Le Fantastique Fait Peur Et Rassure

Proposition d’axes de lecture et plan détaillé : I. Un texte fantastique. 1) Un cadre réaliste Un texte en partie descriptif, qui plante un décor familier pour le narrateur comme pour le lecteur afin de rendre l’histoire crédible et d’amener le lecteur à croire aux faits racontés. Il s’agit de faire adhérer le lecteur à l’histoire, et de l’amener à se demander si l’histoire racontée ne serait pas vraie malgré son caractère surnaturel et incroyable. Nombreux connecteurs spatiaux « en face

de la rencontre entre Jean Valjean et Cosette qui va bouleverser leurs destins et déterminer un passage clé du roman. Nous étudierons dans un premier temps en quoi cette scène est pathétique et dans un second temps ce qui fait que cette rencontre a un caractère presque fantastique. Pour pouvoir démontrer que cette scène est pathétique, nous allons tout d’abord exprimer l’opposition entre une petite fille fragile et le lourd travail qui lui est imposé. Elle décrit une enfant terrifiée : « ce frisson

proches ? Quel public visent-ils ? Pourquoi ? Quelle image donnent-ils du loup ? Dans quelle intention ? Bilan : Faire proposer une problématique de séquence autour de la peur du loup en s’interrogeant sur les fondements de cette peur et ses traductions narratives et symboliques Trace écrite du type : La peur du loup est une peur qui s’est construite dans l’imaginaire humain entre réalité et fantasme. Elle a donné lieu à des œuvres variées, aujourd’hui simplifiées et stylisées, qui donnent l’impression

creusent des boutiques obscures, basses, crases, laissant chapper des souffles froids de caveau. Il y a l des bouquinistes, des marchands de jouets denfant, des cartonniers, dont les talages gris de poussire dorment vaguement dans lombre les vitrines, faites de petits carreaux, moirent trangement les marchandises de reflets verdtres au-del, derrire les talages, les boutiques pleines de tnbres sont autant de trous lugubres dans lesquels sagitent des formes bizarres. A droite, sur toute la longueur du passage

creusent des boutiques obscures, basses, crases, laissant chapper des souffles froids de caveau. Il y a l des bouquinistes, des marchands de jouets denfant, des cartonniers, dont les talages gris de poussire dorment vaguement dans lombre les vitrines, faites de petits carreaux, moirent trangement les marchandises de reflets verdtres au-del, derrire les talages, les boutiques pleines de tnbres sont autant de trous lugubres dans lesquels sagitent des formes bizarres. A droite, sur toute la longueur du passage

personnage et accentue notre appréhension. -Présentation de l’anomalie au lecteur  lapin en buisson qui a changé de position = situation fantastique où le lecteur ne sait pas si le personnage a des visions ou non. -champ de vision de J. dirigé vers le chien en buisson qui a lui aussi changé de position, désormais menaçante (grognant + crocs) = accentuation du fantastique. -La phrase « grognement silencieux » du chien montre que c’est le personnage qui imagine. -Début de description coupée par une phrase

l‘hypnose et au magnétisme animal. Il commence l’écriture en 1808, et écrit ce recueil en 1817 appelé Nachtstücke ou Contes Nocturnes dans lequel on retrouvera L’Homme au Sable. Il meurt le 25 juin 1822. Présentation : C’est une nouvelle fantastique, il y a donc rupture avec le réel et irruption du surnaturel. HOFFMAN va inscrire son récit dans le réel par 3 lettres liminaires renforçant la dimension réaliste de l’histoire puis ces lettres sont suivies par le récit du narrateur nous expliquant

école et qui fait la rencontre d'une étrange jeune fille, Eli. Il apprend par la suite qu'elle n'est autre qu'un vampire, un buveur de sang, pourtant cela ne l'écartera pas d'elle, au contraire. La première personne qui nous vient à l'esprit quand on parle de monstruosité dans ce film est Eli. Pourtant il faut noter qu'il y a un renversement de situation : les enfants sont normalement associés à des êtres petits et fragiles, ce sont eux qui ont peur et ont besoin d'être rassurés. Pourtant, le

pour leur aide précieuse et pour leurs conseils avisés ; mes amis pour leurs encouragements, mes professeurs de l’Ecole Normale, Madame Caroline Rasson, toutes les personnes de la « Liste Instit » qui ont lu mon Travail de Fin d’Etudes et qui m’ont fait part de leurs avis et commentaires, et toutes les personnes qui m’ont aidée de près ou de loin. Merci à tous. Se mettre dans tous ses états. Eduquer, c’est apprendre à se mettre dans tous ses états. C’est aussi apprendre

écrivains faisant parti de la grande littérature Québécoise. La différence des tons employés dans ces récits est probablement due au fait que ces écrits ont été rédigés à plus d’un siècle de différence. Hébert, faisant partie du courant post-moderne, emploie un ton lyrique tandis que Beaugrand, appartenant au courant des transmetteurs littéraires, opte pour la tonalité fantastique. Ce n’est cependant pas cette différence d’année qui empêche ces deux auteurs d’avoir certaines similarités dans leurs oeuvres