Le Malade Imaginaire Questionnaire

5 9 18 23 26 ■ Chronologie . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 31 Phèdre ACTE PREMIER ACTE II ACTE III ACTE IV ACTE V 49 73 95 111 131 ■ Dossier. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Biographie de Racine Questionnaire sur l’œuvre Microlectures Débats contradictoires entre ancienne et nouvelle critique Les échos de Phèdre dans les œuvres de fiction romanesque 149 150 157 160 166 173 PRÉSENTATION Phèdre : les derniers feux de la tragédie Une réception

Fonctionnement financier B- Fonctionnement administratif C- Fonctionnement pédagogique Chapitre II : Théorie et typologie des établissements de l’ET 1/ Théorie de l’école coranique 2/ Typologie des établissements traditionnels 3/ Parcours imaginaire d’un élève de l’ET 13 15 17 17 17 18 19 19 20 22 Partie II : Analyse empirique Chapitre I : Analyse univariée et bivariée Chapitre II : Système des attentes, souhaits et débouchés 1. Attentes des élèves 2. Souhaits des élèves

convient de détruire ex abrupto. - En tout cas, quelle que soit l’évaluation que l’on fait de la fonction et de la valeur de l’Etat, le pouvoir est irréductible à la puissance de l’Etat. 2) POUVOIRS DES CLASSES ET DES ELITES (Pierre Bourdieu, questionnaire à partir d’un document audivisuel sur Bourdieu) - Avec l’Etat, le pouvoir est globalisant, centralisé. Mais il y a aussi à l’oeuvre dans la société des puissances de domination plus partielles : pouvoir des chefs de file, des clans dirigeants

action la perception et la nomination. Si cette étape n'est pas suffisante pour comprendre l'image, on parle alors de sens connoté.Cette phase fait appel aux connaissances du lecteur de l'image, à sa culture, à sa pratique sociale mais aussi à son imaginaire. C'est ainsi qu'une même image présentée à tous les élèves d'une classe ne sera pas « lue » de la même façon par tous les élèves. Certains s'arrêteront à la compréhension du sens dénoté car ils ne posséderont pas la référence qu'il leur permettrait

il étudie 'ce sont des cas de morts causées brutalement chez de nombreux individus tout simplement parce qu'ils savent ou croient qu'ils vont mourir'. Il exclut de son étude le suicide (fait volontaire) et les individus qu'ils savent qu'ils sont malades. Il se concentre sur des faits sociaux plus radicaux, 'ce sont des individus qui croient pour des raisons collectives qu'ils sont dans un état proche de la mort'. Il distingue trois causes sociales de la croyance de la mort : * la magie

Voir « Francfort (école de) » 29 École de Palo Alto Voir « Palo Alto (école de) » 29 Écologie humaine 29 Effet de troisième personne (concept de W. Phillips Davison) 29 Emploi 30 Encodage/décodage Voir « Codage/décodage » 30 Enquête par questionnaire (méthodologie) 30 Enquête sociale 30 Entretien (méthodologie) 30 Espace public Voir aussi « Espace public (L’) de Jürgen Habermas » 31 Espace public (L’) de Jürgen Habermas Voir aussi « Espace public » 31 Espace social 32 Essentialisation/Essentialisme

décisif dans la formation de son pacifisme et de son pessimisme. Il se marie, à Londres, avec Suzanne Nebout, le 19 janvier 1916, puis contracte un engagement avec une compagnie de traite qui l'envoie au Cameroun, où il part surveiller des plantations. Malade, il rentre en France en 19179. Rencontre importante qui complète sa formation intellectuelle : il travaille en 1917-1918 auprès du savant-inventeur-journaliste-conférencier Henry de Graffigny. Embauchés ensemble par la Fondation Rockefeller, ils

camras de surveillance taient installes partout. Aucune qualification ntait ncessaire pour tre organisateur. Les chefs faisaient dfiler les candidats et retenaient ceux qui avaient les visages les plus significatifs. Il fallait ensuite rpondre des questionnaires de comportement. Zdena fut reue, qui navait jamais russi aucun examen de sa vie. Elle en conut une grande fiert. Dsormais, elle pourrait dire quelle travaillait la tlvision. vingt ans, sans tudes, un premier emploi son entourage allait enfin

Il serait alors juste de nous refuser à ces permanentes tentations de motiver les  images, symboles, mythes, « uniquement à l’aide de données extrinsèques à la  conscience imaginante, (tentations qui) sont, dans le fond, obsédées par une  explication ustensilitaire de la sémantique imaginaire ».3  C’est dans ce souci constant que P. BOURDIEU4 disait : « La familiarité avec  l’univers social constitue pour le sociologue l’obstacle épistémologique par  excellence, parce qu’elle produit continument des conceptions ou des  systématisations fictives

difficultés à identifier et exprimer ses émotions : alexithymie. II. Alexithymie Définition de Sifneos et Nemiah (années 70) : Déficit voire absence d’éprouvé émotionnel conscient, ou incapacité à mettre les émotions en mots. Traits communs aux malades : – – difficulté à décrire sentiments subjectifs (composante émotionnelle) et appauvrissement fantasmatique, style de pensée tourné vers l’extérieur, le concret, le factuel (composante cognitive). Ex : description de symptômes physiques