Le Loup et l'Agneau

RESUME DES FABLES DE LA FONTAINE 1) Le loup et le chien (p.37) Un loup affamé cherchait à manger. Il croisa un chien de garde aussi puissant que beau qui s'était égaré. Le loup ne pouvait pas l'attaquer à cause de sa force, de sa taille imposante. Le chien lui conseilla de quitter les bois pour avoir une vie meilleure mais le loup remarqua le collier du chien. Il se rendit compte qu'il n'aurait plus de liberté si il écoutait le chien donc il refusa et s'enfuit. Morale: La liberté n'a pas de prix

histoire, c'est inviter le lecteur à participer à la structuration d'un sens. Il doit effectuer une lecture intelligente et attentive du récit. Dans Le Loup et l’agneau de La Fontaine, chaque animal a une valeur symbolique. Le loup, refuse le dialogue et dévore l'agneau, incarnant la force, le pouvoir arbitraire et la violence. À l'inverse, l'agneau serait l'image de quelqu’un de raisonnable, de bon sens et ouverte au dialogue. Par conséquent, sous la couverture des animaux ou du merveilleux, s'écrit

ambassadeurs, Tout marquis veut avoir des pages. Le Loup et l'Agneau La raison du plus fort est toujours la meilleure : Nous l'allons montrer tout à l'heure. Un Agneau se désaltérait Dans le courant d'une onde pure. Un Loup survient à jeun qui cherchait aventure, Et que la faim en ces lieux attirait. Qui te rend si hardi de troubler mon breuvage ? Dit cet animal plein de rage : Tu seras châtié de ta témérité. - Sire, répond l'Agneau, que votre Majesté Ne se mette pas en colère ;

Eléphant, Faucon, Fourmi, Frelon, Gazelle, Geai, Génisse,Grenouille, Héron, Hirondelle, Hérisson, Hibou, Huitre, Laie, Lapin, Lièvre, Lion, Loup, Milan, Moineau, Mouche; Mouton, Mulet, Oiseau, Ours, Paon, Perdrix, Perroquet, Pie, Pigeon, Poisson, Poule, Puce, Rat, Renard, Rossignol, Scarabée, Serpent, Singe, Souris, Taureau, Tortue, Vautour. AGNEAU Loup et l'agneau (Le) AIGLE Aigle et la Pie (L’) Aigle et le Hibou (L’) Aigle et l'Escarbot (L’) Aigle la Laie et la Chatte (L’) Le Corbeau voulant

de Jean de La Fontaine, intitulé Le loup et l’agneau, on retrouve du registre pathétique. Assurément, l’auteur cherche à nous émouvoir en présentant des situations ou des discours marqués par la souffrance « le loup l’emporte et puis le mange, sans autre forme de procès ». Ainsi, l’on retrouve également un registre tragique qui exprime le désespoir né (destin fatal) : La Fontaine fait ici le récit d’une rencontre dont l’issue ne laisse aucun doute – entre un loup affamé et un agneau naïf. Par ailleurs

mensonge sur la calomnie, leçon de sagesse immorale, cette fable célèbre les appâts du genre, en même temps qu’elle nous met en garde contre l’affabulation. Elle offre un écho inversé du récit du « Loup et l’Agneau » : pour se défendre face aux amalgames, aux arguments d’autorité et aux mensonges du Loup, l’Agneau choisit la vérité, mais au prix de sa vie. Le Cerf fait ici meilleur usage de la rhétorique de cour : il a compris qu’en ces lieux, il s’agit de paraître plutôt que d’être, et que le roi plus

fable (instruire) ? Un enjeu classique.  Les formes et les fonctions du dialogue : convaincre, persuader et délibérer.  Les enjeux de la fable : plaire et instruire. Groupement de textes (5 lectures analytiques)  “Le Loup et le chien” de La Fontaine  “Le loup et l'agneau” de La Fontaine  “La laitière et le pot au lait” de La Fontaine  “Le vieux chat et la jeune souris” de La Fontaine  “Les deux amis” de La Fontaine Études d'ensemble  Le classicisme dans Les Fables : plaire et instruire

morale et le récit de la fable Colorie en jaune la morale Le Loup et l'Agneau La raison du plus fort est toujours la meilleure : Nous l'allons montrer tout à l'heure. Un Agneau se désaltérait Dans le courant d'une onde pure. Un Loup survient à jeun qui cherchait aventure, Et que la faim en ces lieux attirait. Qui te rend si hardi de troubler mon breuvage ? Dit cet animal plein de rage : Tu seras châtié de ta témérité. - Sire, répond l'Agneau, que votre Majesté Ne se mette pas en colère ; Mais plutôt

Prédateurs ~ Le loup ici présenté est mythique et renvoie à d’autres textes littéraires Le 1er vers est allusion au petit rouge, on dit dans ce texte « LE loup », a contrario des autres fables où l’on dit « UN loup » ~ Le loup est stéréotypé sur le plan physique… « maigre, poissé de sang (référence à l’expression : une faim de loup) » …et morale : « cruel, assassin » ce jugement moral est péjoratif. Référence à la fable « Le loup et l’Agneau » ~ Le loup est héroïque 2e vers => mort du loup Il y a un

Renart (composé entre XII et XIII s.), celui.ci incarne la ruse : le Renard obtient par la ruse ce qui ne lui appartient pas étant un trompeur dans l’usage collectif. (vulpiculus|goupil (ancien français)|Renart). Souvent son amie est un loup qui s’appelle Chanteclair. Il y a un mélange avec la vulgarité du Moyen Age français. Le renard est un héros populaire : il gagne grâce à sa ruse . Renart est le nom propre qui devient le nom commun