Le Langage Ne Sert Il Qua

5). La théoricienne s'est fortement inspirée des travaux de Mikhaïl Bakhtine, qui avait développé le concept de dialogisme. Plus vaste que le concept d'intertextualité, le dialogisme de Bakhtine inclut le concept de Kristeva : « Pour Bakhtine, le langage est un médium social et tous les mots portent les traces, intentions et accentuations des énonciateurs qui les ont employés auparavant » (Aron et Viala, 2002 : « Dialogisme »). M. Riffaterre, L. Jenny et G. Genette ont ensuite développé chacun une

notation qu’à la première interview. Nous avions ici un aiguilleur bien plus jeune que le premier, qui a presque notre âge donc l’ambiance générale était différente, et cela se traduit par exemple, comme on le voit dans les retranscriptions, par un langage différent. Là encore, l’aiguilleur était très heureux de nous partager son métier et sa passion pour les trains. Les deux interviews se sont donc réalisées sans moment de gêne ou de « censure » en partie grâce à l’intérêt mutuel que nous portaient

confidences notées est son scripteur. L’intention esthétique étant a priori absente, le journal est le lieu d’une écriture sans apprêts, parfois elliptique ou syncopée, où la sincérité et la spontanéité priment sur la perfection de la forme. ➤ À quoi sert le journal intime ? Le journal intime joue des rôles différents, selon celui qui le tient. Il est un garde-mémoire qui enregistre les faits, les impressions, les sentiments au jour le jour pour en conserver la fraî- cheur et la trace. Il est aussi

qu’au désir de se grandir à ses propres yeux, même si c’est à travers des conduites répré- hensibles. Par le récit, la victime trouve un moyen de s’affirmer, de relancer une identité en souffrance, blessée, fragmentée et/ou incer- taine ! La victime se sert de ce qui lui arrive comme une forme de légi- timation 6. Selon Vigarello, lorsque « les personnes n’ont pas ce qu’elles veulent, elles se situent dans une position de victime ». Ce processus de victimisation se généraliserait, entraînant l’opinion

droit de la famille, etc.). Le contrat est l’acte social par excellence, son emprise sur le monde moderne est tentaculaire. Tout contrat engendre des obligations. Il faut donc aborder préalablement cette notion. I - L’obligation Dans le langage courant, l’obligation est envisagée comme un devoir. Dans son acception juridique, l’obligation est un lien de droit entre deux personnes dont l’une, appelée créancier, peut exiger de l’autre, appelée débiteur, l’exécution d’une prestation ou d’une

que cet objet d’amour n’est pas à disposition, qui appartient à un autre, qui se réserve le droit d’en jouir et l’exclut à l’enfant. Il y a des relations sur lesquelles l’enfant n’a aucun pouvoir. Or, cette expérience violente est la condition sine qua non pour reconnaître l’autre comme un sujet autonome, i.e. comme un sujet de désir autonome, qui a ses propres désirs, qui peuvent contrevenir aux miens. C’est aussi la condition sine que non pour que l’enfant se reconnaisse soi-même comme sujet d’autonomie

encore assez. Celui que je ne suis que trop, c’est ce que je suis déjà ; ce que je ne suis pas encore assez, c’est ce que je devrais être : l’affirmation rageuse de ma particularité (y compris dans tout ce qu’elle a pourtant de dérisoire et de piteux) ne sert qu’à masquer, avec les moyens du bord, cet abîme qui s’est peu à peu ouvert entre moi et moi-même. Si donc je me fais un devoir d’afficher ce que je crois être ma personnalité, c’est parce qu’au fond je ne m’y reconnais pas : être soimême, loin d’être

aujourd’hui étroitement de ses capacités à identifier, valoriser et développer ses compétences. Apprendre à mieux se connaitre et évaluer ses compétences en management devient un enjeu majeur pour réussir sa carrière. L’évaluation est une condition sine qua none de l’évolution. L’évaluation permet d’éviter le flou, l’imprécision, l’implicite. Dans le monde pragmatique de l’entreprise, il est nécessaire d’évaluer le niveau de compétences en management pour accéder à une fonction (recrutement, mobilité)

→ les indications → acte, scène, nom du personnages le découpage :Théâtre classique(XVIIe siècle)l’expositionLe noeudLe dénouementtragédieActe IActe II,III IV → Acte VcomédieActe IActe IIActe IIIl’exposition : sert au spectateur à comprendre ceux qui s’est passé avant le début de la représentation « in media res »change de scène quand un nouveau personnages rentre ou sort *les genres théâtraux :Acte L’intrigue Personnages But, finalitéPériode Comédie 3Amour

duttiun à l'archite.rle,'. en[in, crédite la .Poétique d'un^systèmc des genres économique et cl'fiéacc, à quclques défauls. près._ Ces. retours à Àristote n'ont sans doute qu,une importance marginale dans la réflexion de Genette, mais I'orientatio'n quà leur interprétation imprime à la poétique me paraît en revanche déci_ res -- certaines compatibles. avec les acquis de II La fréquentation d'Aristole par les poéliciens a été somme Ioute moin5 importanie que ne le laissait piévoir là proclamatio;r