Le Joujou Du Pauvre

pigeonnier et la compagnie de son ami. Ici, Fénélon met en scène une condamnation de l'ambition. L'apologue dénonce aussi un monde cruel avec le joujou du pauvre, de Baudelaire où la quête du divertissement est illustré par un jeu cruel qui rapproche les milieux sociaux. Il montre que l'enfant pauvre et l'enfant se satisfassent du même jeu : malmener un pauvre rat. Preuve que leur point commun est dans leur méchanceté et à travers ces enfants, Baudelaire chercher à dénoncer toute une société qui se satisfait

présente plusieurs documents de plusieurs périodes différentes. Rabec et Maillard, dans « Jeux et jouets » nous présente l’origine des jouets ainsi que leur fonction sociale et culturelle, Charles Baudelaire appuie dans son poème en prose « Le joujou du pauvre » la distinction qu’il peut exister entre deux mondes différents qui pour autant l’espace d’un instant vont se regrouper, Gilles Brougères dans son entretien « le rôle du jeu et du jouet » va présenter la fonction sociale et culturelle du jouet

a lecture de ce poème peut faire penser au "Gâteau" ou au "Joujou du pauvre", puisqu'il montre ce qu'est un enfant débarrassé de la « répugnante patine de la misère ». La spécificité et l'intérêt de "La Corde" apparaissent facilement : l'enfant pauvre prendrait l'ascenseur social et intellectuel. Les explications psychanalytiques de ce poème ne manquent pas. Pour René Galand, par exemple, la figure centrale du poème est la « Mère terrible », et la « vieille rancœur de Baudelaire contre la mère

premier, « Un Plaisant », dans lequel Baudelaire décrit un nouvel an dans les rues de Paris, où un homme souhaite la bonne année à un âne. Le deuxième, « Le Fou et la Vénus », se déroule quant à lui dans un des parcs de Paris, et met en scène un pauvre bouffon désespéré qui s’adresse sans succès à une colossale Vénus de pierre. Et pour finir, « A Une Heure du Matin », qui décrit la journée du narrateur avec de nombreux détails. Baudelaire nous montre ici ce qu’est une journée Parisienne. Rêves :

Les poètes ont cette faculté d'immortalité à travers leurs écrits qui rend la poésie unique pour ceux qui la lisent même longtemps après. La Ballade des pendus, François Villon N'ayez les coeurs contre nous endurciz, Car, se pitié de nous pauvres avez, Dieu en aura plus tost de vous merciz. Vous nous voyez cy attachez cinq, six Quant de la chair, que trop avons nourrie, Elle est pieça devoree et pourrie, Et nous les os, devenons cendre et pouldre. De nostre mal personne ne s'en rie :

LECTURE EXPLIQUEE Q1  Dans le chapitre 26, Le condamné s’adresse à sa fille. L’apostrophe, insiste sur le malheur du condamné (« Ô ma pauvre petite fille ! », « Pauvre petite ! », « malheureuse orpheline »), permet au narrateur de s’adresser solennellement à sa fille. Il se désigne comme son père à plusieurs reprises « ton père », « le père d’un enfant de trois ans. » Q2 Les trois moments successifs qui sont évoqués au futur dans le deuxième paragraphe sont « qui traînera sur

la condition aisée de l’enfant. Une antithèse avec pauvreté et médiocrité. L’antithèse est la figure centrale de ce poème. Pâte : expression métaphorique du moule souligne ici la différence entre les 2 mondes. Pauvre = Mauvaise pâte Riche = Bonne pâte. Ligne 10 : description du joujou du riche méliorative : splendide (Hyperbole) verni, doré,… Eloge de la beauté du jouet, de la richesse. Comparaison entre le jouet et son maître. Les mots des lignes 11 et 12 sont mélioratifs. Mais le mot « verroteries

résonances particulièrement modernes même si de nos jour l’esclavage n’est plus d’actualité car c’est moralement inacceptable, l’être humain a réussi a créer des discriminations et a expulsé certaines personnes de la société comme les migrants ou les pauvres. · Enfin, la dernière raison pour laquelle j'ai choisi de présenter cette pièce de théâtre, c’est parce que j’ai beaucoup apprécié le lire, le débat a rendu ce livre vivant car il est rythmé par le jeu des questions-réponses entre les deux hommes

partie. L’écriture est une fuite, cf. « Any where out of the world” L’ivresse de la vertu : C'est une association surprenante. Elévation vers Dieu ? tentative de définition par rapport aux Petits Poèmes en Prose : est-ce un don aux pauvres ? (cf. Le gâteau, Le joujou du pauvre). L’ivresse du vin : cf. Les Paradis artificiels. Le vin est une source d’espérance pour le peuple. Mais attention à ce monde supérieur car l’esprit risque de perdre le contrôle Ces trois vertus qui mènent à un paradis, certes

yeux des pauvres Le message du poème il y a de l'injustice car des classes sociales ne se mélangent pas et les riches sont orgueilleux, sans pitié (pas de charité). Le récit est un analepse : l'auteur rêvait d'un amour fusionnel mais il se rend compte que c'est impossible d'où la haine qui succède à l'amour. 4 : Le joujou du pauvre Ce poème en prose est basé sur l’antithèse entre l’enfant riche et le pauvre. Nous constatons que l’enfant riche est fasciné par le jouet de l’enfant pauvre alors que