Le gendarme se marie

châtiment » suffisant. Il essaie d’attirer la compassion, la bienveillance des jurés, de rendre M humain. Mais son discours est maladroit et stéréotypé. Les points faibles, voire le ridicule de ce plaidoyer La conversation entre M et un gendarme (discours direct et indirect) révèle que le discours de son avocat n’est en rien original, mais qu’il est stéréotypé, donc peut-être pas très convaincant… L’avocat se montre arrogant : il déclare qu’il peut lire dans l’âme de M « à livre ouvert

intègre l'Université américaine du Caire. Elle apprend l'anglais et perfectionne son français. Elle rêve d'être danseuse. Elle se marie avec un médecin à 22 ans. En 1942, elle part vivre au Liban avec son mari. C'est en 1946 qu'elle s'installe définitivement à Paris, où elle commence à publier ses recueils de poésie. II. Le résumé de l'œuvre Dans une ville en guerre, Marie reçoit une balle dans le dos par un franc-tireur alors qu'elle rejoignait Steph, à l'autre bout de la ville. Un couple d'octogénaire

stupides, les deux gendarmes aux deux bouts de mon banc, et les robes noires s’agiter, et les têtes de la foule fourmiller au fond dans l’ombre, et s’arrêter sur moi le regard fixe de ces douze jurés, qui avaient veillé pendant que je dormais ! Je me levai ; mes dents claquaient, mes mains tremblaient et ne savaient où trouver mes vêtements, mes jambes étaient faibles. Au premier pas que15 je fis, je trébuchai comme un portefaix trop chargé. Cependant je suivis le geôlier. Les deux gendarmes m’attendaient

L’Étranger. (1942) Albert Camus Première partie. Chapitre 5 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14 Le soir, Marie est venue me chercher et m'a demandé si je voulais me marier avec elle. J'ai dit que cela m'était égal et que nous pourrions le faire si elle le voulait. Elle a voulu savoir alors si je l'aimais. J'ai répondu comme je l'avais déjà fait une fois, que cela ne signifiait rien mais que sans doute je ne l'aimais pas. "Pourquoi m'épouser alors?" a-t-elle dit. Je lui ai expliqué que cela n'avait

d’autre, mais je n’ai pas trouvé les peintres correspondant : 2-la colombe poignardée de Guillaume Apollinaire (1880-1918) : Douces figures poignardées chères lèvres fleuries Mya Mareye Yette et Lorie Annie et toi Marie Où êtes-vous ô jeunes filles Mais près d'un jet d'eau qui pleure et qui prie Cette colombe s'extasie Tous les souvenirs de naguère O mes amis partis en guerre Jaillissent vers le firmament Et vos regards en l'eau dormant Meurent mélancoliquement

Monsieur GOMEZ de m’avoir acceuilli pour mon premier stage au sein de GOMEZ Entreprise au HAVRE. J’ai participé à l’installation des conduits et évacuations en Pvc puis à la pose des radiateurs. Merci à Monsieur YVAN DROINET gérant de l’entreprise MARIE & FILS à Cormelles le Royal et à tous ses employés de m’avoir accueilli pour mon second stage où j’ai beaucoup appris sur le métier, j’ai fais du dépannage client et plusieurs installations d’équipements sanitaires et de chauffages. 2|Page

FICHE DE LECTURE Titre du livre et genre : Piège pour petits rats Roman Nom de l’auteur : Anne-Marie DESPLAT-DUC. Biographie de l’auteur : Anne-Marie Desplat-Duc est née en 1948 à Privas en Ardèche. Elle vit désormais dans les Yvelines. Elle consacre tout son temps aux romans pour la jeunesse. Principales personnages : Pauline et Charlotte. Personnages secondaires : Noémie, Caroline, Chloé, Edwige, Ameline, Adrien, Mr et Mme Wilson, les malfaiteurs,Mme Hugo,Mr Nirkos. Circonstances

tué par une balle de soldat. Il est marié à « La Maheude » (Constance) à qui il est fidèle. Cette dernière à 39 ans, et ne travaille pas à la mine, sauf après la mort de son mari, où elle rescendra pour nourrir ses quatre enfants. Antoine Chaval est d écris comme « un grand maigre de 25 ans ». Jaloux et brutal, il travaille aussi à la mine. C’est l’amant de Catherine. Il refuse d’abord de participer à la grève, devient porion et dénonce les mineurs aux gendarmes. Il est l’opposé et le rival d’Etienne

je fais commettre à la société !       Oh ! Est-il bien vrai que je vais mourir avant la fin du jour ? Est-il bien vrai que c'est moi ? Ce bruit sourd de cris que j'entends au-dehors, ce flot de peuple joyeux qui déjà se hâte sur les quais, ces gendarmes qui s'apprêtent dans leurs casernes, ce prêtre en robe noire, cet autre homme aux mains rouges, c'est pour moi ! c'est moi qui vais mourir ! Moi, le même qui est ici, qui vit, qui se meut, qui respire, qui est assis à cette table, laquelle ressemble

qu’il a entendu chantée étant dans l’infirmerie avec une voix pure mais salie par l’argot de la chanson. Chapitre XVII : Le condamné rêve qu’il a réussi à s’évader et qu’il se retrouve sur le pont qu’il le mènerait à l’Angleterre mais voilà qu’un gendarme lui demande son passeport, il se réveille. Chapitres XVIII et XIX : Le guichetier vient voir le prisonnier et lui demande ce qu’il désire manger puis le directeur lui-même vient et se montre gentil, l’homme comprend que son heure est venue.