Le Libéralisme Et La Presse Au 19ème Siècle

méfiance traditionnelle envers la pratique bancaire, et une peur de prendre des risques. Cette méfiance peut être expliquée par le fait que l’activité bancaire s’est traduite à plusieurs reprises par des faillites et des banqueroutes. Au début du 18ème siècle, alors qu’on avait déjà une banque centrale aux Pays-Bas et en Angleterre, il n’y en avait toujours pas en France. Ce n’est que vers 1720 que nous avons la première expérience française et de banque et d’émission de billets, avec le système LAW

Quand commence cette histoire ? Rupture majeure survenue en Europe vers 1750 (début de l’industrialisation en Europe) Mais plusieurs hypothèses : Renaissance : commence à produire + de biens destinés à l’achat, production de nouvelles choses 20ème siècle : production de masse (production à la chaîne) Quand les consommateurs se revendiquent en tant que tels  citoyens se rendent compte qu’ils sont des consommateurs Quand les chiffres de consommation de biens deviennent importants

Histoire des institutions et des faits économiques et sociaux Introduction : Sujet étudié : Institutions économique, juridique et sociales des siècles passés ( mise en place des institutions actuelles : leur étude montre comment se sont construit les systèmes politiques juridiques et administratifs … Période étudiée : fin 17eme ( fin 19eme. Entre ces périodes : nombreux systèmes politiques qui ont connu et produis des bouleversements juridiques économique et sociaux… Grandes Dates :

De la IIè République à la proclamation de la IIIè République. A partir de 1879 : La France adopte un système Républicain parlementaire. Le 19è siècle est marqué par l’affrontement entre les Républicains et les Royalistes. On voit apparaitre des HISTOIRE POLITIQUE ET SOCIALE CONTEMPORAINE 2 sensibilités politiques différentes, et à la fin du siècle, les partis politiques apparaissent. SECTION I. LES DIFFERENTS MODELES CONSTITUTIONNELS CHAPITRE 1 . L’EXPERIENCE DES MONARCHIES LIMITEES I.

de l’Etat III. LA CRISE DE L’ETAT PROVIDENCE 1. La crise financière 2. La crise économique 3. La crise sociale I. L’EVOLUTION DU ROLE DE L’ETAT Si l’opposition entre Etat gendarme et Etat providence reflète une partie des débats du 19ème et du 20ème siècle, il convient de rappeler que l’Autorité publique n’a jamais cessé d’intervenir dans la sphère économique et sociale. Les guerres de 1914 et de 1940, ainsi que la crise économique de 1929 vont cependant donner une nouvelle légitimité aux interventions

ouvriers sont mal payés (doc. 4) et consacrent en 1856 près de 86% de leur budget au logement (habitation) et à la nourriture. Celle ci se borne aux aliments essentiels : céréales, pommes de terre mais la viande et les graisses sont en quantité plus réduites. L’alimentation est déséquilibrée et les ouvriers sont mal nourris. Les dépenses non nécessaires comme la santé, les transports et « divers » sont très faibles (moins de 2%) au milieu du XIXème siècle. Ce n’est que progressivement que ces conditions

Les incertitudes socio-politiques des années 20 : Etablissement de la démocratie en France : très long. Défi : établir des démocraties en quelques années dans des pays sans tradition libérale. L'enracinement du libéralisme : Dans la majeure partie de l'Europe naissent des régimes libéraux, souvent parlementaires, portés par les anciennes oppositions aux monarchies autoritaires qui se meurent. S'appuient essentiellement sur les bourgeoisies et classes moyennes. La recherche d'une légitimité pour

ses sources et absences de codifications. Les pays de droits écrits (influence du droit romain) du nord et ceux de droit coutumiers (influence du droit germanique) au sud coexistaient. * 60 coutumes générales, 7000 locales A partir du 13ème siècle, le droit romain connait un remarquable essor au point d’être étudié dans certaines universités françaises malgré la réticence de la royauté et de la papauté. Il devient droit commun dans les pays du nord, c'est-à-dire que l’on applique le droit romain

comme la politique de nonintervention de l'Etat en matière d'importations et d'exportations. Il s’inscrit parfaitement dans le libéralisme économique et ce que l’on dénomme souvent le néolibéralisme. Beaucoup des tenants du libéralisme économique (et du néolibéralisme) prétendent s’inscrire dans le libéralisme politique. On ne reprendra pas ici les thèses du libéralisme politique, disons simplement que ce mouvement s’inscrit, avec notamment la Révolution française, mais aussi américaine, dans

modernisation de la monarchie finissant et d’autres mesures sont plus en rupture. Cette idée d’une part de continuité est frappante sur l’organisation des professions. Le système des corporations, à la fin du 18ème siècle commence à être très critiqué, plus une aussi bonne presse qu’auparavant. On reproche à ce système : De freiner l’ascension professionnelle et sociale (un compagnon restera toujours compagnon) Les corporations entravent la liberté économique à cause de l’institution des monopoles