Le Livre du courtisan

octosyllabe puis alexandrin ) ou encore au niveau des rimes ( rimes embrassées puis rimes plates ) . Il s'inspire principalement de deux fabuliste de l'antiquité : Esope & Phèdre . Ses fables sont toutes regroupées dans huit livres , le première livre étant publiée en 1668. Le but de la Fontaine est de faire passer des satires des être humains par le comportement d'animaux présent dans ses fables assez courtes . Pour finir sur l'histoire des fables de la fontaine , elles sont considérés comme un

représentation de la société du 17ème siècle. Cela lui permet d’éviter la censure. La Fontaine peint l’homme de façon pessimiste et critique le roi et sa cour. Ici, il s’agit de Les Animaux malade de la peste. C’est une fable issue du deuxième recueil du livre 7 Annonce des axes de lecture Analyse : I - Une fable habilement menée 1.Une Fable qui rappelle les récits mythologiques · Récit · « Un mal qui répand la terreur » : allusion à Œdipe de Sophocle (mauvais comportement des

justice identique pour tous, icompris pour lui. _ Le Prince mla à l’aise tente de répondre mais maladroitement. _ Arlequin continue son discours. I. Le rappel de l’enlèvement _ La description du rapt fait penser à un passage de la bible, du livre de Samuel : quand David enlève et épouse la femme de son général. _ Il le décrit de manière pathérique, en employant des termes violents, « jetez », « arrachez », le prince appaît comme un prédateur. _ Il s’appuye sur l’antithèse entre le roi et

aractères est une œuvre difficile a résumés en raison de son esthétique fragmentaire. Mais on peut déjà dire sur les livre V à X qui nous intéresse pour le bac de français, La B ruyère s’attache à dépeindre le fonctionnement de la société Dans De la société et de la conversation (livre V) , La Bruyère évoque l’art d’être en société . Il dresse le portrait de personnages

C'est sur la fable «les animaux malades de la peste» que s'ouvre le livre VII des Fables de La Fontaine. Cet auteur y souligne dans un registre satirique l'injustice qui règle à la cour, en montrant comment un conseil réuni par le lion pour châtier « le plus coupable», finit par sacrifier en réalité le moins coupable de tous La Fontaine repend une tradition médiévale : on trouve en effet une histoire semblable dans les Apologues de Haudent en 1547 : « La Confession de l'Asne, du Renard et du

si sa m ère disparaît et avec elle , la canalisation des désirs sexuels du roi. Le deuxième mouvement est souligné par le blanc typographique Dans le mouvement suivant entre un nouveau personnage : la Cour. Pas de Roi digne de ce nom sans courtisan !. Le roi règne sur sa familles et sur sa Cour qu’ il domine et sur lesquels il rayonne. Tout d'abord, une évocation du palais, attribut de la puissance d’un souverain. Pas de roi sans palais ! On en rappelle la grandeur (« vaste ») , à l’ exemple

« Des Cannibales » « Un honnête homme, c'est un homme mêlé » « Chaque usage a sa raison. » Essais, chapitre 9, « De la vanité », RABELAIS « Je suis moi-même la matière de mon livre » Essais, MONTAIGNE « Mieux est de rire que de larmes écrire, pour ce que rire est le propre de l'homme. » « Il faut ouvrir le livre et peser soigneusement ce qui y est exposé. »  (Avis aux lecteurs) « Fais ce que voudras » Abbaye de Thélème « Il faut rompre l'os et sucer la substantifique moelle » RABELAIS

nouvelle condition d’Esther, l’insistance faite sur la figure idéalisée de la courtisane repentie au grand cœur, puis l’explication de l’impossibilité pour elle de vivre avec le poids de l’infidélité, impossibilité qui ne lui offre comme solution que la mort. Ces deux temps du récit introspectif participent à construire l’image de la fille repentie, victime du phallocrate Vautrin. Elle incarne parfaitement la courtisane romantique, fille démoniaque devenue ange, comme se fut le cas pour la Marion

(il va trouver une pension à La Fontaine). Durant l’affaire Fouquet, La Fontaine écrira des œuvres littéraires au roi pour défendre son protecteur (ex : « Ode au roi » en 1663). Il constate de près l’arbitraire du pouvoir royal et la cruauté des courtisans entre eux qui se nuisent pour obtenir plus de pouvoirs. Par la suite, il trouve d’autres protecteurs puissants donc Mme De Montespan, à l’époque où elle était a favorite du roi. En 1684, il entre dans l’Académie Française. En fin de vie, il retourne

vie de courtisane de Nana nous donne un aperçu de la vie sous le second empire ? Les citations : Page 39, Chapitre I : « Venus parut. Nana, très grande, très forte pour ses dix-huit ans, dans sa tunique blanche de déesse, ses longs cheveux blonds dénoués sur ses épaules, descendit la rampe avec un aplomb tranquille, en riant au public. » Ce passage du chapitre I est essentiel car il relate l’entrée en scène de l’héroïne du roman : Nana. Zola prépare ce passage dès le début du livre, en faisant