Le Langage Nous Donne T Il Un Pouvoir Sur Autrui

Les pouvoirs de la parole Distinctions conceptuelles utiles : langage/langue/parole ; pouvoir de / pouvoir sur ; persuader / convaincre « Puisque nous avons reçu le pouvoir de nous convaincre mutuellement et de faire apparaître clairement à nous-mêmes nos volontés, non seulement nous nous sommes affranchis de la vie sauvage, mais nous nous sommes réunis pour bâtir des villes, fixer des lois, découvrir les arts. Presque tout ce que nous avons inventé, c’est la parole [logos] qui a permis

Humanités Littérature Philosophie 07/09  Thème 1 : Les pouvoirs de la parole   MONSIEUR BERGER    Chapitre 1 : L’art de la parole  Dans notre société, la parole est omniprésente. De la sphère privée à la sphère publique, elles  structurent notre existence. Les paroles sont parfois blessantes, parfois réconfortantes; ce ne sont  que parfois “des belles-paroles”; donner sa parole c’est promettre. On voit donc que la parole se  caractérise à la fois par sa force mais également par son ambigüité.  D’où

droit ne seraient que des règles de conduite. En réalité, les règles de droit sont loin d‘être que des règles de conduite car beaucoup de règles confèrent un état (ex : état de gens marié, pacsés …), beaucoup de règles également nous donnent les pouvoirs de faire quelque chose : ce sont des règles pour agir c'est à dire destinées à être mises en oeuvre, comme le droit de demander réparation quand un dommage nous est causé ou si notre vie privée est bafouée(art 9). Ces règles sont des règles pour

rectificatif se situe au sujet de l'emploie même du terme de concept. Frege admet deux acceptations, la première psychologique et la deuxième logique qui est la seule l'intéressant. Dans cette lignée il rétablie les choses en posant d'abord qu'il n'avait pas donné une définition du concept mais seulement des exemples explicatifs, en effet à son avis un concept est un élément basique c'est à dire logiquement simple et on ne saurait le définir. Un tel élément ne peut qu'être inventé/nommé et il s'agirait ensuite

qui est hospitalisé pour une hémiparésie droite, elle a comme antécédant : HTA, retard mental. Mme est également sourde et muette et n’a pas était à l’école des sourd et muet par conséquent elle communique avec son propre langage : des gestes et des cris. Malgré son handicap c’est une dame qui aime beaucoup communiquer et essaye de se faire comprendre. Elle est très entourée par sa famille qui vienne la voir tous les jours. Lors

(résumé du livre préparé par Christine Keller−Chassot, Gymnase de Morges, http://www.gymnase−morges.ch/docs/Rosen.html) Introduction Trois objectifs 1. Comprendre ce qui déclenche la violence dans mes comportements, mes paroles ou mes réponses > le langage qui juge : il correspond à de la domination et induit de la soumission ou de la révolte > l’attribution à l’autre de la cause du conflit : − elle implique l’incapacité de reconnaître ma propre vulnérabilité et celle de l’autre − elle a pour effets

saisir du pouvoir afin de faire des lois à sa convenance. Ce phénomène s'illustre tout à fait par le totalitarisme, un état autoritaire ayant un contrôle entier, et surtout un contrôle, une domination, des consciences. Ainsi, la morale est pour Nietzsche le langage figuré des passions, et tout particulièrement la passion de dominer. Il prend l'exemple du christianisme, où le chrétien aime sont prochain mais comme un oiseau de chasse aime sa proie. La morale permettrait donc un certain pouvoir, la domination

une valeur de vérité de tel sorte que nous nous persuadons que nous pouvons croire en la parole. Cependant, cette parole est un outil ambigu et manipulable, ce qui nous incite à ne pas y croire. Cela nous amène enfin, à redéfinir la parole afin de pouvoir y croire tout en étant assuré de ne pas se faire berner. La parole étant un de nos seuls moyens universels de dialogue, il semblerait que la parole soit indispensable pour que les hommes puissent communiquer entre eux, vivre ensemble et prétende

comme construction par le discours de l’Etat rendant possible la vie en commun des hommes. C’est le contrat qui fonde la légitimité du pouvoir social et c’est le droit qui lui donne les moyens de s’opposer à la violence. En son sens neutre, « le politique » renvoie à un mode d’existence de l’homme, donc une existence sociale qui suppose des phénomènes de pouvoir. Pour que l’homme ait une existence sociale, il faut qu’il entretienne des relations avec les autres, et pour cela il est nécessaire d’établir

| |Autrui | | | | | |"Le chemin le plus court de soi à soi passe par autrui" (Lavelle)