Le Fanfaron

11, Rabelais nous relate le comportement insalubre de gargantua qui pissait, chiait et pissait.Rabelais utilise aussi un comique basé sur des jeux de langue :Les onomastiques :Toucquedillon qui est capitaine de Picrochole a pour signification le fanfaron Picrochole qui signifie la bille amère = la colère violenteThubal de Holopherme son premier maitre sophiste dont la signification en hébreux signifie confusion.Tyravant qui est capitaine de Picrochole qui signifie se tire avant la bataille.Ici Rabelais

dévoile involontairement : .Avec une apparente culture (citations, expressions savantes) .Comparaisons grossières (expressions populaires) .Enumérations mélangées -> Inculture profonde du valet, qui désire imiter son maître, et fanfaronner devant Gussman. -> Défenseur de la morale, superstitieux et catholique. Il redoute le châtiment divin, -> crédule, influençable (et non pas croyant). MANQUE 3 LA : Madame Bovary : - j’ai un amant ! un amant ! - la passion

l’ongle ». Tout est expédié avec efficacité « adieu » (v 22), « périt » (vers 23 à la césure). A son tour, le coq vainqueur disparaît. Mais alors que la disparition du vaincu, honteux contenait une touche de comédie de mœurs, celle du vainqueur fanfaron est de tonalité tragique. Quant aux mots « fortune », « fatal retour » ramènent le vaincu à la situation initiale de coq, maître du poulailler : « coup » (vers 29 et « sort » (vers 31) : un coup du sort ? pour évoquer cette inconstance des choses

tendu où les interlocuteurs se répondent vers par vers. LES PERSONNAGES HABITUELS OU TRADITIONNELS DE LA COMEDIE - Arlequin : < Italie. Personnage de comédie reconnaissable à son habit bigarré, à sa "latte" (épée de bois). - Capitan : < Italie. Fanfaron ridicule. - Confident : toujours présents pour amener les protagonistes à exprimer leurs pensées à voix hautes. Certain(e)s confident(e)s jouent aussi un rôle très important (cf. les relations maître-valet qui s'inversent souvent dans la comédie)

donné naissance à un garçon qui se trouve être un pauvre hère, inculte, stupide et violent. Il en nourrit de puissants remords. Saint-Antoine (pp. 126-135) Saint-Antoine est le nom d’un paysan qui est « hâbleur comme un vrai Normand, couard et fanfaron » (p. 127). Lors de la défaite de 1870 contre la Prusse, on lui attribue un soldat prussien. Le paysan patriote trouve comme stratagème de traiter ce patibulaire ennemi comme s’il s’agissait d’un cochon qu’il faudrait engraisser. Il l’incite à manger

à connaître. Notre siècle, mon frère, en expose à nos yeux Qui peuvent nous servir d'exemples glorieux :Regardez Ariston, regardez Périandre,Oronte, Alcidamas, Polydore, Clitandre ;Ce titre par aucun ne leur est débattu ;Ce ne sont point du tout fanfarons de vertu ;On ne voit point en eux ce faste insupportable,Et leur dévotion est humaine, est traitable ;Ils ne censurent point toutes nos actions :Ils trouvent trop d'orgueil dans ces corrections ;Et laissant la fierté des paroles aux autres,C'est

singulier « t’elle » montre un personnage emporté par son discours.Il - La jalousie et le désir destructeur habitant le personnage De “l’Être présent” à “quatre chevaux” (ligne 7 à 14 )Ligne 8 :- La périphrase à valeur dépréciative : " un misérable fanfaron imbécile " permet à Frollo de manifester clairement sa jalousie car il montre que la jeune est aveuglée par Phoebus, un vantard.Ligne 9 :Le vocabulaire de l'incendie : I' brûle " met en évidence le désir incontrôlé du prêtre.Ligne 9 à 1O :- Un rythme

: • Un très grand nombre de péripéties et de rebondissements. • L’utilisation de procédés romanesques (reconnaissance d’un enfant). • Le recours à la théâtralité, c’est-à-dire au théâtre dans le théâtre. • Les personnages types : le barbon, le fanfaron, le valet fourbe. - La comédie de caractère. Elle est centrée sur un personnage dont elle veut dénoncer les défauts. C’est le cas d’Harpagon dans L’Avare de Molière (1668). - La comédie-ballet. Répandue surtout au XVIIe siècle, elle fait intervenir

les parenthèses ("je parle à l'autre") qui servent de protections celles-ci ont d'ailleurs lieu dans le film de Marcel Bluwall quand Don Juan lance un regard à Sganarelle. Il y a donc une confusion de peur et d'audace, ce valet est faussement fanfaron. 2/Le comique On observe le comique dans le portrait physique avec l'apparence précieuse: les "perruques", Don Juan pourrait ressembler à celà. On remarque également e comique au niveau des insultes avec le "bouffon" ridicule. En

proposé par Stephanie Rojas L’araignée et la mouche. Une géante araignée d’eau À cheval sur ses longues pattes Guettait une mouche enthousiaste Qui contait fleurette aux roseaux… -Oh! Oh! Oh! dit l’araignée d’eau Je n’aime pas les fanfaronnes Qui viennent jouer les luronnes Sur mon plan d’eau Et fort habile elle tissa Un voile en fils de la Vierge Où la mouche s’entortilla Près des roseaux devenus cierges… Pierre Béarn, 1978(fables) Le cimetière marin Ce toit