Le Libéralisme Et Socialisme Dans La Societé Contemporaine

accroissement des échanges, de la production, fordisme, développement des IDE, mobilité des hommes, des capitaux, des services. Mondialisation contemporaine héritée de la révolution industrielle. Rupture ou continuité=> remise en cause de la hiérarchie des puissances après la révolution industrielle, basculement, déclassement, reclassement. Mondialisation contemporaine => un nouvel ordre économique mondial ou un nouveau désordre économique mondial ? Toujours une affaire de « grands » => la triade

surprenant non plus que toute théorie – et ce tout spécialement (mais non exclusivement) dans les sciences sociales – reflète (plus ou moins) son temps et donc également la vision du monde de ses auteurs, leur place dans la société, leurs intérêts, leurs espoirs. Dans une société traversée d'intérêts contradictoires, l'"observateur" se trouve nécessairement d'un certain "côté", jetant, de ce fait, sur la réalité sociale un certain regard qui, inconsciemment, trie parmi les questions, rejetant ce qui

surprenant non plus que toute théorie – et ce tout spécialement (mais non exclusivement) dans les sciences sociales – reflète (plus ou moins) son temps et donc également la vision du monde de ses auteurs, leur place dans la société, leurs intérêts, leurs espoirs. Dans une société traversée d'intérêts contradictoires, l'"observateur" se trouve nécessairement d'un certain "côté", jetant, de ce fait, sur la réalité sociale un certain regard qui, inconsciemment, trie parmi les questions, rejetant ce qui

des transports et autres grandes innovations III) "Un nouveau monde" A. L'essor du capitalisme B. Critiques du capitalisme Conclusion LA RÉVOLUTION INDUSTRIELLE INTRODUCTION : Base de notre société actuelle, La Révolution Industrielle-dont les premiers signes commencent dès la fin du 18ème siècle en Angleterre- a permis l’essor d’un système économique (le capitalisme) ainsi que de nouvelles normes sociales. Des innovations en chaîne améliorent

monde, en même temps, nous l’interprétons, nous lui donnons un sens. Les racines de nos préjugés se trouvent généralement dans de plus grandes croyances politiques qu’on nomme « les idéologies politiques ». Chacun des « -ismes » comme le libéralisme, le socialisme constitue un cadre intellectuel distinct et chaque idéologie nous propose sa propre conception de la réalité politique, sa propre vision du monde. Mais il y a un large désaccord en ce qui concerne le sens du mot « idéologie » parce qu’il

choléra et émeutes (Lamarque) = Des 100n de victimes, mauvaise qulité de l’eau = quartier pauvre. Lamarque meurt du choléra en 32funérailles : moyens pr les rép d’appeler l’insurrection = efficacité garde nationale = le régime est sauvé. *1833 Société des droits de l’homme (Carrel) : les rép sont interdits légalement donc soc secrètes mais ne menace plus vraiment. *1834 Transnonain : émeute, gardeN = erreur, il tire à l’aveugle dans une maison ou il y avait des bourgeois = peintre va en faire

Solidarité et compétition sont deux moteurs de l’action souvent donnés comme antinomiques. Pourtant, chacun semble nécessaire aux sociétés démocratiques. La compétition permet un mode de distinction et de sélection plus juste que celui de la naissance. Quant à la solidarité, elle traduit l’interdépendance des individus et s’avère une condition indispensable de la cohésion des sociétés. Après un effort de définition qui cherche notamment à restituer le contexte d’apparition des termes, le texte qui suit explore

philosophique, la modernité est pour les uns avant tout le projet d’imposer la raison comme norme transcendantale à la société, ou pour les autres la crise de la raison dans l'histoire, ou encore les deux à la fois, d'où la définition de crisologique que propose Gérard Raulet. En termes de sociologie et selon Michel Freitag, la modernité est un mode de reproduction de la société basée sur la dimension politique et institutionnelle de ses mécanismes de régulation par opposition à la tradition dont

Navigation, rechercher Un rassemblement nazi à Nuremberg en 1934 Le totalitarisme est le système politique des régimes à parti unique, n'admettant aucune opposition organisée, dans lequel l'État tend à contrôler la totalité des activités de la société. Concept forgé au XXe siècle, durant l'entre-deux-guerres, le totalitarisme signifie étymologiquement « système tendant à la totalité, à l'unité[1] ». L'expression vient du fait qu'il ne s'agit pas seulement de contrôler l'activité des hommes, comme

totalitarisme est l'un des trois grands types de systèmes politiques avec la démocratie et l'autoritarisme. C'est un régime à parti unique, n'admettant aucune opposition organisée et dans lequel l'État tend à confisquer la totalité des activités de la société. C'est un concept forgé au XXe siècle, durant l'entre-deux-guerres, avec une apparition concomitante en Allemagne et en URSS. Le totalitarisme signifie étymologiquement « système tendant à la totalité1. » L'expression vient du fait qu'il ne s'agit