Le Libertinage Conclusion

Choderlos de LACLOS : Les Liaisons Dangereuses, lettre LXXXI : jusqu’à : « bras de M. de Merteuil. » Le thème du libertinage n’est pas nouveau au XVIIIème siècle puisque d’autres auteurs que Laclos l’ont déjà traité, tel Molière en 1665, dans son œuvre Dom Juan. Pourtant l’œuvre intitulée Les Liaisons Dangereuses, roman épistolaire de 175 lettres écrit en 1782, fait scandale à sa parution, au point que les salons parisiens seront fermés au romancier, et qu’il sera lui-même menacé dans

" qui en choque un, se les jete tous sur les bras  " question rhétorique références implicites à la cabale des dévots => Accentuer la portée de la démonstration • • • • • • • • III) Don Juan : défenseur hypocrite de la foi pour continuer son libertinage Don juan use d'une queston oratoire associée à un exemple personnel pour montrer comment il veut se servir de l'hypocrisie : "combien crois-tu que j'en connaisse ?". Il se justife ici par le nombre. Parle de maniére générale. "quelques baissements

de l’émancipation féminine avait déjà dans les Liaisons dangereuses un rôle important. Par sa forme épistolaire, ce roman donne la parole à tous les personnages et multiplie les points de vus et les vérités. Laclos veut « condamner » le libertinage. Le libertinage, au XVIIe et au XVIIIe, désigne une liberté de pensée en matière de religion et de mœurs. Il remet en cause les dogmes religieux, il aime la provocation et prône la liberté sexuelle. La lettre 161 est la dernière rédigée par Mme de Tourvel

Cléante refuse les menaces de Tartuffe ainsi que ses accusations quand au libertinage de Cléante. Par le biais de l’antithèse : « vaines simagrées » et « choses sacrées », Cléante dénonce la confusion la confusion d’Orgon. La dernière partie de la tirade est une suite de réflexions morales qui traduisent le pessimisme de Cléante. Cléante recherche l’équilibre dans la juste mesure, principe même du clarissime. Conclusion : Cette tirade de Cléante constitue une dénonciation des faux dévots et annonce

qui invite à lire Dom Juan comme une critique du libertinage, mais cette œuvre complexe ambiguë ne se contente pas d’un message aussi peu subtile. C’est ce que nous indique cette scène qui défend implicitement libertinage érudit et matérialisme, à travers des références précises dans le discours du valet comme dans le comportement du maître, de même que dans l’attitude du valet et critique implicitement la religion et ses dévots. 1. Libertinage et matérialisme Comme l’a montré son portrait

l’impiété est un aspect fondamental du personnage. Don Juan est en effet un libertin, au sens qu’avait ce mot au XVIIème siècle: il revendique sa liberté de conscience, son indépendance vis-à-vis des traditions, de la morale, et de la religion. Son libertinage de mœurs, qui l’amène à mener une vie de débauché, découle en quelque sorte de cette philosophie de vie. Il est donc avant tout un libertin de pensée, qui refuse les dogmes religieux : il « traite de billevesées tout ce que nous croyons » l.24

son valet Sganarelle fait dans la scène précédente. Alors que le dernier le soupçonne d’une nouvelle conquête, malgré son mariage avec Elvire, Dom Juan fait l’éloge paradoxal de l’inconstance. En quoi sa tirade est- elle représentative de son libertinage de mœurs ? I- Une défense et illustration de l’inconstance amoureuse a) Etude de la progression argumentative * Interjection inaugurale « quoi » définit un conflit entre Dom Juan et Sganarelle -> tonalité critique. * Fait

INTRODUCTION :  A) L'œuvre :    Les Laisons dangereuses de Laclos est un roman épistolaire entre un groupe d'aristocrate dont le Vicomte et la Marquise de Merteuil, des libertins et des anciens amants. Dans ce roman Laclos dénonce l'immortalité du libertinage, les jeux cyniques de séduction, les perversités du milieu privilégié se faisant un loisir de jouer avec les sentiments des autres.   Les deux personnages sont liés par un pacte, si Valmont conquiert la Présidente de Tourvel la Marquise lui offre

l’état de nature n’a pas besoin de remèdes, de la médecine. Par conséquent, l’homme vivant sans luxe, sans progrès, simplement, vit sainement or, dans la société, l’homme ne vit pas une vie saine, il vit une vie pleines d’abus et d’abondance. En conclusion, Rousseau est optimiste fasse à la nature et illustre un profond pessimisme à propos de la civilisation de nos jours. Le progrès ne contribue en aucun cas à l’amélioration de la condition humaine. Pour Rousseau, la civilisation a corrompu les hommes

temps « je n’ai qu’un instant pour t’expliquer mes vues »(L11) . Les didascalies aussi montre son enthousiasme a approcher Suzanne « S’avance » (L3), « Lui prend la main »(L13), « la rapproche de lui » (L18) mais celle-ci n’est pas du tout pour ce libertinage qui réduirait son mariage a néant donc elle refuse malgré les avances du Compte Almaviva « Je n’ecoute rien » (L12) réplique elle vivement . Elle parait sure de son refus d’adhérer a cette union qui serait mal vue d’autant plus que le compte est