Le Langage Libertin

personnage principal. C’est un libertin qui ne croit en rien ni en personne,qui passe sa vie à faire la fête, à s’étourdir dans l’ivresse et les plaisirs de la chair. En le forçant à s’arrêter dans sa fuite en avant, la demande d’aide de Coelio l’oblige à revenir sur lui-même, et le fond de son caractère apparaît alors, une mélancolie sombre et angoissée. Il semble « las de cette existence désordonnée » (Léon Lafoscade). Il a par dessus tout le sens du langage, de l’image, et c’est là-dessus

pièce est en deux actes et le langage est courant voire familier. Pas de respect des bienséances : présence de sexualité -Hélène embrasse Troilus derrière les portes de la guerre : libertin, de plus elle trompe son mari avec un jeune garçon Cela montre qu’Hélène est un personnage frivole, puéril et léger. COMIQUE DE CARACTÈRE + Présence de personnage de comédie : Vieillard paillard qui cherche à voir les « fesses » d’Hélène. (Acte I, scène 5) COMIQUE DE MOT Langage familier, voire vulgaire,

Pierre - Critique sociale Roman épistolaire de Montesquieu (écrit par lettre) => Les lettre persannes (1721). Montesquieu critique la société Françaises sans censuré. Les liaisons dangereuses de Choderlos de Laclos => roman épistolaire. Deux Libertins Valmont et Merteuil. La religieuse de Diderot => intérêt : multiplication des points de vue. Le 17ème et 18ème n’accordent toutefois pas de grandes importances pour les romans. III) Le triomphe du Roman au XIXème siècle L’apogée du roman

lecture analytique de l'Acte V, scènes 5 et 6 Molière est un acteur, metteur en scène et directeur de troupe sous la protection du Roi Soleil au 17ème siècle. Il écrit Dom Juan en 1665 après Tartuffe, qui met en scène le personnage d'un libertin, ce qui provoque la colère et la censure. Le dénouement se trouve à l'extrême fin de la pièce, dans les deux scènes finales. Il met en scène les personnages de Sganarelle, Dom Juan, ainsi que deux autres sortant du fantastique. Il s'agit dans ce dénouement

passions’ - ZOLA ➢ le mot roman vient du latin populaire ‘romacium’ = ‘langue romaine vulgaire’, càd langue parlée par la populations des pays conquis, par opposition au latin dit ‘classique’- ansi, d’après son étymologie, ce mot désigne donc une oe au langage populaire. ➢ le terme ‘passion’ dérive du mot latin ‘passio’ qui signifie souffrance, de ce fait éprouver de la passion, c’est aussi souffrire ➢ ‘la passion est une maladie de l’âme’ - DESCARTES ➢ ‘la passion s'accroît en raison des obstacles qu’on

En 1673, après avoir jouer la pièce : Le malade imaginaire, il rentre chez lui et meurt, on refuse au début de l'entéré car il n'a pas renier sa profession. Dom Juan : Résumé : Cette pièce relate la vie d'un personne infidèle, séducteur, libertin blasphémateur, être de l'inconstance et du mouvement. DJ jeune noble vivant en Sicile accompagné de son fidèle valet Sganarelle, accumule les conquêtes amoureuses, séduisant les jeunes fille nobles et les servantes avec le même succès. Seule la

de ses grandes pièces théâtrales, elle a été écrite en 1665. Cette tragi-comédie en cinq actes représente l'histoire d'un fuyard et d'un séducteur libertin, Dom Juan, qui ne croit rien sinon que" deux et deux font quatre". Ici le passage étudié est la tirade de Dom-Juan à l’Acte I scène 2. Dom-Juan explique les raisons qui le poussent à être libertin avec les femmes et à vouloir être infidèle. Nous étudierons d’abord l’éloge paradoxal du libertinage que Dom-Juan fait puis nous analyserons de plus

symétriquement. * " ta maîtresse" Réplique n°1 * "Ton maître" Réplique n°2 // Synonyme : "un homme de sa qualité" (=Homme noble) Dans sa tirade finale, Sganarelle emploi "Seigneur" en parlant de Dom Juan. - Pour Sganarelle et Gusman, les costumes et le langage suffisent à renseigner le spectateur. 2 ) Elle permet de comprendre l'action, l'intrigue : - Les rapports entre Done Elvire et Dom Juan : · Dans l'ordre chronologique, les événements se sont déroulé ainsi : --> Done Elvire se trouvait

va réussir dans la société (son nom est devenu synonyme d'ambitieux), mais au détriment de tout sens moral. À travers son personnage, le lecteur se forge une vision de la société, de la morale, et apprend les codes des différents mondes et leurs langages (comme l'argot de Vautrin). Balzac propose donc à ses lecteurs une lecture "exemplaire" du monde, à traves des personnages qui ne le sont pas. Le roman peut aussi amener à réfléchir sur le bien et le mal en nous mettant face à des personnages

absurdités « ni loup-garou »(l.64), « épousé toi, son chien et son chat »(l.70)c) Le thème du libertinage et de l’envie de séduire de Don Juan est abordé avec insistance dès cette première scène : « pour attraper les belles »(l.72). II- Le portrait du libertin. a) Le libertinage de mœurs. irrespect de l’institution du mariage, un des sacrements religieux les plus importants : « épouseur à toutes mains » (l.72-73) conventions sociales remises en cause avec la gradation « dame, demoiselle, bourgeoise, paysanne »(l