Le Mauvais Vitrier

même qu’il chevaucha le Cheval-fée Bayard --, laissant ses armes, et après avoir accompli un Pèlerinage, reprit des outils de Bâtisseur pour la construction dune Cathédrale… Alors qu’un soir il inspectait son bel ouvrage, il fut assassiné par trois mauvais ouvriers jaloux de son savoir-faire… Assassiné par ceux-là même à qui il avait ouvert son cœur et son chantier, sa table -- généreusement il leur avait appris à manier l’outil. -- Je sens votre indignation ! Et pourtant, statistiquement, nous sommes

marqué à l’univers de la narration : conte, nouvelle,… ce qui appelle un recours à des phénomènes structurels particuliers + plus de détails ce qui suppose aussi plus de liberté -recours au ton railleur plus facile dans un texte en prose : « le mauvais vitrier » pourrait-il exister en vers ? « Mlle Bistouri », alors que le vers appelle plus naturellement le ton lyrique (L’écriture en prose à ses raisons, effets que le vers ne connaît pas L’aventure de l’écriture s’est substituée à la création d’un

présence prolongé de l’observateur influe sur le quotidien des familles. Puis vient alors les « notes » les conclusions et les comparaisons avec les autres familles déjà étudiées. Le titre est le résumé de la monographie : « Ferblantier, couvreur et vitrier d’Aix les Bains (Savoie- Etats Sardes) ouvrier chef de métier et subsidiaire journalier […] dans le système du travail sans attachement » cela indique la profession, la population dont il fait partie, la nature de l’engagement, et la situation qu’il

présenter des parfums délicats qui l'exaspèrent, mais des ordures soigneusement choisies. » | IX. Le Mauvais Vitrier | Une homme, probablement Baudelaire (désigné par je) parle des moments de pulsions incontrôlées à faire des mauvaise choses qui nous touche tous mais qui nous satisfait. Il témoigne de ces pulsions en prenant un exemple : un de ces jours, il détruit les vitres d'un vitrier et en est réjoui. | Récit. Texte narratif mais principalement explicatif. | Poème écrit à la

la l'honneur et le gain, il isole tout un groupe de personne pour le blamer et perd donc du public parmi leur rang. Charles Baudelaire, lui, démontre les limites du conte et de l'apologue car il les a en quelque sorte perverti. En effet, « Le mauvais vitrier » (voir les petits poèmes en prose), possède la forme et les caractéristiques de l'apologue : c'est un court récit en anecdote avec des personnages représentatifs et présence à la fin d'une « morale ». Or, dans ce poème, la morale n'en est pas

de la pensée et de la rêverie, mais qui craint que sa création ne soit pas bonne (« Le confiteor de l’artiste »), celui qui est incompris du public (« Le chien et le flacon »), celui qui peine à transformer la laideur du quotidien en art (« Le mauvais vitrier »), celui qui recherche la solitude et la quiétude du soir pour pouvoir se retrouver face à lui-même (« Le crépuscule du soir », « La solitude »), celui qui peut devenir autre et lui-même à la fois (« Les foules »), un être double, à la fois artiste

classique. Contenu : À Arsène Houssaye. I. L'Étranger. II. Le Désespoir de la vieille. III. Le Confiteor de l'artiste. IV. Un plaisant. V. La Chambre double. VI. Chacun sa chimère. VII. Le Fou et la Vénus. VIII. Le Chien et le Flacon. IX. Le Mauvais Vitrier. X. À une heure du matin. XI. La Femme sauvage et la Petite-maîtresse. XII. Les Foules. XIII. Les Veuves. XIV. Le Vieux Saltimbanque. XV. Le Gâteau. XVI. L'Horloge. XVII. Un hémisphère dans une chevelure. XVIII. L'Invitation au voyage. XIX. Le

son répondeur. Il décide de prendre les choses en main et de nettoyer. Le vitrier arrive pour examiner les fenêtres. Il marque sur un bloc-notes les prochaines interventions qu’il doit y avoir. Puis il va chercher sa voiture dans le garage ou il l’avait laissé avant de partir et va sur la plage. Le lendemain en se levant il ressent la présence de Sihem comme une onde et il repense à tous les souvenirs avec elle. Le vitrier arrive et lui dit que le maçon ne va pas tarder. Neveed lui téléphone pour

il est ordonné prêtre. 1493 : il quitte le couvent et suit l’évêque de Cambrai dans ses déplacements comme secrétaire. 1495-1499 : séjours à Paris où il apprend le grec et rencontre de nombreux humanistes. Sous l’inspiration du franciscain Jean Vitrier, gardien (supérieur) du couvent de Saint-Omer, il écrit l’Enchirion militis christiani (Le Manuel du soldat chrétien). 1499 : premier séjour en Angleterre où il rencontre John Colet, chanoine de Saint-Paul et Thomas More. 1505-1506 : deuxième séjour

l'histoire de Gilles de Rais), le cinéma d'horreur, le roman noir, certaines tragédies de Shakespeare comme Macbeth, celles, si sanglantes, de Sénèque, Britannicus de Racine avec le «monstre naissant» Néron, certains poèmes de Baudelaire («Le Mauvais vitrier», «Assommons les pauvres», «L'Héautontimorouménos») faisaient ici merveilleusement l'affaire comme aussi dans la peinture chrétienne bien des scènes de martyre, les Ecce homo ou les Christs en croix, ou encore la série de gravures de Goya «Les