Le Malade Imaginaire Le Quiproquo

français…) • 1670 : parce que l’envoyé du Sultan n’a pas été ébloui par les merveilles de Versailles, le roi commande à Molière une ‘’turquerie’’ pour se moquer • 1673 : déjà malade de tuberculose, (mais pour que ses comédiens aient du travail et soient payés) pendant représentation du malade imaginaire, il a des convulsions. Meurt chez lui. Sépulture chrétienne accordée grâce à l’intervention du roi Le genre théâtral • Théâtre : genre dont l’objectif est de faire représenter

toujours rire les autres, les comédies reposent pourtant sur des procédés éprouvés : le comique de situation, le comique de caractère, le comique de mots, le comique de gestes (bastonnades) 1°) Le comique de situation • Il repose souvent sur un quiproquo : deux personnages comprennent les mots dans un sens différent. Ainsi, dans l'Avare, Valère évoque son amour pour Élise, alors qu'Harpagon pense qu'il lui parle de sa cassette. (Molière, l'Avare, V, 3) 2°) Le comique de caractère • On le rencontre

Juillet de la même année au château de Versailles. Molière est un grand dramaturge français ayant écris d’autres œuvres comme l’Avare ou l’école des mensonges, Dom Juan ou le malade imaginaire. Il avait la particularité de jouer dans ses propres pièces et il mourut quelques heures après la 4ième représentation du Malade Imaginaire d’une congestion pulmonaire. George Dandin ou le mari confondu relate l’histoire de George Dandin qui s’est marié à une femme de la noblesse mais celui-ci se fait tromper par

Molière développe une comédie de caractère et de mœurs et met en evidence son personnage principal comme riche, savant et joue sur le satire. Les Précieuses ridicules, Le Misanthrope, L’Avare, Le Bourgois Gentilhomme, Les Femmes Savantes et Le Malade Imaginaire sont quelques pièces comiques de Molière. Elles depeignent bien comment certains des personnages sont adoptes de ceux de la comedia dell'arte. Ces personnages sont remodeles par Moliere afin de faire rire et de corriger les moeurs.Dans ces comédies

l’utilisation du quiproquos, qui est une situation banale de la vie quotidienne, qui est souvent repris dans la comédie et même exagéré. Effectivement, le quiproquo est un mal entendu, une confusion souvent entre deux personnes à cause de l’ambiguïté du langage, qui amené à une situation comique. D’ailleurs on retrouve souvent, le quiproquos dans les comédies de Moliere. Par exemple, dans Le malade imaginaire, alors qu’Angélique et son père parlent de la demande en mariage, il y a un énorme quiproquo qui se

: dans le Bourgeois gentilhomme : la répétition des voyelles, et des exclamations admiratives hyperboliques. dans La Leçon : la répétition des interruptions de l'élève "Oui, Monsieur" "J'ai mal aux dents" dans On purge Bébé : la sucession des quiproquos non sens : discours absurde et délire poétique du professeur de La Leçon à souligner le caractère comique, mais également inquiétant de la folie du professeur, ce qui est une particularité du nouveau théâtre et de Ionesco (à relever également

comédie. Exclamations et questions rhétoriques. La stichomythie (échange de répliques brèves) à opposer aux tirades et aux monologues. Alternances qui créent du rythme. 2) Jeux de mise en scène : art du spectacle − surprise, déguisements, quiproquo : texte A. − importance de la didascalie initiale qui plante le décor et conditionne les possibilités de déplacement. Texte C : l'abondance de portes suggère de nombreux déplacement et les entrées et sorties facilités des personnages. − Scène

1, L.84), ainsi que dans la scène 5 lorsque Sganarelle est étonné d’apprendre les guérisons qu’il a faites : «Tudieu!» (Sc.5, L.173), «Peste!» (Sc.5, L.178) et «Diantre!» (Sc.5, L.184). Enfin, Molière ajoute un comique de situation, amené par un quiproquo, lorsque Sganarelle parle de son vrai métier, ne sachant pas que Valère et Lucas le prennent pour un médecin. «Si vous savez les choses, vous savez que je les vends cela» (Sc.5, L.73), «Tout ce tripotage ne sart de rian; je savons ce que je savons»

s’insérer dans le corps social, alors le ridicule est comme la sanction informelle qu’afflige le corps social pour celui qui s’oppose à toute évolution. Cf. l'honnête homme incarné par des personnages dans chacune des pièces : Béralde dans le Malade Imaginaire, Chrysalde dans L'Ecole des Femmes. La satire moliéresque s’appuie sur un effet de reconnaissance des spectateurs, de miroir où ils peuvent reconnaître leurs contemporains ou eux-mêmes. L'appareil est culpabilisant, comme un outil répressif

l5 : mot +)2.· ironie de Stendhal : JS contraire des stéréotypes, pas Don Juan viril, comparé à « une jeune fille déguisée » l7 (=antihéros), CL modestie (« pitié l8, pauvre créature l8, n’osait pas l9 ») accentué par l’adverbe « évidement » l9· quiproquo : MmeDR ne sait pas qu’il est le précepteur· ont tout deux influence l’un sur l’autre : MmeDR « distraite » l10 et JS surpris « tressaillit » l11 (antithèse « tressaillit/douce » l11/12 : ironie, JS = antihéros)· proximité entre les 2 protagonistes3