Le Jugement de Dieu

montres II. Les causes de la monstruosité Le monstre dévoile : une faute/qql chose d’anormal a. Une manifestation divine * Selon Paré le hasard n’existe pas : →CL de la logique (divine) : « jugement de Dieu » (l.11) ; « procèdent » (l.11) →répétition de « Dieu » + évocation d’un Prophète (l.15) * Permet de donner de la légitimité, crédibilité * Permet de donner du poids argumentatif car au 16°s, la religion avait une grande place au cœur de la population *

entretient à Dieu (=plus humain, le dieu terrible de l'Ancien Testament a tendance a s'éffacer au profis d'un dieu plus aimant.), change le rapport à la mort, développement de l'université. Symbole majeure= La cathédrale Gothique: pur produit de la raison, travail d'architecte, socièté bcp plus urbaine, exprime autre ch que la societe d'ordre, bcp plus tournée vers l'avenir. Apogée car le 14°S sera marqué par de grands bouleversements (guerre, peste, déchirement de l'Eglise) I) "Dieu est Lumiere":

Âge, un grand nombre de la population est chrétienne. Être chrétien dans l'Europe médiévale c'est avant tout avoir foi en la religion : croire en Dieu, à son message. Un chrétien se doit d'obéir aux règles imposées par l'Église pour pouvoir rejoindre le paradis. L'Église est une institution omni présente dirigée par des hommes qui ne vivent que pour Dieu, on les appelle les clercs. Cet organisme religieux et présent partout et encadre la vie des chrétiens quotidiennement. Mais il y a aussi les moines

Clamence reçoit son interlocuteur chez lui, couché. Il a de la fièvre qu'il soigne au genièvre. Il lui dévoile le tableau volé qui représente les juges intégres en considérant que si son interlocuteur est un policier, il l'enfermera et le fera passer en jugement en en faisant un martyr de la nouvelle foi. Comme il semble que son interlocuteur ne soit pas un policier chargé de l'arrêter, Clamence lui confie sa dernière faute, son dernier crime : il a bu l'eau d'un camarade prisonnier comme lui et qui était

actes. Grâce à cette vision des choses, il devient possible de dominer les hommes par le biais du jugement et de la punition. Ici, on retrouve également une grande thèse de Nietzsche, celle selon laquelle il y a toujours un dominant et un dominé, lorsqu’il évoque le fait que « le christianisme est une métaphysique de bourreau », c’est exactement ce qu’il insinue, l’homme est soumis par la religion, par Dieu et ses représentants (prêtres, théologiens, sans doute aussi les moralistes de son époque…). Il

sont des textes de méditations religieuses sur la réalité. Les détails réalistes y importent peu et sont à peine suggérés. On passe d’un verset à un autre sans transition. Seule la réflexion religieuse finale, presque un élan du cœur, de la foi en Dieu, est claire. Ces réflexions ne sont pas non plus le fait d’une systématisation conceptuelle, comme dans les épîtres bibliques, où saint Paul – surtout lui – tente d’expliquer les mystères du Christ en accord avec la tradition juive et les nouvelles

nécessité de Dieu aujourd'hui. Sa mort s'explique ainsi. Ne vivant plus sous l'égide [c-à-d sous la protection] divine, il devient possible à l'homme d'inventer sa liberté, avec le risque même de se lancer dans les aventures les plus dangereuses. Parce que le censeur [c-à-d celui qui surveille, permet, interdit; ici : Dieu] ne surveille plus, l'homme peut se compromettre en créant une autre morale obéissant à des principes et des valeurs transformés. » [J.-C. Clavet- Le problème de Dieu. Éd. Le Griffon

chute humoristique (courte). 3. Le cadre spatio-temporel Il n'est pas réaliste malgré quelques références à l'Orient. Les nombreuses interventions du narrateur suggèrent que l'Orient n'est ici qu'un décor et un détour fictifs pour exprimer des jugements sur l'Occident. III. Contestations et propositions politiques 1. Une quadruple contestation Voltaire critique quatre traits du fonctionnement politique : a) Le manichéisme religieux, caractérisé par la disproportion entre les causes et

rapidement s’écrouler. Autrement dit, c’est sur les bellatores que se fonde le X Age. Les classes sont hermétiques les unes aux autres. En effet, au X Age, on considère que c’est Dieu qui a mis en place les classes sociales. Donc on ne bouge pas de la place attribuée par Dieu. On pense également que le roi tient sa place de Dieu (et ce jusqu’à la Révolution française) A noter qu’à l’intérieur de ces ordres, il y a tout de même une autre hiérarchie. C – La religion : elle est partout et régie tout

s’est ajouté maintenant la recherche intérieure de Dieu. L'église tolérait la nature sauvage des laïcs à la condition que temps en temps ils fassent pénitence publique. Vu que le laïcat était aperçu comme un monde de la violence sauvage, l’Eglise avec l’aide des rois tentait d’établir l’ordre extérieur par le rachat des fautes et des péchés. Ainsi l’idéal monastique était du mépris et du refus du monde tandis que pour le reste du peuple c’est Dieu qui était loin et le monde proche. L’Eglise faisait