Le Marché Des Droits à Polluer

notions de fonction de production et de progrès technique. Le chapitre 3 expose le modèle de Solow, avec et sans progrès technique. La notion de croissance optimale dans le modèle de Solow est exposée dans le chapitre 4. Les théories qui aboutissent à un résultat d’instabilité et d’extinction de la croissance sont présentées dans le chapitre 5. Le premier cas est illustré par les modèles de Harrod et Domar, le second cas par les travaux de Malthus, Ricardo et Schumpeter. Le chapitre 6 s’intéresse

Encore méconnue il y a 50 ans, la question environnementale est aujourd'hui au centre des préoccupations ; la conférence de Copenhague qui doit réunir en décembre2009, 170 pays afin de mettre en place de nouvelles mesures pour préserver l'environnement reflète bien la nécessité de changer nos habitudes. La croissance économique, qui se traduit par une augmentation sur le long terme de la production de biens et services d'une société, s'est fortement dynamisée, d'abord en Europe après la Révolution

que le système de marché permet de réaliser des allocations efficaces au sens de Pareto dans un cadre de concurrence pure et parfaite, c’est-à-dire, en l’absence de défaillances du marché. Or, il existe un certain nombre de situation dans lesquelles le marché est soit inefficace, soit inéquitable. C’est par exemple le cas en présence d’externalités , où le marché ne conduit alors pas nécessairement à une allocation optimale des ressources. La puissance publique rimerait alors à intervenir pour rétablir

la biodiversité en passant par la pollution sous ses formes multiples, la question environnementale a aujourd'hui totalement investi le champ de la discipline économique. Cette révolution culturelle débute dans les années 1970 avec la prise de conscience écologique qui suit la médiatisation des premières grandes pollutions. Comme les conséquences environnementales concernent tous les pays, c’est à l’échelle internationale que les politiques doivent être harmonisés. C’est pourquoi des conférences

Il existe deux types d’approches : 1ère approche : L’approche écocentrée Cette approche consiste à dire que toute forme de vie possède une valeur 2ème approche : L’approche anthrocentrée Cette approche consiste à dire que le développement doit permettre une augmentation du bien être humain. Cette approche se base sur trois courants théoriques : 1er courant : l’approche économiste : mettre en place les moyens économiques de la soutenabilité. 2ème courant : l’approche écologique

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général, amélioration des indicateurs de développement, augmentation de l’efficacité productive, etc.… Cependant il apparaît pourtant aujourd’hui évident que le modèle de croissance industrielle extensive qui a permis aux pays riches de se développer au cours du XXe siècle (et qui est aujourd’hui à la base du décollage de certains pays émergents comme la Chine et l’Inde) engendre des effets pervers. Ces effets sont considérés comme des externalités, dans la mesure où il s’agit de situations dans lesquelles

imperfections et les défaillances du marché Intro: Le modèle de marché de CPP permet d’expliquer comment devrait fonctionner les marchés, c’est une situation idéale. Dans la réalité il y a très peu de marché qui respectent les 5 conditions. Lorsque l’une des conditions n’est pas réalisée alors on parle de concurrence imparfaite (ou d’imperfection des marchés).

des distorsions dans une économie parfaite. La réalité est toute autre : nombreuses sont les imperfections et défaillances des marchés, auxquelles la fiscalité peut tenter de remédier : en présence d’une défaillance de marché, modifier les prix relatifs peut rapprocher l’économie de l’optimum en termes d’efficacité. La fiscalité se substitue ici à la réglementation ou à des méthodes d’encouragement aux bonnes pratiques. L’idée remonte aux années 1920. L’économiste britannique Arthur Pigou propose

gravité augmentent. -Risques d’autant plus grand que les hommes s’installent sur des zones à risques *Faille de San Andrea (Californie) *1995 : Tremblement de terre de Kyoto (6000 morts) -ONU : 70’s : 40 catastrophes/an, 2000’s : 200/an. 1-2 Nouveaux risques environnementaux globaux -Ulrich Beck : d’une localisation des risques → globalisation. Risques globaux : « volcans de notre civilisation ». Risques à toutes les échelles. -Stress car imprévisibles effets. -Tous les écosystèmes touchés