Le Liseur Personnages

Le liseur Hanna, face à ses juges, pose cette question : et vous, qu'auriez-vous fait à ma place ? Le personnage du roman de Bernhard Schlink fût gardienne dans un camp de concentration nazi et peu de temps avant la fin du conflit mondial, elle se fait complice par sa passivité d'un acte de sauvagerie. C'est pour cette raison qu'elle se retrouve devant la justice de son pays quelques années après l'anéantissement du troisième Reich. Sa défense devant la Cour est chaotique jusqu'à ce qu'elle choisisse

livre "Le liseur" (titre original : Der Vorleser) Publié en Suisse en 1995. Structure : Il y a 3 parties, la première de 17 chapitres, la deuxième de 17 chapitres aussi et la dernière de 12 chapitres. Les chapitres sont relativement courts. Cadre spatio-temporel : L'histoire se passe en Allemagne. La première partie se déroule sur 6 mois, jusqu'à ce qu'Hanna disparaisse. Sept années vont passer avant qu'ils ne se revoient, durant le procès de cette dernière. Personnages : Michael

phonostylistiques liées à la fonction poétique et qui se jouent tous dans la face du signifiant n’ont pas à passer par l’appareil phonatoire pour avoir lieu. Et quand cette dimension sonore est réalisée par la performance du texte, la seule voix de lecteur que le liseur tolère, c’est celle du poète : seule à s’au­to­riser des intentions de celui qui a tenu la plume, la lecture faite par l’au­teur passe pour « au­then­tique » et pour n’ajou­ter au texte disposé sur la page qu’une musique plus ou moins intérieure,

The Reader : « Comment la le procès d’Hannah est-il vécu par les deux personnages du livre ‘’Le Liseur’’ de Bernard Shlink ? » Michael: * il decrit en detail la scene, la sale de jugement, le tribunal: Les fenetres, les chaise, les gens presents. Ensuite fait un zoom sur Hannah, il a decrit tres precisement mais sans emotions. Il decrit l’exterieur uniquement. Il ne montre aucune emotion. Il est tres direct dans ce qu’il dit: “Oui, … Oui, … Oui, …” * Il craint les retrouvailles, sa

compare, s’absorbe. Sur le modèle et à l’image du personnage, il devient autre. Un personnage de fiction est un être imaginaire issu d'une œuvre de fiction. Le héros est alors identifié par le lecteur comme un surhomme, un idéal ou même tout simplement une personne courageuse. Si sa conduite ne correspond pas à un idéal, ce héros peut être qualifié d'antihéros. « Pour que la fiction opère, nous avons besoin de croire à l’existence d’un personnage en qui se résument et se concentrent les actions qu’organise

Cette rencontre initie un coup de foudre entre ces deux personnages.[Problématique] Comment Stendhal réussi il à faire de cet extrait une scène de rencontre amoureuse en faisant naitre deux héros romanesques ?Premier mouvement (l .1 à 13) : Un portrait d’une grande subjectivitéLes deux premiers paragraphes adoptent

Dissertation : le roman d'après Kundera Le terme "roman" provient de la langue romane, langue vulgaire qui s'opposait au latin. Récit en vers ou en prose d'une certaine longueur, montrant les actions de personnages fictifs, le roman devient un genre littéraire à partir du XII° siècle avec Chrétien de Troyes. Contrairement à l'épopée, cette forme se découvre par une lecture silencieuse, individuelle. Romancier et essayiste contemporain, M. Kundera affirme dans L'Art du roman : "L'esprit du roman

d’exposition. D’après le dictionnaire des termes littéraires rédigé par Eric Liseu, une scène d’exposition se doit d’être simple, vraisemblable et si possible intéressante et dynamique. Molière met en scène deux valets, Sganarelle et Gusman valet de Done Elvire qui a travers un dialogue que la mise en scène rend extrêmement dynamique sont chargés de nous informer de la préhistoire tout en préparant l’arrivée sur scène du personnage mythique qu’est Dom Juan. Le spectateur apprend donc que ce dernier, fidèle

évolue une multitude de personnages à a=travers de multiples situations. Ce type d’ouvrage, en règle générale, articule son histoire autour d’un ou plusieurs personnages principaux sur laquelle est basée l’intrigue de l’histoire. Les auteurs spécialisés dans ces œuvres sont appelés romanciers, ils n’hésitent pas à faire de leurs personnages principaux des êtres spéciaux, hors du commun. Ce qui pose cette problématique, doit on systématiquement attendre de ces personnages qu’ils soient des héros.

la bêtise, c’est pour cette raison qu’elle en pâtit autant (de son propre point de vue). Le paroxysme de la citation s’établit lorsque l’on s’intéresse au lecteur de l’œuvre, ainsi qu’à sa manière de l’appréhender. En effet, si le liseur s’identifie au personnage principal, il ne saura se détacher de la fiction et assimilera la vision qu’a Emma de Charles comme étant la seule véritable. Il se sentira concerné par son imbécillité et la subira tout autant que l’héroïne. Or, nous ne nous soucions