Le Héros Passif

régulièrement, ce qui lui donne un caractère froid et humide, et elle le perd sans pouvoir l’empêcher, ce qui lui confère un caractère passif. Or, dans la plupart des sociétés, l’actif est masculin et supérieur le passif est féminin et inférieur. Voici la femme et l’homme comparés mais surtout hiérarchisés. Mais la suprématie du chaud sur le froid ou de l’actif sur le passif n’est pas la seule origine de la domination du masculin sur le féminin. les femmes représentent un autre enjeu de taille pour les

Meursault entre les pages 36 et 41 ? Il évoque les choses insignifiantes qu’il fait et qu’il voit. Le temps passe, se déroule sans que rien d’anormal n’advienne. Tous les détails sont racontés « j’ai retourné ma chaise …..fenêtre » p38. Tout semble passif. 6 Laurys Le Marrec PLP2 Lettres-Histoire LP Ste-Claire Deville Issoire IUFM d’Auvergne Séance 4 : Meursault face aux autres. Objectif : - Percevoir les attitudes de Meursault dans sa confrontation à autrui. - La notion d'absurde. -

événements se fait uniquement par le personnage) On retrouve plus de 22 fois "je" en anaphore, renforcé par les pronoms possessifs. - Simultanéité entre moment où il écrit et le déroulement des événements. Le lecteur est projeté dans le présent du héros. 2. la chronologie - Elle est à peu près respectée puisque la succession des événements suit la progression des paragraphes: "je prendrai […] à deux heures" -> "j'ai pris […] à deux heures." - Les temps: présent d'énonciation ("je ne sais pas")

événements se fait uniquement par le personnage) On retrouve plus de 22 fois « je » en anaphore, renforcé par les pronoms possessifs. -simultanéité entre moment ou il écrit et le déroulement des événements. Le lecteur est projeté dans le présent du héros. b- La chronologie -elle est à peu près respectée puisque la succession des événements suit la progression des paragraphes : «je prendrai […] à deux heures » → « j'ai pris […] à deux heures. » -les temps : présent d'énonciation (« je ne sais pas »)

(perception des événements se fait uniquement par le personnage) + 22 fois "je" en anaphore, renforcé par les pronoms possessifs. - Simultanéité entre moment où il écrit et le déroulement des événements. Le lecteur est projeté dans le présent du héros. 2. la chronologie - elle est à peu près respectée puisque la succession des événements suit la progression des paragraphes: "je prendrai […] à deux heures"  "j'ai pris […] à deux heures." - Les temps: présent d'énonciation ("je ne sais pas") qui

origines pratiques (l’impossibilité matérielle d’accéder aux astres). Mais faire une expérience, dans le sens d’éprouver personnellement la réalité d’une chose, d’une situation particulière, d’une habitude acquise par la pratique, est-ce purement passif, sensoriel et exclusivement tourné vers l’extérieur? D’ailleurs, étymologiquement, « faire l’expérience » vient du latin experientia, « faire un essai », celle-ci implique donc fondamentalement une dimension individuelle, puisqu’un essai ne vaut que

l'un que l'autre, n'aimant d'ailleurs même pas leurs sœurs, ni leur père, n'étant ni l'un un héros, ni l'autre un traître, mais tous deux des crapules, avides et cupides, s'étant bêtement entretués pour le pouvoir. Il avoue alors n'avoir aucune conviction que l'un est un héros ou l'autre un traître, c'est seulement pour le peuple... pour donner un bon et un mauvais exemple, le peuple a besoin d'un héros et d'un traître... Il avoue aussi qu'il ne sait même pas si le corps qui croupit là-dehors est

allemands 1 Diderot et sa théorie 2. Lessing, De Stael et Constant (3min) B. Le drame romantique est un héritage du drame bourgeois 1. Définition générale du drame romantique par Anne Ubersfeld 2. Carasteristique du drame romantique : héros + couleur locale + prose ( victor plus tard : preface Exemple Brigands de schiller ; lecture C. Schiller et le drame historique : melange entre romantisme et classicisme : modernité 1. Rappel de la construction de la tragédi : classicisme

caractéristique ou à une pensée, une idéologie. Leur psychologie n’est donc guère développée par le narrateur. Cette caractéristique renvoie au genre du conte, qui a tendance à confier au personnage une fonction (l’auxiliaire, l’agresseur, la princesse, le héros, etc.) au lieu de le doter d’un caractère développé. Candide, neveu bâtard du baron de Thunder-ten-tronckh qui part à la découverte du monde. Pangloss, maître de philosophie de Cunégonde et de Candide, porte-parole de la philosophie optimiste de

serais fils d'un prince3. » Candide est également un récit de formation, récit d'un voyage qui transformera son héros éponyme en philosophe, un Télémaque d'un genre nouveau. L'onomastique4, en matière d'interprétation des textes voltairiens, se révèle souvent féconde. Le mot « candide » vient du latin candidus qui signifie blanc. Le choix d'un tel nom indiquerait l’innocence du héros, voire sa naïveté. Cire vierge sur laquelle on marque en apparence tout, il s'étonnera de ce qu'il observera au fil