Le Mauvais Vitrier

"scintillements des phares". - Effet d'optique : transformation du regard � travers "un prisme merveilleusement propre � amuser les yeux sans jamais les lasser". - Id�al baudelairien du regard transform� par un prisme (cf. Les Fen�tres, Le Mauvais vitrier, par exemple). 2. Le port, source d'inspiration : lieu de mouvement - "Architecture mobile des nuages" + "colorations changeantes de la mer" + "oscillations harmonieuses" entretiennent le go�t du rythme et de la beaut�. - Effets rythmiques

inventif que leur donna la Nature. L’hiver surtout, temps où la hauteur des neiges leur ôte une communication facile, chacun renferme bien chaudement, avec sa nombreuse famille, dans sa jolie et propre maison de bois. Jamais menuisier, serrurier, vitrier, tourneur de profession n’entra dans le pays ; tous le sont pour eux-mêmes, aucun ne l’est pour autrui ; ____________________________________________________________ ____________________________ Site Présence de la littérature - Dossier Rousseau

changeantes", "scintillements des phares". Effet d'optique : transformation du regard à travers "un prisme merveilleusement propre à amuser les yeux sans jamais les lasser". Idéal baudelairien du regard transformé par un prisme (cf. Les Fenêtres, Le Mauvais vitrier, par exemple). 2. Le port, source d'inspiration : lieu de mouvement "Architecture mobile des nuages" + "colorations changeantes de la mer" + "oscillations harmonieuses" entretiennent le goût du rythme et de la beauté. Effets rythmiques

dans son poème, le bonheur se trouve juste dans le restaurant que l’on entre par hasard. Il ne cesse pas d’exprimer son amour pour le bonheur contingent. L’effet de cette contingence dépasse de l’imagination et l’inspiration normale. Dans « Le mauvais vitrier », Baudelaire déclare comme ci-dessous : «Observez, je vous prie, que l’esprit de mystification qui, chez quelques personnes, n’est pas le résultat d’un travail ou d’une combinaison, mais d’une inspiration fortuite, participe beaucoup, ne fût-ce

le public», «des ordures soigneusement choisies». _________________________________________________________________________________ IX ‘’Le mauvais vitrier’’ Quatre pages Le narrateur, qui constate que, à des «âmes paresseuses » vient soudain «une folle énergie» qui «jaillit de l’ennui et de la rêverie», raconte avoir fait venir un vitrier pour lui reprocher de ne pas avoir «de verres de couleur», de ne pas lui offrir «la vie en beau», et casser ses vitres, ayant ainsi éprouvé «une

métiers libre cme les porteurs d'eau ou les banquiers, qui ne forment pas entre eux une corporation, et une grande partie de métiers incorporés : environ 130 Corporation à Paris, présente ds ts les secteurs d'activités : une communauté des bouchés, des vitriers, des orfèvres, imprimeurs, chirurgiens, maitre d'armes.. Ces communautés sont presque tjrs masculine, a part pr les lingères et les sages-femmes : ex rare, ce monde des communautés est un monde masculin. I) B- Un statut corporatif : La communauté

des roses La douleur dont il est brisé Ma vie au loin mon étrangère Ce que je fus je l'ai quitté Et les teintes d'aimer changèrent Comme roussit dans les fougères Le songe d'une nuit d'été Automne automne long automne Comme le cri du vitrier De rue en rue et je chantonne Un air dont lentement s'étonne Celui qui ne sait plus prier Louis Aragon "Il meurt lentement celui qui ne voyage pas, celui qui ne lit pas, celui qui n’écoute pas de musique, celui qui ne sait pas trouver

décrit grâce au protofype du citadin moderne qu,est le flâneur, et d,autre purt il l,ri donne forme à travers une écriture qui travaille à dédoubler les espaces de circulation du rnoi de manières diverses : dedans et dehors d,un même lieu, bon et mauvais côté ou être et paraître d'une même rêalité, prose er poésie d'un même sujet. eu ûû:< : l€ de =]orr- ë Ce nomadisme, qui est sans doute la nouvelle éalitê esthétique, est aussi bien intellecruel que géographique. Après la perte de repère infligée

limite de la ville est en effet la déréliction: une chute perpétuelle dans le "sans-fond" de la modernité. "Hôpital, lupanars, purgatoire, enfer, bagne", la ville devient alors chez Baudelaire une accumulation de lieux maudits, ou plus simplement de "mauvais lieux". Devenu "peintre de la vie moderne", le poète est "ce solitaire doué d'une imagination active, toujours voyageant à travers le grand désert d'hommes." La grande ville, en effet, s'offre telle un lieu où rôder. Ainsi que l'écrit Claude Mouchard

décrire la vie quotidienne au Spleen de Paris, de Baudelaire, un recueil de poèmes en prose mettant en scène, notamment, des éléments de la vie des populations rejetés de la capitale, comme les vendeurs ambulants, présents dans le poème « Le Mauvais Vitrier »