Le Fanatisme Religieux Se Justifie T Il

abstention est le doute et le doute provient de l’impossibilité de tout voir jointe à la probité qui repousse le parti pris et la décision arbitraire ». Le moi voudrait tout contrôler, mais n’y parvient pas. Il se retranche dans l’abstention et s’auto justifie par le scrupule soi-disant rationnel. En comparaison, le fanatique lui, sort du doute par un saut aveugle dans la foi. Là où le sceptique rumine ses doutes, en restant prostré, lui se dope à la fébrilité d’une foi qui ne doute de rien. Il a

providence. - Répétition cyclique de ses mésaventures. - Selon un plan : « Orosmade t'as envoyé pour changer sa destinée ». = Ce n'était pas la volonté de Zadig. III] Les idées de Voltaire et des Lumières A. Le déisme de Voltaire - Idéal religieux de Voltaire mis en avant. => Acceptation de l'existence d'un être supérieur, « celui qui embrasse tout » sans pour autant obtenir à une religion. - Incarnation de cette philosophie par Zadig qui se « prosterne » face aux « ordres éternels » de

et du triomphe de l’esprit philosophique. En effet, au XVIIIème siècle, appelé également siècle des Lumières, émerge en Europe un courant de contestation fondé sur l'observation du monde. Ce phénomène européen s'oppose ainsi à l'obscurantisme religieux du Moyen Age et à la monarchie absolue, il prône l'ouverture d'esprit, en mettant en valeur la raison, qualité indispensable de l'homme. Les philosophes s'appliquent à l'étude des sciences et cherchent à connaître les effets par leurs principes

Présentation Page 2 : Sommaire Page 3 : Contexte historique, culturel, religieux et économique Page 4 : Biographie de Voltaire Page 5 : Résumé de l’ouvrage Page 6 : Présentation des personnages principaux Pages 7 et 8 : Les problématiques soulevées par le conte Pages 9 et 10 : Les perspectives contemporaines du conte Page 11 : Impressions personnelle I. Contexte historique, culture, religieux et économique. Candide est un conte écrit par Voltaire en 1759. Le compte

la 1ère personne. Montesquieu fait ainsi un plaidoyer en faveur de la religion. - La question du pluralisme religieux : Pour Montesquieu, la religion doit être sous l'intérêt national, qui peut être menacé par les abus et le fanatisme d'une seule religion. Or s'il y a plusieurs religions, l'une corrigeant l'autre, ce sera leur fonction sociale qui primera et non leur contenu religieux. - Contre le Prosélytisme : Montesquieu fait une métaphore entre le prosélytisme et une " maladie épidémique

concentrer sur le renforcement (politique, culturel) de ses membres ? Si l’entrée de la Turquie reposait sur un enjeu économique, qu ‘en serait-il de l’« identité » européenne ? En plus de l’argument économique que l’on donne traditionnellement pour justifier le refus de ceux qui s’opposent à l’adhésion de la Turquie, sa situation géographique et la religion dominante de sa population font également partie des raisons que l’on évoque le plus souvent. En effet, la candidature de la Turquie surprend souvent

ma maîtresse. » nous voyons bien ici que les dirigeants apparaissent ici comme irresponsables et qu’il gouverne sous l’influence de leurs maîtresses. La corruption est également dénoncée dans L’ingénu, Gordon précise bien que le nombre des détenus justifie le salaire des geôliers qui, « fondant leurs revenus sur leurs victimes, et vivants du malheur d’autrui, se faisaient en secret une joie affreuse des larmes des infortunés » (chap. XVIII). La guerre est aussi dénoncé en effet, l’accumulation des

 La religion Introduction Dans toute culture on observe des édifices religieux, des croyances et une pratique religieuse. * Qu’est-ce que la religion ? On considère que deux étymologies en latin sont possibles: - soit religere = recueillir qui insiste sur la dimension privée, intime, de la religion avec la présence du divin en soi - soit religare = relier, qui met l’accent sur la dimension publique de la religion, l’ouverture à autrui (lien horizontal)

représenté comme une entité (Satan, Lucifer…), on parle quotidiennement d’un mal. Or, dans ce sujet il s’agit « de le » mal, dans le sens de ce qui est refusé par une doctrine, un dogme religieux. Ce terme nous apparait sous deux formes l’une qui relève uniquement de la condition humaine et l’autre qui relève du domaine religieux, divin. L’expression « l’expérience du mal » nous amène donc à travers plusieurs pistes dans sa définition puisque son sens commun nous amène sur le terrain de Voltaire dans Candide

« A Toi » L4 ; grande longueur des phrases ; ampleur oratoire Synthèse : Voltaire s'adresse à une divinité universelle dans le but d'enlever les problèmes de religions. Voltaire va présenter de manière particulière l'homme pour justifier sa demande. II) L2 « faibles créatures... » =>vis à vis de l'univers, l'homme est peu de chose. (opposition universelle) antithèse L5 « les erreurs attachées à notre nature » => incapacités humaines innées L'homme a une vie pénible et