Le Malentendu Acte 2

une idée à l’aide d’un système de signes (rapport signe-signification) ; la langue est un système de signes, un code social structuré, institué, conventionnellement imposé qui permet à l’individu d’exercer sa faculté de langage, par la parole comme acte individuel, manière personnelle de s’approprier les signes de la langue ; enfin la linguistique est l’étude scientifique du langage. Le langage a de part en part la structure de la symbolicité, nous nous servons de mots comme de symboles, nous parlons

toutes les scènes (page 33 et suivantes). Bonne lecture ! Résumé Acte I Scène 1 : Lisette, femme de chambre de Silvia, encourage sa maîtresse au mariage avec le jeune homme, Dorante, que son père, M. Orgon, a choisi. Mais Silvia lui remontre que la société offre bien des exemples de mariages malheureux, parce que les hommes dissimulent leurs véritables sentiments sous le masque de la mondanité. Scène 2 : Pour décider de son destin en toute connaissance de cause, Silvia demande à

de querelle laissent présager uneéventuelle résolution du conflit ou la fin d’un malentendu. Dans L’Île des esclaves, Arlequin, le valet, et Iphicrate, le maître, se disputent mais, à la scène 9, ils se réconcilient et le conflit entre maître et valet est heureusement résolu. Dans tous les cas de figure, la dispute crée la tension et permet l’alternance tension/détente, gage de l’efficacité dramatique d’une pièce. 2. La dispute donne le ton et crée le comique • La dispute « met de l’action »

de querelle laissent présager une éventuelle résolution du conflit ou la fin d’un malentendu. Dans L’Île des esclaves, Arlequin, le valet, et Iphicrate, le maître, se disputent mais, à la scène 9, ils se réconcilient et le conflit entre maître et valet est heureusement résolu. Dans tous les cas de figure, la dispute crée la tension et permet l’alternance tension/détente, gage de l’efficacité dramatique d’une pièce. 2. La dispute donne le ton et crée le comique : La dispute « met de l’action », c’est-à-dire

(p 10) INTRODUCTION Bien que la négociation soit au premier plan de l’actualité tout en étant vieille comme le monde, le sens qu’on lui accord fait toujours l’objet d’un malentendu. Ce mot évoque généralement les grands rendez-vous de l’actualité politique et sociale car on a souvent assimilé négociation à diplomatie. On peut aussi constater que la négociation est toujours associée à la notion de conflit. C’est pourquoi

communication, il y a une définition commune de la situation par les acteurs. Si cette dernière n’existe pas ou est imprécise, il est nécessaire, dès les premiers échanges, de la préciser, sinon il y aura un malentendu. Donc la communication est un processus interactif de construction du sens. Section 2 : Pourquoi communiquer ? I. Objectifs pour les acteurs : Tous les acteurs, à tous les niveaux hiérarchiques cherchent à communiquer, de manière ascendante ou descendante, pour donner leurs idées

Questions : a) Nous avons affaire à trois documents correspondants à des extraits de scènes de théâtre : L’ile des esclaves, scène 3, et La double Inconstance, acte I, scène 4, écrites par Marivaux au XVIIIème siècle ; et puis Le mariage de Figaro, Acte V, scène 3, écrite par Beaumarchais au même siècle. Nous étudierons les situations d’énonciation de ces trois scènes. À la scène 3 de L’ile des esclaves, on a trois personnages sur scène : Euphrosine, une dame noble avec Cléanthis

propriété qu'ils ont d'être adressables à quelqu'un. Loin de communiquer notre pensée à autrui, il sont toujours susceptibles en effet d'être entendus par lui dans un sens qui est le sien et non le nôtre. Le mensonge a donc son fondement dans le malentendu comme risque permanent de la parole. Dans un article de 1944 sur la nature et les fonctions du langage, Sartre a voulu montrer qu'il arrive qu'on doive mentir pour dire vrai (Situations, I, "Aller et retour"). Il examine une situation très précise:

Les Fausses confidences, Acte II, scène 9 L’intrigue autour du portrait occupe une bonne partie de l’acte II. Ce sont les objets- les deux portraits-qui vont agir comme des révélateurs (avant la lettre du troisième acte qui portera le coup final). Le lecteur ou le spectateur-qui connaît tout à la fois les sentiments de Dorante, les projets de Dubois et notamment vis-à-vis de Marton, s’attend bien entendu à la révélation qui se produit dans cette scène. Le début de la scène manifeste un intérêt

grammaticalement et lexicalement recevable et qu’elle a un correspondant référentiel. a) la vérité est relative : Exemple l’adjectif « chauve » : Chauve (cf Robert) : « qui n’a plus ou presque plus de cheveux. » ou « gros » dans : la pêche est un gros fruit. 2 b) La vérité est modalisable : Pierre est peut-être là Il y aurait 10 blessés dans cet accident. Il aura eu un empêchement C’est la plus belle ville que je connaisse ( connais) c) La vérité d’une phrase dépend de la compétence de l’individu mais aussi