la finance. La finance doit donc défendre son core business en apportant à l’économie les capitaux nécessaires à son activité. Or, traditionnellement, il existe un déséquilibre entre besoins de financement à long terme et demande

demanderons quels sont les effets d’une variation des cours de change sur l’économie des pays concernés. Et nous essaierons d’y répondre, dans un premier temps en voyant les conséquences sur les échanges commerciaux puis les conséquences sur les marchés financiers. I- Dans un premier temps, nous pouvons voir les conséquences sur les échanges commerciaux. Nous verrons les conséquences commerciales (A) puis les conséquence financières (B) pour ces échanges. A- Le marché des changes et les déterminants