Le Masque De La Mort Rouge

Des corps décharnés gisent ça et là, des membres épars sont éparpillés : un cadavre propulsé dans un arbre sur la gauche, une main frappée par la mort au centre de monticule de chairs humaines. La plupart des personnages représentés ne voient rien ou presque rien : yeux fermés par la mort ou le sommeil, regards obturés par les bandages ou les masques à gaz… L’arrière-plan montre un paysage dévasté par la guerre Sur le volet droit, tandis que des corps inertes sont présentés au premier plan, un

8 Les masques dans le théâtre Antique • Toute la troupe porte un masque. Les masques anciens ne couvrent que le visage. Par la suite, ils s'agrandissent vers le sommet du crâne, de sorte à pouvoir y fixer des perruques ou au contraire, à figurer un crâne chauve. Le masque est percé aux yeux et à la bouche, pour permettre au comédien de se déplacer et de s'exprimer librement. Malgré les indications des Anciens à ce sujet, des expériences modernes ont montré que la bouche du masque n'a pas pu

• L’atelier rouge • Formes • Icare Pablo PICASSO • Les demoiselles d’Avignon • Guernica • La vie Analyses d’œuvres : Henri MATISSE • L’atelier rouge : 1911, huile sur toile, 181x219,1 cm Dernier rouge décoratif secondaires d’abord, multipliée des abandonne et par du ses pour un tableau, « ateliers L’atelier l’éloge motifs célébrer effet son symphoniques », Rembrandt, la contemplation unicité lumineuse par la seule exposition des œuvres unies a travers la couleur rouge, dans l’esprit

composé de quatre partis, le panneau latéral gauche, le panneau central, le panneau latéral droit et la prédelle. Description : Panneau latéral Gauche : On voit des soldats armés qui marche aveugle dans la brume, il marche vert un ciel rouge, sanglant qui représente le front. Les soldats tournes dos au spectateur et ont ne peux pas les identifier, ils représentent une armée quelconque. Panneau central : En arrière plan on voit un paysage entièrement désertique : une ville en ruines

leurs baïonnettes détaillées et le reflet de la lumière sur leur casque. De plus, le peintre insiste sur les conditions météorologiques très brumeuses et nuageuses, prédisant un futur proche apocalyptique, mis en évidence par les fortes tendances de rouge, de brun et de gris présentes dans le ciel et au sol, très poussiéreux. Cette première partie est liée au panneau central par la direction dans laquelle les militaires se dirigent. Dans cette partie principale du tableau, le peintre nous expose à

HISTOIRE DES ARTS « La Guerre »d’Otto Dix *Biographie d’Otto Dix : Otto Dix est né à Untermhaus près de Gera le 2 décembr e 1891 et est mort à Singen en 1969. C’est un peintre allemand « objectif » et « expressionniste ». Il est issu d'un milieu ouvrier, mais il reçoit une éd ucation artistique par sa mère qui s'intéressait à la musique et à la peinture. Il p rendra des cours de peinture mais ses professeurs lui disent qu’il n’aura pas d’ avenir dans le milieu de la peinture. Il sera

Il devient mitrailleur et combat en France. Traumatisé par cette guerre il se réfugiera dans l’art. Il décide de peindre les horreurs de la guerre, notamment des « gueules cassées ». Les peintures d’Otto abordent souvent des thèmes lugubres comme la mort, la vieillesse, la prostitution et la violence. Il est engagé de force dans l’armée pour la seconde guerre mondiale en 1944 mais se fait capturer par les troupes françaises. Il est relâché en 1946, il décède en 1969 d’un infarctus. Contexte historique :

CONTRASTE DES 3 PANNEAUX SEC : -persos net, arrière plan net mais + sombre que -Le panneaux central qui est plus lumineux mais plus chaotique et désordonné Couleurs: Principalement sombre:gris et noir pour gravas, la mort et les cendres. Plus chaudes comme le rouge qui signifie la violence et les actes meurtriers mais aussi le feu. Le marron pour la boue qui était le quotidien des soldats. Signification Gauche:Nombre indéfini de soldats partant

tout au long de la pièce couvert de projection d’un squelette humain (il porte une couronne ; c’est peut être la représentation de la mort qui pèse sur le destin des rois – Duncan et ensuite Macbeth) et ce celui d’un poisson passés aux rayons X, comme si on avait voulu faire une autopsie du corps de Duncan pour comprendre le sens de sa mort, et le sens de la mort en général dans cette pièce. Par ailleurs, plusieurs images similaires représentants des dents ensanglantées apparaissent régulièrement

pas être comprise comme une reproduction exacte, un réalisme plat, comme une imitation scrupuleuse de la nature, mais comme un phénomène de réfraction. Les deux formules les plus connues: le miroir mobile, „que l’on promène le long d’un chemin” (Le Rouge et le Noir), et le miroir fixe dans lequel se reflète la réalité, sont liés à l’idée du monde comme théâtre. Elles impliquent la présence nécessaire du romancier et celle supposée du lecteur et elles essaient de réconcilier les principes de l’objectivité