Le Loup Et Le Chien La Fontaine

L'APOLOGUE. Corpus: 1. Fénélon (1651-1715) «Le Pigeon puni de son inquiétude», Fables et opuscules pédagogiques, fable XX (posthume 1718) 2. J. De la Fontaine (1621-1695) «Le Loup et le Chien», Fables, I, 5 (1678) 3. C. Baudelaire (1821-1867) «Le Joujou du pauvre», le Spleen de Paris. (1869) Question: L'apologue est un récit narratif à visée argumentative, allégorique et didactique, rédigé en vers ou en prose, apposé d'une morale pratique. Dans le «Pigeon puni de son inquiétude», de Fénelon

déjà été atteinte, ou pas. B - Le genre littéraire de la Fable - Le Cheval et le Loup (La Fontaine) : Thème principal : La chasse en campagne, au printemps. Les personnages sont des animaux pour détourner la critique et pour généraliser le propos. Le loup est rusé, malin alors que le cheval est domestiqué, docile. Mais les rôles s’inversent à la fin lorsque le cheval se rend compte des stratagèmes du Loup. Morale : Rapprochement Fable (animaux) – Réalité (humains) , résumé de le l’histoire

souffrance à la mort, car ils en ont peur, et c’est ce que La Fontaine méprise dans la nature humaine. La mort est une guérison, mais les hommes sont lâches. Le loup et le chien (livre premier, fable cinq) Un Loup n'avait que les os et la peau, Tant les chiens faisaient bonne garde. Ce Loup rencontre un Dogue aussi puissant que beau, Gras, poli, qui s'était fourvoyé par mégarde. L'attaquer, le mettre en quartiers, Sire Loup l'eût fait volontiers ; Mais il fallait livrer bataille

le texte A de Jean de La Fontaine, intitulé Le loup et l’agneau, on retrouve du registre pathétique. Assurément, l’auteur cherche à nous émouvoir en présentant des situations ou des discours marqués par la souffrance « le loup l’emporte et puis le mange, sans autre forme de procès ». Ainsi, l’on retrouve également un registre tragique qui exprime le désespoir né (destin fatal) : La Fontaine fait ici le récit d’une rencontre dont l’issue ne laisse aucun doute – entre un loup affamé et un agneau naïf

ils vivent dans une société et un état organisés. Le Bœuf, animal sacré et image de la force représente la figure royale. Mais en passant de l’orient à l’occident, le personnel animalier s’adapte : le chacal devient le renard, rusé et dangereux ; le loup, brute et animal méchant voit se retourner contre lui toutes les angoisses qu’il a lui même suscitées dans les villes et les campagnes ; le lion occupe bien sûr le trône royal (le bœuf n’a en effet rien de sacré dans notre civilisation). Les oiseaux

de La Fontaine, « Le Loup et le Chien », Fables, livre I, V, 1668. B – Jean-Jacques Rousseau, Émile ou de l’Éducation, livre IV, 1762. C – Victor Hugo, « Ultima verba », Les Châtiments, VII, 17, 1853. D – Émile Zola, Germinal, IIIe partie, 3, 1885. Qu’est-ce qui, selon les quatre textes du corpus, permet à l’homme d’être libre ? Après avoir répondu à cette question, les candidats devront traiter au choix un des trois sujets nos 34, 35 ou 36. Document A Le Loup et le Chien Un loup n’avait

le Loup » sont écrits avec des majuscules ce qui veut dire que ce sont des noms propres donc des être comme l'Homme. Ces animaux dialoguent avec d'autres animaux et leurs paroles finissent par former une morale. Dans un second temps, des points communs dans le fond avec cette leçon de liberté qui est une valeur non monnayable et reste plus importante que tout, le Loup, qui n'a que la peau sur les os préfère courir plutôt que d'être attaché et d'avoir un collier comme le Chien, « maître Loup s'enfuit

demeure vide mais le couvert reste mis. » René Chan Sommaire 1. Préface page 3 2. Liberté page 5 de Paul Eluard 3. L'Albatros page 8 de Baudelaire 4. Avare page 8 de Michel Leiris 5. Le Loup et le Chien page 9 de Jean de La Fontaine 6. Vivre et Mourir page 10 de Jean Rousselot 7. A la liberté page 11 de Marie-Joseph Chénié Préface A l'Homme libre, À mon sens il existe une seule clé pour comprendre et aimer la poésie, c’est la poésie

les plus courante qui se pose dans la littérature française est le droit à la liberté accordé a l'homme. Les écrivains s'en font écho en utilisant grands nombres de genre plus variés les uns que les autres. C'est La Fontaine qui illustre cette question avec sa fable: «Le loup et le chien» tiré de Fables écrit en 1668, nous avons ensuite Rousseau qui tente d'élucidé cette question avec son essai «Émile ou de l’Éducation» tiré du livre IV publier en 1762. Suivi de Victor Hugo qui avec sont poème «Ultima

1) Des personnages opposés. - le Loup : - V 1 « os et la peau » montre qu’il est famélique , amaigri par la faim. - « os » du vers 1 s’oppose au vers 8 « os de poulets, os de pigeons » .Le vers 1 montre l’aspect du Loup et le vers 8 se que mange le Chien. - le Chien : - Il est gras ,beau poli et puissant .(énumération de termes mélioratifs) - Embonpoint = il se porte bien - V 2 « bonne garde » reprend l’idée de puissance + dogue. On remarque que le loup a perdu d’avance . 2)Une scène