Le Fanfaron

elle seule nécessita près de trois semaines d’enregistrement, c’est-à-dire le temps moyen pour l’enregistrement d’un album entier en 1975. L'opéra apporte une multitude de références lyriques : ¤Scaramouche :       Personnage de la comedia del arte Fanfaron, tout de noir vêtu, il affirme d’être d’ascendance aristocratique. ¤Fandango :                     Style musical et une danse traditionnelle espagnole de couples. (Accords de castagnettes et guitare). -La cinquième partie, le hard rock, elle

faibles,femmes) Abuse de sa fortune qu’il dilapide II) Portrait du valet 1) un poltron Il a peur,tremble,se rétracte, est soumis. : retourne sa veste ‘’la crainte en moi fait office de zele » se rétracte quand il entends DJ 2) Un vantard fanfaron Trait de comédie aussi. Fier de ses effets sur Gusman. Il singe DJ, essaye de le bluffer. Theatralité de cette scene. 3) Sa crédulité Il est croyant et supersitieux : manque de recul, sa foi degenere en superstition (ex : loup-garou). Il

censés représenter les différents bouts de tissus qu’il a utilisé pour recouvrir les trous de son costume rapiécé. Arlequin Scaramouche : son nom signifie petit batailleur. C’est l’opposé d’Arlequin. Il est vantard et fanfaron, comme l’indique son costume, entièrement noir et à la mode espagnole, et il est très peureux. Il finit donc la plupart du temps par fuir ou être battu. Scaramouche Mascarille :

Mascarille (fripon, intrigant, maître en fourberies), Brighella (l’aubergiste), Pagliaccio (le souffre-douleur)… ▪ les vieillards (citadins les plus extrêmes) : Pantalon (vieux barbon amoureux d’une jeune fille), Cassandre, le docteur… ▪ les soldats (fanfarons et parfois peureux) : le Capitan, Matamore, Coviello, Spavento… ▪ les amoureux (ingénus mais aussi ingénieux à tromper les vieillards) : Isabella, Lélio, Colombine (qui fait parfois partie des zannis)… 



personnages : Les zannis (les valets) Les vieillards Les amoureux Les soldats Leurs noms - CAPITAN: Vantard (=personne qui se vante) mais peureu -ZANNI: Valet, bouffon. Leur caractère vont de la ruse à l'absurdité -SCARAMOUCHE: Fanfaron (= personne qui se vante) et peureu. Il fini toujours par fuir ou être battu. -PULCINELLA: Valet rusé, grossier, simple, disgracieux (=désagréable) et comique -PANTALONE: Vieillard avare (= qui aime accumuler de l'argent mais se refuse à le dépenser)

Un Fanfaron amateur de la chasse, Venant de perdre un Chien de bonne race, Qu'il soupçonnait dans le corps d'un Lion, Vit un berger. Enseigne-moi, de grâce, De mon voleur, lui dit-il, la maison, Que de ce pas je me fasse raison. Le Berger dit : C'est vers cette montagne En lui payant de tribut un Mouton Par chaque mois, j'erre dans la campagne Comme il me plaît, et je suis en repos. Dans le moment qu'ils tenaient ces propos, Le Lion sort, et vient d'un pas agile. Le Fanfaron aussitôt

apologie du théâtre par la virtuosité de la mise en abîme du théâtre dans le théâtre. Le jeu très enjoué des comédiens dès les premières scènes crée paradoxalement une tension dramatique particulière. La complicité affichée entre le personnage du fanfaron Matamore (génial Podalydès ) et de son valet (Loïc Corbery) va brouiller les pistes pendant quelques temps car il intervient après un premier acte sombre, dépouillé et même déroutant. Denis Podalydès est un grand comedien avec une interprétation

de nuit et m’avoir tout fait répandre dans mon lit. » N’ayant jamais été mort, il n’est pas possible de savoir si sa volonté a été exécutée. [pic]Son type primitif, originaire de Naples, se rapproche du Capitan. Comme celui-ci il est vantard, fanfaron et peureux, et il finit toujours par fuir ou être battu. Tout de noir vêtu, à la mode espagnole, et porteur d’une longue rapière, il s’annonce comme étant pour le moins prince ou duc, mais il remplit au besoin des rôles plus modestes. Scaramouche

imitateur. Un Fanfaron, amateur de la chasse, Venant de perdre un Chien de bonne race, Qu’il soupçonnait dans le corps d’un Lion, Vit un Berger : Enseigne-moi, de grâce, De mon voleur, lui dit-il, la maison, Que de ce pas, je me fasse raison. Le Berger dit : C’est vers cette montagne. En lui payant de tribut un Mouton Par chaque mois, j’erre dans la campagne Comme il me plaît, et je suis en repos. Dans le moment qu’ils tenaient ces propos, Le Lion sort, et vient d’un pas agile. Le Fanfaron aussitôt d’esquiver

vivacité du récit : introduction et situation initiale (2 vers), Modification et transformations (en deux phases : il se mit ... qui le couvrait // Il vivait ... à grands pas), renversement brutal et rapide (trois derniers vers) après le discours du fanfaron * morale incluse dans le récit et le discours : réussite devant les bêtes et échec devant le belluaire * à rapprocher de deux fables de la Fontaine :  Le Loup devenu berger (III, 3 => Tiens donc, serait-ce un hasard ?) L'Âne vêtu de la