Le Journal d'un fou

HORLA * Guy de MAUPASSANT C’est dans un univers tourmenté, oscillant entre libertés et frustrations, que Guy de Maupassant évoluera toute sa vie. Le jeune homme est né en 1850 au château de Miromesnil, d’une mère cultivée et passionnée, et d’un père volage. Il assistera, dès son plus jeune âge, aux disputes incessantes de ses parents qui finiront par se séparer en 1863. L’adolescent vit alors aux cotés de sa mère qui sera pour lui une véritable source d’inspiration : elle lui transmettra

désespéré et fou des suites de la syphilis en 1893. Résumé : Georges Duroy est un homme ordinaire, qui travaille péniblement et ne dispose que de peu de ressources mais deux choses le distinguent : il a une ambition démesurée et obtient un succès fou auprès des femmes de toutes conditions. Lorsqu’il rencontre son vieil ami Forestier aux détours d’une rue il ne se doute pas que celui-ci lui offrira la possibilité d’avoir un destin hors du commun. Forestier en effet le fait rentrer dans le journal dans

consacrer entièrement à l’écriture. Parmi ses œuvres, on trouve des contes ou nouvelles fantastiques comme Sur l’eau, La Peur ou Le Horla mais aussi des romans comme Pierre et Jean, Fort comme la mort. Il souffre de crises nerveuses et décède désespéré et fou des suites de la syphilis en 1893. 2. L’œuvre A. Données générales le cadre spatial Georges Duroy est originaire de Normandie mais ses péripéties se passeront à Paris. le cadre temporel L'histoire se passe à la fin du XIX ème siècle

qui scientifiquement n'existe pas. La folie : Maupassant est fou ou du moins malade, il s'est inventé un ennemi, un monstre qui symbolise peut-être sa maladie, le mal qu'elle cause, l'angoisse, la peur. Maupassant ne veut pas admettre qu'il est fou ça lui vient à peine à l'idée. A un moment, il évoque sa folie, mais il change d'avis et il réessaye de trouver une explication à cet être qu'il ne comprend pas. "Je devient fou?" Cette phrase est à mon avis la plus importante du récit car Maupassant

nerveuses et décède désespéré et fou des suites de la syphilis en 1893. Résumé : Georges Duroy est un homme ordinaire qui longe les longues avenues de Paris, à la recherche de fortune et ne dispose que de peu de ressources, mais deux choses le distinguent : il a une ambition démesurée et obtient un succès fou auprès des femmes de toutes conditions. Un jour, il croise le chemin d’un ancien camarade de régiment,Forestier, qui va l’aider à se faire embaucher dans le journal pour lequel il travaille.

classiques de la littérature française. Étant un auteur fasciné par l’être humain, il écrit les nouvelles «Lettre d’un fou» et «Un fou», dans lesquelles il propose un portrait dépourvu d’idéalisme. Dans ces nouvelles, Maupassant utilise, dans une description très réussie, le désir de tuer et le délire afin de montrer les faces cachées de l’homme. Dans les nouvelles «Lettre d’un fou» et «Un fou», Maupassant propose une image peu attrayante de l’homme en abordant le sujet de l’irrésistible désir de tuer

prix Goncourt qui lui a été décerné en 1988, il jouit d'une grande notoriété. Les débuts de la carrière de Tahar Ben Jelloun (né a Fès en 1944) sont d'abord consacrés au journalisme. Dès 1971, il collabore à divers journaux marocains, avant d'apporter une collaboration assidue au journal français Le Monde. De formation philosophique, il présente son Doctorat de 3è cycle en psychiatrie sociale : son essai La plus haute des solitudes (1977) est issu de cette thèse. Il a maintenu un contact régulier avec

On retrouve la thématique du Horla dans une autre nouvelle de Guy de Maupassant « Lettre d’un fou » publiée en 1885. La différence notable de ces trois ouvrages est leur forme, la « Lettre d’un fou » est écrite sous forme de lettre fictive. La première version du Horla est écrite sous forme de récit-cadre (un récit enchâssant d’autres récits), et la version finale est quant à elle écrite sous forme d’un journal intime. Ces trois œuvres sont désormais publiées ensemble comme le récit intégral du Horla

attachement indéfectible à la liberté de ton, à l’impertinence, à l’exigence, à la différence » Patrick Timsit, humoriste, a lui aussi été épinglé pour une phrase dite lors d'un sketch sur les personnes atteintes de trisomie ("Les mongoliens, c’est comme les crevettes roses. Tout est bon, sauf la tête."). En effet les parents d'un enfant atteint de cette maladie l'ont attaqué au tribunal estimant que la dignité de leur fils avait été bafouée et qu'il fallait que la législation française reconnaisse

[pic] Vaslav Nijinski[pic][pic] 1 Né à Kiev, en Ukraine en 1889, fils d'un couple de danseurs polonais et frère de la danseuse Bronislava Nijinska, Vaslav Nijinski est admis à l’Ecole Impériale de Ballet de Saint Petersburg dés l’âge de 9 ans. A 18 ans, il entre dans le Corps de ballet de l’Ecole Impériale, Nijinski est à cette heure, déjà considéré comme l’un des plus grands danseurs du monde. Il rencontre Serge Diaghilev : Un homme ancien diplômé en musicologie, qui fait fusionner