Le Mal Macbeth

). Deucalion est fils de Prométhée. Pyrrha est fille d'Épiméthée et de Pandore, la première femme. Tous deux sont mariés. À cause de la déchéance d'âge en âge (voir le mythe des quatre âges de l'humanité), les hommes finissent par se conduire très mal, en particulier l'un d'entre eux, Lycaon, réputé pour son mépris des dieux. Celui-ci en effet avait voulu offrir à manger à Zeus de la chair humaine. Pour punir tous les hommes et les exterminer, le roi des dieux provoque alors un déluge. Mais le prévoyant

car l'amour partagé ne trouve sa place nulle part dans son œuvre, ni dans le cycle des « Rhénanes », ni dans les autres pièces d'« Alcools ». On peut parler cependant d'un épanouissement artistique du poète mal-aimé, puisqu'il écrit désormais sans s'imposer de limites (voir « La Chanson du Mal-Aimé », dédiée à Paul Léutaud). Apollinaire fut un grand amateur de canular, faut-il le rappeler. Ne dédaignant pas les lapalissades, à la manière d'un Clémenceau qui, à la même époque, observait placidement

car l'amour partagé ne trouve sa place nulle part dans son œuvre, ni dans le cycle des « Rhénanes », ni dans les autres pièces d'« Alcools ». On peut parler cependant d'un épanouissement artistique du poète mal-aimé, puisqu'il écrit désormais sans s'imposer de limites (voir « La Chanson du Mal-Aimé », dédiée à Paul Léutaud). Apollinaire fut un grand amateur de canular, faut-il le rappeler. Ne dédaignant pas les lapalissades, à la manière d'un Clémenceau qui, à la même époque,  observait placidement :

1847 Charles Baudelaire rencontre Marie Daubrun actrice aux yeux verts qui lui inspireront de nombreux poèmes. Durant cette année il découvre l’auteur américain maudit, il retrouve en ce dernier sa conception de l’art et une fascination commune du mal : « le démon de la perversité ». Etant totalement bilingue, il publie alors ses premières traductions de récits fantastiques de son ami. Baudelaire participe aux journées révolutionnaires, il participe également à la création d’un journal révolutionnaire :

Je laisse à Gavarni, poète des chloroses, Son troupeau gazouillant de beautés d'hôpital, Car je ne puis trouver parmi ces pâles roses Une fleur qui ressemble à mon rouge idéal. Ce qu'il faut à ce cœur profond comme un abîme, C'est vous, Lady Macbeth, âme puissante au crime, Rêve d'Eschyle éclos au climat des autans; Ou bien toi, grande Nuit, fille de Michel-Ange, Qui tors paisiblement dans une pose étrange Tes appas façonnés aux bouches des Titans! XIX - La Géante Du temps que la Nature

entre les différentes modalités de l’énonciation, c’est-à-dire, le monologue et le dialogue. Chez elle, et contrairement à l’esthétique classique, le monologue n’est plus un “accident” communicationnel, aveu d’une crise, présentant le personnage en mal d’échange ou un simple subterfuge dramaturgique. Il est fonctionnel. En effet, dans un premier temps, le monologue imprime à la pièce un rythme particulier en ralentissant l’évolution dramatique avant que le mouvement ne s’emballe vers la fin. La

guerres. Le seizième siècle forme véritablement la base de la culture anglaise moderne car il s’agit sensiblement d’une Renaissance nationale, dont les influences sont filtrées par le Roi et sa cour. Il faut comprendre donc que l’Antiquité romaine était mal connue de l’Angleterre C’est ainsi que la culture antique y est moins forte que dans le reste de l’Europe. Des quelques siècles d’occupation, on ne conservait que des murailles principalement : mur d’Hadrien, murs de la cité de Londres, etc.Le style

initiatique dans le langage poétique les figures féminines des Fleurs du Mal proposent-elles ? La muse vénale Problématique : - quelles représentations allégoriques de la Muse ce poème propose-t-il ? - Pourquoi peut-on dire que ce poème est entre tradition et modernité ? Introduction : - Baudelaire est un poète de la modernité - Les fleurs du Mal : projet poétique  antithèse, c’est-à-dire qu’il extrait la beauté du mal - Section « spleen et idéal »  spleen = rate =mélancolie 8ième

et se font lacunaires, répondant aux aléas de la mémoire et à l’insu des personnages. En 1929 William Faulkner, contant l’irrémédiable destin d’une famille de son Sud, intitule l’un de ses romans Le Bruit et la fureur en songeant à une phrase du Macbeth de Shakespeare : « C’est une histoire, contée par un idiot, pleine de bruit et de fureur, qui ne signifie rien ». Inceste, haine, ruine et dispersion sont à lire dans les fragments de l’histoire vécue, parfois remémorée, confusément ou passionnellement

Vampyr (1932) Jour de Colère (1943) India Song (1974) La Belle équipe (1936) Pépé le Moko (1938) Carnet de bal (1938) Le petit mon de Don Camillo (1952) La femme et le pantin (1959) Sur la route de Madison (1995) Minuit dans le jardin du bien et du mal (1998) Le cuirassé Potemkine (1925) Octobre (1927) Alexandre Nevski (1938) Ivan le terrible (1942-1946) Jacques DEMY : Brian DE PALMA : Vittorio DE SICA : Edward DMYTRYK : Stanley DONEN : Carl DREYER : Marguerite DURAS : Julien DUVIVIER