Le Masque De La Mort Rouge

membres (jambes avec des pustules) Le seul être vivant est un soldat isolé avec un masque à gaz. On ne voit donc pas son visage, pas de sentiment. Il semble impuissant à bouger, coincé sous une cape. A l’arrière-plan un paysage de désolation à la suite des pilonnages d’artillerie (campagne et maison). Au-dessus de la tranchée, un squelette lié à un reste de structure (abri?) montre du doigt l’horreur de la guerre et la mort. Sur le panneau de droite, un homme tente de secourir des blessés dans le no man’s

mais est malgré tout un personnage très intéressant tant au niveau de ses œuvres qu’au niveau de sa personne. 1.1. Biographie Boris Vian est né au 20ème siècle, plus précisément en 1920 et est mort en 1959. C’était une figure de talent qui possédait de nombreuses compétences dans des domaines diversifiés, pour exemple, il était trompettiste, ingénieur centralien de formation, compositeur de chanson, …[footnoteRef:1] Mais Boris Vian est majoritairement

suspendu à une poutre métallique qui montre "d'un doigt raidi la mort cruelle et douloureuse" -l'espace de sanctification : en général on y trouve les saints; ici on trouve un soldat avec un masque à gaz, un casque lourd et des dépouilles criblées de balles et rongées par la vermine. -le monde terrestre : en général on trouve des figures humaines; ici on trouve des entrailles, des boyaux … La lumière, elle aussi, symbolise la mort; cette lumière qui apparaît indifférente, froide, sans âme et

à la colle. Sur l’ensemble du tableau on peut apercevoir les couleurs dominantes: le rouge, signifiant le sang, le gris pour montrer l’humidité que subissent les soldats, le marron represent la boue. 1er tableau: y est représenté les soldats se préparant au combat. Le gris, bleu, jaune et marron dominant le tableau. 2ème tableau: On aperçoit les ravages de la bataille. Les couleurs régnantes sont le rouge, marron et bleu foncé. 3ème tableau: On peut voir un personne (Otto Dix ?) survivant

importance. C'était la "fête des fous", ou "fête à l'envers". Les pauvres devenaient riches, le temps d'un jour ; les gens se moquaient les uns des autres, critiquaient les riches et les gens d'église sans complexe, protégés par leur déguisement et leur masque. Il s'agissait d'une période de licence joyeuse, où toute règle de vie normale était suspendue, où les excès étaient permis, se substituant ainsi aux interdits et autres tabous. Ripailles et licence des moeurs étaient caractérisés comme les éléments

Les romantiques jouent beaucoup sur l'atmosphère. Ici, Delacroix joue sur un registre patriotique en restreignant volontairement sa palette de couleur et disséminant partout dans le tableau les trois couleurs du drapeau national: bleu, blanc, et rouge. C'est ce qu'on appelle un leitmotiv. Il produit ici un effet d'identification: on se sent appelé, on sent qu'on fait partie du peuple - même si celui-ci est dépeint sous des traits ambigus. Pour mieux saisir ce qui distingue le romantisme du courant

le temps de construire, d’exister. Le réalisateur fractionne l’espace, déconstruit le temps, sacrifie les comédiens au profit du sang artificiel qui va gicler de leur corps. C’est un cinéma préfabriqué au possible, trituré, faisant du bruit pour masquer le silence. Un cinéma qui donne à voir, mais pas à vivre. Le film noir était la propriété du spectateur adulte, celui qui connaissait la jalousie, l’appel du meurtre et la douleur. Il a été infantilisé par le système hollywoodien, comme tous les

androgynes, des soucoupes volantes, des pyramides ou encore des réveils en marche. Derrière l'apparence insouciante de ses dessins, Keith Haring nous parle d'amour, de bonheur, de joie, de sexe, mais aussi de violence, d'exploitation, d'oppression et de mort. Vers la fin de sa vie, son œuvre est marquée par une imagination toujours aussi foisonnante, mais plus complexée depuis qu'il prend conscience de sa séropositivité. Ami d'Andy Warhol, qu’il s'amuse à dessiner, son travail l'amène à collaborer avec

| | | |En 1917, il s'engage dans la Croix Rouge et devient ambulancier sur le front en Italie. A 18 ans, il sera gravement blessé, hospitalisé | |à Milan, il va s'amouracher d'une infirmière et ce sera la trame de L'Adieu aux armes (A farewell to Arms) publié en 1929. De retour aux| |USA, il épouse

lumière dans la vie réelle sont présents comme la bougie que tient un bras ou encore lampe du plafond. Seulement quelques couleurs sont utilisées : le gris ; le noir ; le jaune et le blanc. Cette absence de couleur évoque la mort, à la fois la mort des victimes et la mort de la civilisation. Picasso s’est servi dans ce tableau des symboles empruntés à la mythologie espagnole : le taureau représentant la brutalité ( ici présent en haut à gauche du tableau ) et le cheval représentant le peuple ( ici