Le Gouvernement Révolutionnaire

élu à la Convention nationale, où il siège sur les bancs de la Montagne et s'oppose à la Gironde. Après les journées du 31 mai et du 2 juin 1793, il entre le 27 juillet 1793 au Comité de salut public, où il participe à l'instauration d'un gouvernement révolutionnaire et de la Terreur, dans un contexte de guerre extérieure contre les monarchies coalisées et de guerre civile (insurrections fédéralistes, guerre de Vendée...).À la suite de la victoire des comités contre les factions au printemps 1794, il

de 2types : guerre opposant les montagnards aux girondains et guerre de vendée (des chouans) La constitution est donc enfermée dans une arche de Cédres. Il n’y a plus de norme suprême. Le gouvernement révolutionnaire est une théorie juridique. Il agit en fonction des circonstances. L’échec de ce gouvernement viendra dans la méthode. Procédure inventée par Robespierre : si quelqu’un est considéré dangereux par l’assemblée il peut être mis hors la loi ; on l’arrête et le guillotine. Robespierre est

discours. Mais, par-delà le traumatisme du XXe Congrès et des révolutions d'Europe de l'Est, c'est surtout une autre partie qui s'engage alors : en direction des socialistes et des autres forces « démocratiques », dans la perspective de ce gouvernement de centre gauche qui finira par voir le jour en décembre 1963. Toute la stratégie du P.C.I. apparaît ici conditionnée en premier lieu par ses rapports avec le P.S.I. Allié privilégié, celui-ci fait également figure de concurrent, se bat sur le

rénovation de la Chine contre le Nord où régnait encore, à Pékin, le dernier représentant de la dynastie mandchoue et contre les puissances coloniales. En 1911, le philosophe chinois Sun Yat-Sen fonde le Kuomintang (Parti révolutionnaire, démocrate et nationaliste). Le gouvernement de Chine se situe à Shanghai, un lieu stratégique pour le parti et un endroit de soulèvements politiques. Par la suite, en 1912, l’empereur abdique et la Chine du Nord qui était sous son contrôle est livrée aux seigneurs

France connait une véritable cascade d' expérience constitutionnelle diverse. Entre 1789 et 1958, la France a connue 15 régimes différents. La révolution va laisser des traces au cours du 19e siècle. Chapitre préliminaire : Le contexte pré-révolutionnaire I) Relative au cause La révolution a des causes toute à la fois structurelle et conjoncturelle. Ces causes se cristallise pendant l' été 1789. Le contexte de l' été 1789 est explosif car la crise est générale, elle est présente 4 facettes :

droit est donc une institution. Certaines d’entre elles sont établies, pour organiser la sté politique= institutions publiques. Cette expression recouvre deux grandes catégories d’institutions: - Les institutions politiques qui sont chargées du gouvernement de l’Etat en organisant la direction de la sté politique, c’est à dire la prise de décision. - Les institutions administratives quant à elles, organisent l’administration de l’Etat (fonction subordonnée/d’exécution). Donc mettre en œuvre ce

contribuant considérablement à la diffusion des idées révolutionnaires. Ces conflits ont ensuite trouvé leur prolongement dans les guerres napoléoniennes. La Révolution est restée un objet de débats ainsi qu'une référence positive tout autant que négative, tout au long des deux siècles qui l'ont suivie, en France comme dans le monde. La Révolution française a créé des divisions immédiates et durables entre les partisans des idées révolutionnaires et les défenseurs de l'ordre ancien, et aussi entre

et l’anticapitalisme aujourd’hui Encore aujourd’hui, Ernesto “Che” Guevara a beaucoup pour attirer les anticapitalistes. Il apparaît tout d’abord, et même ses ennemis le reconnaissent, comme un homme intègre qui a tout sacrifié pour ses idées révolutionnaires. Comme celui qui a été au bout de lui-même pour lutter pour une cause qui lui apparaissait juste. Comme celui qui écrivit en 1965, dans sa lettre d’adieu à Fidel Castro : "Dans une révolution on triomphe ou on meurt". Surtout, il est celui qui

la « lutte des classes », concept d’abord évoqué en France par l’historien François Guizot, selon lequel la société et l’économie sont marquées par une lutte constante de survie entre des classes sociales antagonistes. Il appartient au courant révolutionnaire. Parallèlement, Ferdinand Lassalle, homme politique allemand, prône un changement de la société par la voix pacifique, les compromis, le suffrage universel et les lois. Il s’agit ici du courant réformiste. De l’union de ces deux grands courants

Le parti radical de 1870 à 1940 La première partie du XIXe siècle a été marqué par l'émergence de groupements révolutionnaires. Ces groupements avaient des visées diverses: anarchisme, socialisme etc. Ces mouvements possédaient une audience limitée, mais n'en n'étaient pas moins actifs. Parmi eux des noms célèbres se dégagent tel que Proudhon ou encore Blanqui. Par ailleurs ces mouvements se sont tous plus ou moins inspirés par la Révolution française qui fait tout à la fois office d'idéal