Le Fantastique En Général

Reine Marguerite, qui, dans cet extrait final, tente de le guider vers l'au-delà, et revêt pour cela l'habit de la prêtresse. Elle joue à la fois le rôle du protecteur et du guide. Faisant cela, elle crée une forte dimension symbolique et même fantastique, qui, au travers de ses gestes et de ses mots, révéleront la nature du voyage que l'Homme doit entreprendre pour quitter le monde mortel, et les angoisses qu'il ressent à l’orée de cet autre monde, privé de sens et de perceptions ; ainsi que la

P 5 seur de mystère reste intacte passée la surprise d’une première vision. Si Shining est de ceux-là, c’est par la maniè- re dont Stanley Kubrick inscrit les procédés connus de la peur 6 7 8-9 10-11 Kubrick traverse l’histoire du cinéma fantastique, en reprend les 12-13 libérer le récit des conventions de la progression linéaire. 14-15 ANALYSE DE SÉQUENCE Tes est pris qui croyait prendre ATELIER 1 jour une fiction sur le cinéma comme machine à projeter des corps-images dans un espace-temps

tout y est décrit selon des références naturelles : «la carapace dure » pour l’asphalte, « deux conques noires » pour les chaussures à talons aiguille, « la marée des conques » pour la foule, « cette vallée de pierre » pour la rue et « un fantastique fleuve » pour le flux des véhicules. Il y parle également de l’homme et de la femme dont les caractéristiques inattendues et improbables sont celles qu’il dépeint : un homme au « dos carré », une femme dont on attend des mollets de « chair rose

matières 1. Approche globale 4 1.1. Présentation de l'auteur - Edgar Allan Poe 4 1.2. Le genre du récit 4 2. Etude du récit 5 2.1. Etude de l'incipit 5 2.2. Les personnages 5 2.2.1. Le système des personnages 5 2.2.2. Caractérisation générale des personnages 5 2.2.3. Détérmination du héros 8 2.2.4. Type de narrateur et focalisation 9 3. Temporalité 9 3.1. Temps externes à l'oeuvre 9 3.1.1. Temps de l'écrivain 9 3.1.2. Temps historique 9 3.1.3. Le temps du lecteur 9 3.2

(l.19), "on tremblait de peur" (l.27), " il terrifia Pont-de-l’Arche "(l.30) Insistance sur le nombre, idée de multitude : "tous les appareils télégraphiques (…) tous les cœurs " (l.30). "La gare" signifie l'ensemble des usagers et du personnel. Fantastique (voire surnaturel) : "monstre" (l.20) vivant, "train fantôme" fonçant vers la destruction pourtant il lui manque du charbon, Zola le sait mais il veut garder le suspense. Le train est "fou" "indompta[ble]" (l.2). "galop tout droit, la bête fonç[e]

Bolivien Jaime Sáenz, ou encore le Colombien Gabriel García Márquez, prix Nobel de littérature en 1982, dont le roman Cent ans de solitude publié en 1967, est souvent cité comme exemplaire. L’origine de ce terme et sa portée sont pourtant beaucoup plus généraux car il a été utilisé pour qualifier une grande variété de romans, de poèmes, de peintures ou de films ainsi que pour définir différents styles, esthétiques, genres, courants, mouvements et écoles, tant en Europe qu’en Amérique, et étendu, de manière

+ la répétition de « faubourgs » (v.5 et 6) soulignée par l’emploi de l’adjectif « lourds » à la rime, donc accentué (v.5) ; l’assonance en [ou] renforce l’impression de lieux identiques et sans diversité, •La monotonie provient aussi du cadre général : idée d’immobilité avec les termes « eau ; canal ; quais » dans le première strophe (ici, pas d’évocation d’automobiles, de trains, etc., seulement des éléments statiques), •La monotonie est également accentuée par l’aspect symétrique (v.14) ;

chercher partout. Il le voit prendre un fiacre et se balader dans la ville. Elément de résolution : Un matin, Kovaliov de réveille avec son nez entre ses yeux. SF : Kovaliov est heureux, se promène dans la ville avec son nez. 2. Le fantastique Eléments fantastiques Hypothèses rationnelles Explications irrationnelles Le Nez se retrouve dans le pain de Yakovlévitch p.10 Yakovlévitch se demande s’il était plein en rentrant chez lui Le Nez est parti pendant la nuit Kovaliov découvre que son nez a disparu

de Kadesh où il repoussa les Hittites, il unifia les deux Terre, il instaura la paix durable. Dans ce roman on parlera de ses deux fils qu’il eut avec Iset la Belle, le premier amour du Pharaon, Ramésou le fils aîné et Setna ; Ramésou est le grand général de l’armée qui est un homme d’ambition comparé à Setna son cadet qui est lui simple, humble, intellectuel et sage qui est un scribe, deux caractères qui s’opposent. L’ambition et l’arrogance de Ramésou et la sagesse de son cadet Setna fera des quelques

colis structurent le récit et permettent une continuité malgré le foisonnement d'illustrations et de détails. Mais je l'ai surtout choisi car il entrait dans le cadre d'un projet bien précis, dans la classe de GS où je l'ai présenté. De manière plus générale, cet album constitue un support très riche pour travailler les compétences attendues à l'école maternelle: s'approprier le langage, découvrir l'écrit et devenir élève. Dans cet exposé, je vais tenter d'amener les élèves à travailler sur les compétences