Le Libéralisme Et La Presse Au 19ème Siècle

1. Aufklärung (1720–1785) Le 18ème siècle est dominé par un mouvement de pensée que l’on appelle l’Aufklärung (Siècle des lumières en France; en all. ce mot signifie ≈ “éclairement, clarification”). Son but est de créer une société qui permette à tous les hommes d’atteindre au bonheur terrestre (irdische Glückseligkeit). C’est pourquoi on essaye de se libérer de toute forme de dépendance (die Abhängigkeit) spirituelle et politique. En 1783 le philiosophe Immanuel Kant caractérise l’Aufklärung comme

d’actualiser vos connaissances. Ils sont en général disponibles dans les bibliothèques, universitaires ou même non spécialisées. L’objectif de cette bibliographie est de venir appuyer le cours, de vous aider à sa compréhension. La lecture régulière de la presse, économique ou non, 1 Cette version du polycopié revue en 2010 par F. Pécoup est largement inspirée pour les Chapitres 1 à 3 du polycopié rédigé en 2007 par Sébastien Castaing. 2 mais en particulier de l’incontournable mensuel Alternatives

Introduction : La pensée néoclassique restait globalement fidèle à la tradition de la philosophie occidentale notamment dans ces cotés rationalistes voire déterministes, le caractère mécanique déterministe de cette pensée, à la fin du 19eme début 20eme siècle il va y avoir un mouvement de contestation de cette tradition philosophique en Europe. En Europe la pensée de Nietzche ou Schiller, aux USA on a l’émergence d’un nouveau courant= le courant du pragmatisme où se dégage trois philosophes :

leadership qui leur impose certaines règles . De plus, le jeu international n’est plus un jeu à somme nul (situations dans laquelle tous le monde peut être gagnant). La géopolitique : Apparition au X19ème du suédois Kjennen . Première expansion 19ème début 20ème mal perçue car germanique. Makinder le pivot géographique de l’h « la maîtrise du monde appartient à celui qui contrôle la partie centrale du monde ». Contraintes territoriales : loi terrain qui vient conditionner la puissance=>permet

On s’aperçoit qu’il y a un double mouvement contraire à l’extension du droit de vote qui se fait au détriment de certaines catégories sociales qui vont être écartées de cette progression. La principale exclusion concerne les femmes : il existe un siècle de décalage. Le pouvoir politique entendait protéger la société. Ce retard s’explique par trois facteurs : le facteur politique, les élites craignaient l’influence de l’Eglise qui avait une ascendance sur les femmes et son pseudo-conservatisme ; le

Parlement exprime la volonté générale, or la volonté générale est souveraine. Dès lors que la loi est souveraine, il n’y a pas à se demander si elle est conforme aux institutions : on respectera la loi car elle est légitime. Jusqu'au milieu du 20ème siècle en France, on considère que la loi ne peut être contestée -> vision légicentriste car centrée sur la loi. Cette vision à été remise en cause pour plusieurs raisons : Elle concerne la hiérarchie des normes. Il faut de la logique dans le système juridique

L’entrepreneur est l’agent économique qui réalise de nouvelles combinaisons de facteurs de production. En ce sens, l’entrepreneur incarne l’innovation et peu importe si le capitalisme de ce début de 21ème siècle est un capitalisme managérial, non plus le capitalisme concurrentiel du début du 20ème siècle où les entrepreneurs héroïques jouaient encore un rôle fondamental. A l’heure de l’économie fondée sur la connaissance (cf. Sommet européen de Lisbonne en 2000), l’entrepreneur est toujours porteur d’innovations

l'expression d'un certain libéralisme (paradoxale). Thèse proposée par D. Todd sur conception autour du L-E, le PE renvoie à un principe libéral, il y a un schéma de liberté de l'individu, mais dans le 19ème car certaines facettes restaient à construire. L'individu dans une perspective libérale est à la fois consommateur donc il a le droit au L-E mais il est aussi citoyen qui a des droits fondamentaux (liberté, autonomie pol..) donc PE dans cette mesure est également proche du libéralisme. → Débat historique

CRIMINELLES Introduction : Il y a eu une évolution scientifique, le tournant de cette évolution se situe à la fin du 19ème. En effet jusqu'à cette date, par rapport à la criminalité, on se contentait de poser des normes. A cette époque, les sciences criminelles se réduisaient a peu de choses, au droit pénal. On prouve chez Platon et Aristote des élucubrations mais c’est au cours du 19ème qu’apparaît la criminologie, de laquelle sont détachées d’autres disciplines criminologiques. La délinquance devient

vivent sur le territoire de ceux qui, qu’ils vivent ou non sur le territoire national, sont liés à l’Etat par un lien spécial, la nationalité. On identifie aussi couramment la population de l’Etat à une Nation, au point où l’on parlait autrefois, au 19ème siècle notamment, des « Etats-Nations ». Adhémar Esmein définissait en ce sens l’Etat comme la personnification juridique de la Nation : la nation s’incarne dans l’Etat, l’Etat étant une personne juridique. Simplement, ce critère ne suffit pas. Deux