Le Langage Dans La Cantatrice Chauve

d’Ionesco. Elle est écrite en 1950. Elle est représentée pour la première fois au Théâtre de Poche le 20 février 1951. La mise en scène était de Marcel Cuvelier. Dans sa première mise en scène, la pièce n’excite pas l’intérêt comme celle de La Cantatrice chauve. Quand Ionesco écrit La Leçon, il s’inspire d’un livre d’arithmétique de sa fille. Mais il y a la linguistique et la philologie de plus. Cette pièce est une farce á la fois comique et tragique. Eugène Ionesco est né le 26 Novembre 1912

Alfred Jarry écrit une parodie féroce d’un héros de drame historique : Ubu Roi. Le comique de l’absurde domine au XX e siècle, car il tourne en dérision par des jeux de langage la condition humaine et met en évidence l’inanité de ces humains en manque d’humanité.  Les principales figures en sont Eugène Ionesco (La Cantatrice chauve, La Leçon) et Samuel Beckett (En attendant Godot, Fin de partie). Ils ont largement influencé les dramaturges contemporains comme Bernard-Marie Koltès. 4. Le théâtre

s’investir ds l’ac° b) la place de la parole est marginalisée par la quantité de didascalies - langage non verbal semble avoir le dessus--> confusion, le lecteur ne comprend Ø - dialogue: de quoi parle-t-on? --> de rien, d’un retard => vide, vacuité, vanité, inanimé, inertie, aporie du dialogue et de l’action c) L’absurde = la faillite du langage - cette scene révèle de la faillite du langage, perte de sens. Quand la parole apparait: parole de conflit, parole vide, difficulté à parler

7°:place de l' oeuvre dans la carrière de l'auteur: elle renforce son aversion pour les idéologies. 8°:style mouvement courant artistique auquel appartient l' oeuvre: Théâtre de l'absurde 9°:autre œuvre connu de l'auteur (2ou3): la cantatrice chauve, La leçon, les chaises... III. Analyse de l' oeuvre : 1) pourquoi cet œuvre est elle liée à son époque ? Le personnage de Béranger entre en résistance, seul contre tous. Il est le dernier homme dans une solitude tragique. On peut

 Récapitulatif du théâtre de l'absurde La Cantatrice Chauve (1950), Ionesco Fin de partie (1956), Beckett *période : apparaît dans les années 1950 (XXe siècle) * pas un mouvement, ni une école, mais des écrivains indidualistes → groupe hétérogène *volonté de rompre avec les conventions du théâtre occidental cf. les règles classiques du XVIIe → pas d'acte, ni de scène → action réduite au minimum → intrigue narrative souvent non-existante → personnages sans individualité → portée

aspect cocasse. Les mises en scènes mettent en valeurs les accessoires, les sons et les lumières. De plus, le personnage est un anti-héros, il n'a ni passé, ni réelle identité, insignifiant. La parole est son seul moyen d'exister, l'absurde remet le langage en question. Contrairement aux genres précédents, le théâtre de l'absurde n'a plus pour but de plaire, mais de choquer (_Le Discours, _Ubu Roi). Les grands auteurs de l'absurde Les grands dramaturges du XXe siècle sont : Samuel

parodique. La difficulté à se comprendre Les personnages ne parviennent pas à communiquer et les malentendus et quiproquos provoquent des disputes, comme l’emportement d’Antoine sur le mot « brutal ». Le plus souvent, les personnages soliloquent et le langage est fermé sur lui-même, en forme de chiasme (A-B-B-A): « Ce n’est pas bien que tu sois parti, parti si longtemps / ce n’est pas bien » ou « Je suis mal à l’aise / excusez-moi (…) excusez-moi / Je suis mal à l’aise » L’épanorthose, figure de style

modifications de langage. Existence dénuée de sens. * Refus du réalisme, des personnages et de l’intrigue. Souvent on ne trouve pas de personnalités marquées ni d’intrigue. * Le lieu où se déroule l’action n’est souvent pas cité avec précision (dans « en attendant Godot », on sait que l’action se déroule dans une lande, sans plus de précision). * L’absurde apparaît aussi avec le temps qui passe (pendule sonnant un nombre improbable de fois dans La Cantatrice chauve de Ionesco).

mais aussi pour classer les œuvres de certain auteurs dramatiques du 20ème siècle, principalement en France qui rompait avec les principes traditionnelles des théâtres occidentaux. L'absurdité des situations mais également la déstructuration du langage lui-même ont fait de ce style théâtrale un mouvement à part entière. Ce type de théâtre montre une existence dénuée de signification et met en scène la dérision du monde dans laquelle l'humanité se perd. Le théâtre de l'absurde n'est ni un mouvement

n’est pas démontrée : elle est seulement mise en scène ; c’est au spectateur qu’il revient de comprendre, grâce aux gestes  Combattre les illusions, littéraires et philosophiques, qui donnent une image idéalisée de l’homme.  Montrer les limites du langage dans la communication : souligner l’absurdité de la vie et du monde par des discours absurdes ou vides  Refus du didactisme, de l’engagement, de l’idéologie. Caractéristiques :  Disparition de l’intrigue : les situations n’évoluent pas, pas d’intrigue