Le Langage Libertin

pour son fiancé (Pierre). Réponses affirmatives « oui, pourvu que ma tante le veuille » (r.37). Positive, réponses directes. Conclusion La stratégie de séduction de Dom Juan fonctionne, il met en pratique sa stratégie de manipulation, son côté libertin habile > efficace. Il abuse d'une âme naïve, mais met un effet comique en mettant les spectateurs de son côté. Acte 1 scène 3 Sg superstitieux, DJ athée (sans dieu), cet extrait porte sur la religion. I/La foi du Sganarelle 1) Une foi naïve

lors des spectacles avaient pour base les pas des danses de bal. Les danseurs professionnels occupèrent une place de plus en plus importante dans les ballets et les opéras, et la discipline reposa peu à peu sur une technique plus exigeante. Le langage chorégraphique défini à l'époque constitue aujourd'hui encore la base du ballet classique La Sculpture baroque La caractéristique principale des églises baroques est l'exubérance de la décoration, voire sa surcharge. A gauche, un exemple du

34) → montre la non survie dans l' haut de là Cependant le discours de Sganarelle va trop loin ==> Le dialogue révèle que D-J domine son valet même si celui-ci parvient à lui adresser des reproches légitimes en condamnant sa vie de libertin. Par ailleurs, le valet n'est pas pour autant valorisé II – Le comique / un valet qui apparaît pourtant comme le personnage comique de la pièce Les difficultés que le valet rencontre lorsqu'il cherche à s'exprimer le rendent comique

personnage, elle n'avait jusqu'alors rien dit à Figaro et espérait sans doute recevoir la dot sans satisfaire les avances du comte. Elle parle à Figaro en vers mais est aussi maternelle. Le Comte contraste fortement avec Lindor, il apparaît comme volage, libertin, sans scrupule et tyrannique; il veut séduire Suzanne. La Comtesse (ancienne Rosine) est maintenant délaissée par son mari, elle marque la superstition de l'épouse délaissée. Bazile est toujous là, un personnage vénale, il n'est plus avec Bartholo

antiques. Le terme libertin (du latin libertinus, « esclave qui vient d’être libéré », « affranchi ») comporte deux acceptions principales : • dans sa version d’origine, le libertin est celui qui remet en cause les dogmes établis, c’est un libre penseur (ou libertin d’esprit) dans la mesure où il est affranchi, en particulier, de la métaphysique et de l’éthique religieuse (exemple : Dom Juan de Molière) ; • le sens qui prévaut de nos jours se réfère au libertin de mœurs, c’est-à-dire

séduit beaucoup de femmes, de tous types, de tous âges et de toutes classes sociales. On a l’impression que Dom Juan veut se constituer un vrai tableau de chasse On apprend donc aussi que c’est un méchant homme avec une double dimension : il est libertin de mœurs, et de pensée : il se conduit comme un impie, un hérétique. Cependant, le portrait de Don Juan n’est pas objectif. III. Qu’en est-il de la relation Don Juan/Sganarelle ? Sganarelle se donne de l’importance, se prétend proche de son maître

le spectateur influence l’auteur, en retour, le dramaturge sollicite l’implication du public par les choix d’écritures spécifiques au langage dramatique et par ses conventions. Au théâtre, ces conventions impliquent qu’une complicité s’établisse entre le spectateur et l’auteur, le spectateur et les personnages et le spectateur et l’acteur. La spécificité du langage théâtral sollicite, malgré lui, le spectateur et en fait un partenaire privilégié puisque les choix d’écriture de l’auteur impliquent

revolte et critique “avortement” → ironie, erreur du mot → polémique sur le droit à la fois de l'euthanasie et le droit d'abortion “il n'y a plus deguelasse” “le type […] a battu le record du monde comme légume, c'est encore pire que Jesus” → langage familier → compare l'etat vegetative à la crucifixion. “enfoncer la vie dans la gorge des gens” → métaphore → critique du manque de authanasie, on compare la vie quelques fois à une épée qui nous poignarde et nous détruit plus que la mort. B

opportune, si elle est vraie, est sans doute moins liée aux vertus singulières du vêtements qu'à la peur atroce que le poltron a pu éprouver.On constate aussi ce motif farcesque et le registre du bas avec l'opposition entre le « bon » usage et le langage populaire. «Enfin donc, j'estions sur le bord de la ma, moi et le gros Lucas, et je nous amusions à batifoler avec des mottes de tarre que je nous jesquions à la teste; car comme tu sais bian, le gros Lucas aime à batifoler, et moi par fouas je batifole

le placere et le docere (la clarté et le plaisir) utilisé par l’auteur, dans le refus d’user d’un langage trop incommode ou savant susceptible d’ennuyer le lecteur. Nous traiterons différentes pensées, chacune étant particulièrement illustrative d’une méthode rhétorique précise et apprécier les effets sémantiques que celles-ci peuvent avoir sur l’interlocuteur ciblé (dans ce cas précis, le libertin). Ce travail s’articulera sur trois parties distinctes. Premièrement, il convient d’expliquer certaines