Le Flambeau Vivant

une réflexion sur le temps en rapport avec un amour qui semble à jamais fini. Lamartine constate avec amertume que le passé heureux est perdu à jamais, que le temps en a effacé la trace et qu'il ne peut être restitué. La nature qui a été le témoin vivant de la présence du poète a pu garder la trace de ce moment et le restituer au poète. C'est le paysage qui conserve le souvenir, et non l'écriture et qui peut dire "ils ont aimé". Le titre du poème s’explique : comme le lac retient les eaux fluides

fortement (Dorothy et Lydia et autres), Lydia dit de lui qu’il est « Gentil». D’un autre coté, dans un roman ou les personnages masculins règne, deux ensembles féminins ressortent. Lydia la première à entrer dans le livre, c’est une jeune américaine vivant entre New York et Paris. Elle est vu comme très belle c’est aussi ce charme qu’elle porte qui à fait fondre Alain. Mais à coté règne une froideur qui pourrait l’assembler facilement au personnage d’Alain. Sa déchéance la plus flagrante, est la vieillesse

vrai dire, était-elle réelle ? »). Autre élément qui justifie cette 2nde interprétation. « La jeune femme […] semblait fragile et tendre comme un rêve. » Autres comparaisons du chapitre : « L’éclat de sa chevelure d’or resplendissait comme un flambeau. » « Son visage était blanc comme la neige ». Les comparaisons montrent une fragilité de cette femme mais aussi son éclat et sa pureté. Phrase sur ses yeux et la peau diaphane. Yuko décrit cette femme comme si elle n’était pas réelle : amoureux

I- LE CONTEXTE HISTORIQUEI- LE CONTEXTE HISTORIQUE XVIII me : un siècle marqué par les difficultés économiques et la philosophie des Lumières qui s’achève par la révolution française · Crise économique (guerre, famine, banqueroute de Law) · Affaiblissement de l’autorité de l’état, montée en puissance de la bourgeoisie, contestation des privilèges de la noblesse, importance de l’argent (les discriminations sociales et et les clivages de la société deviennent de plus en plus insupportables

qui a aussi bien le droit de vivre sur une même terre que l’oppressant. Palestinien définit le visage de toute une nation qui se bat pour survivre, Yasser Arafat le dit si bien, puisqu’il rend hommage à son peuple et a sa jeunesse qui portera le flambeau. On pourrait même former une phrase avec les mots du nuage exemple : « Le Peuple Palestinien à le Droit à la Paix grâce à l’assemblée international les résolutions seront adoptés pour voir un jour les enfants jouer dans leur pays « LA PALESTINE » »

Bibliographie: 1619: naissance de Savinien de Cyrano (Paris), famille bourgeois, père: avocat au Parlement carrière militaireretour á Paris: y suit l’enseignement du philosophe Gassendi  transformation de Cyrano en personne de fiction commence de son vivant 1650: dès cette époque, il est connu comme l’auteur de L’Autre Monde 1655: mort á Sannois, chez son cousin. Le curé de Sannois déclare dans le certificat de décés qu’il est mort ’en bon chrétien’ Un précurseur des philosophes de lumières Différents

entend Ce choeur: «Absurde! faux! monstrueux! révoltant!» Lui, cependant, tandis qu'on bave sur sa palme, Debout, les bras croisés, le front levé, l'oeil calme, Il contemple, serein, l'idéal et le beau; Il rêve; et, par moments, il secoue un flambeau Qui, sous ses pieds, dans l'ombre, éblouissant la haine, Éclaire tout à coup le fond de l'âme humaine; Ou, ministre, il prodigue et ses nuits et ses jours; Orateur, il entasse efforts, travaux, discours; Il marche, il lutte! Hélas! l'injure

utilitaires comme Fourier et Saint Simon (Le producteur) qui parlent d'une utopie sociale. Saint Simon parle d'une doctrine qui proclamme la fonction sociale de l'art : l'art est utile. Le génie des beaux-arts serait un guide. La littérature serait un flambeau par lequel on mène les peuples vers un idéal. Théophile Gautier écrit dans la préface de Melle de Maupin (1834) : "Il n'y a de vraiment beau que ce qui ne peut servir à rien. Tout ce qui est utile est laid."

allèguent des révélations faites en leur faveur, toutes citent des livres, ouvrages de leurs dieux, et toutes veulent exclusivement l'emporter l'une sur l'autre. Pour m'éclairer dans ce choix difficile, je n'ai que ma raison pour guide, et dès qu'à son flambeau j'examine toutes ces prétentions, toutes ces fables, je ne vois plus qu'un tas d'extravagances et de platitudes qui m'impatientent et me révoltent.     Après avoir rapidement parcouru les absurdes idées de tous les peuples sur cette importante matière

Ces questions sont traditionnellement du ressort de la philosophie. Mais la philosophie est morte, faute d'avoir réussi à suivre les développements de la science moderne, en particulier de la physique. Ce sont les scientifiques qui ont repris le flambeau dans notre quête du savoir. Cet ouvrage a pour but de présenter les réponses que nous suggèrent leurs découvertes récentes et leurs avancées théoriques. L'image qu'elles nous dessinent de l'Univers et de notre place dans ce dernier a radicalement