Le Lyrisme Traditionnel

__ Introduction : La Peste est un roman philosophique écrit pas Albert de Musset juste après la seconde guerre mondiale situe l'action, en avril 194,Le roman philosophique à la structure d'un roman traditionnel mais cherche a faire passer un message philosophique , à Oran, une ville laide, sans âme, une cité moderne et "ordinaire". La peste, terrifiante et absurde épidémie venue de nulle part, plonge la ville dans la douleur et oblige les habitants à l'exil ou la claustration. La cité demeure

l'incertitude et le pessimisme sur la condition humaine.La créativité, l'originalité et les éxcès sont les manières de fuir le réelle.La poésie invite a la méditation religieux. La poésie classique avec Bateau, La Fontaine et Malerbe. Les valeurs traditionnelles avec l'arté, modération, respect des règles, mesure,sobriété,raison,ordre et équilibre. Les thèmes sont divers aussi bien lirique. L'étrange,la laideur et l'éxotisme seront visible chez Bodlaire dans les fleuves du mal. Les images poétiques

embrassées, avec alternance des rimes féminines et masc mais pas entre les quatrains avec 4 rimes au lieu des 2 traditionnelles. EL(e) - OA - IER 2 tercets avec rime suivie ER + 2 rimes embrassées OMBR(e) - IF Une typographie particulière met en valeur le dernier vers par une ligne de pointillé, ce dernier vers traditionnel est une chute, savamment orchestré, préparé dans le sonnet traditionnel. Sonnet en octosyllabes au lieu du décasyllabe ou de l'alexandrin habituel, avec un vers qui pose problème

personnelle. Verbes infinitif = actions = expression. mort=mort de l’expression. Raison de vivre = pouvoir chanter son amour. Plus de destinataire. 3) Ce lyrisme est original -simplicité du style et du vocabulaire originale. Simplicité des actions évoquées, des mots choisis, répétitions. renversement des codes amoureux traditionnels de la littérature : femme qui s’exprime. Incitation aux femme de s’adonner aux activités intellectuelles et à l’écriture.

satire -Argumentation -Utilisation de la révolte | XIX ème siècle LE ROMANTISME Musset Chateaubriand | -Exaltation de sentiments, du « moi » souffrant, la solitude, la fuite du temps -Remettre en cause les règles de la poésie | -Lyrisme -Audace de versification (= refus) -Utilisation d'exagérations | XIX ème siècle LE RÉALISME Hugo, Les Misérables Balzac Flaubert George Sand | -Refuser toutes les formes d'idéalisme -Représenter l'Homme et la société dans leur réalité

‘’durtés’’ (élision du e: licence poétique) (v5); ‘’plaie’’ (v13). Ce champ lexical est omniprésent ce qui rend compte de la puissance de la souffrance évoquée. Louise Labé se présente comme une martyre de l’ ‘’Amour’’ (v9). Elle reprend ainsi l’image traditionnelle de Cupidon qui tire ses flèches sur sa victime (v9); cette dernière brule littéralement d’amour (‘’feux’’ v10): Louise Labé présente son existence dans sa dimension tragique (v5: la poétesse succombe à la fatalité de l’amour). On peut noter que

amoureux traditionnel, elle fait de l’homme l’objet de désir dont on détaille les charmes et montre la femme non plus comme une inspiratrice mais comme soumise à la violence de la passion. L’écriture de Louise Labé rejette toute description er tout anecdote pour concentrer l’émotion, souvent liée à l’absence de l’aimé, dans le pronom de la première personne et les termes à connotations érotiques. Enfin, la brièveté du sonnet qu’elle utilise librement convient à l’expression de ce lyrisme amoureux

vue ( je vois, les deux yeux fermés, éblouissant, œil) - odorat ( parfum, je respire l’odeur odeur, m’enfle la narine) - gout ( es fruits savoureux) - toucher ( seins chaleureux) Idée 3 : le lyrisme ( =fait passer au lecteur des sentiments personnel) ici l’amour Le lyrisme : expression des sentiment personnel, amour envers la femme - marque de la 1ere personne ( je, m, mon) - marque de la 2eme personne ( ton sein, ton odeur) - l’odeur ( parfum) - la femme dirige l’imagination

L’investissement personnel dans un monologue adressé à l’être aimé - La réflexion générale de départ (« l’on », « celui qui ») passe à une réflexion personnelle (« je », « me », « mes »). - Registre élégiaque (exprimant une plainte, souffrance), nuance du lyrisme. Il souffre. - Pierre de Marbeuf s’adresse à une personne, non caractérisée, mais tutoyé « ton ». 2. La thématique de la passion malheureuse, souvent personnifiée, qui utilise des clichés - Amour passionné : métaphore. Hyperbole : « si fort »

« l’unique harmonie / Du vers dit Sainte-Beuve in Vie, poésies et pensées de Joseph Delorme et Hugo in Préface de Cromwell la rime est le « générateur de notre vers ». NB notamment l’émergence du trimètre romantique qui fait éclater l’organisation traditionnelle de l’alexandrin. De fait Hugo, ibidem, en appelle à un vers « large et vrai ; sachant briser à propos et déplacer la césure pour déguiser sa monotonie d’alexandrin ; […] Prenant, comme Protée, mille formes sans changer de type et de caractère