Le Mendiant Pour Dieu

Acte I, scène 5 : « Le duc est un bâtard du Pape et de l’empereur » Acte I, scène 6 : Marie est nostalgique de l’ancien Lorenzo. Catherine et Marie veulent défendre Florence. « Cette Florence, c’est là qu’on l’a perdu » « Comme Dieu est partout » ( Catherine ) Acte II, scène 2 : « catin » ( de Lorenzo pour Florence )/  « J’aime ma mère Florence » (Tebaldeo) Acte II, scène 3 : « Que tu es belle Florence » (Marquise) « Que tu es triste » La Marquise se confie

cercle), elle drogue Ulysse. Elle représente ainsi le rapport entre la vie et la mort qui recommence sans cesse. Le rapport qu’Ulysse entretient avec les divinités est aussi important. Les dieux décident du sort. Alors pourquoi, si Ulysse est à demi dieu, ces derniers lui font subir tant d’épreuves? Parce que les dieux refusent qu’il soit plus fort qu’eux. Il y a un jeu de mot interressant à faire avec la " métis " d’Ulysse. En grec, " métis " signifie " ruse ", mais veut également dire " personne

repoussante, sans valeur, symbole de la mort en objet précieux. Il réussi à rendre beau l’enfer, le démon. En effet, comme dans la section Révolte, composé de trois poèmes, où, au lieu de se tourner vers Dieu, il se tourne vers le mal, les enfers. Il rend donc Satan important, comme supérieur à Dieu. Il lui dédie une sorte de nouveau culte et il met le mal en avant. Ainsi, encore une fois, expose une idée normalement rejeté par la société, la rend importante et unique et d’une certaine façon belle

réforme : élection des papes par le collège des cardinaux, condamnation des investitures laïques. Ce point est à l’origine de la querelle des Investitures (elle oppose le pape et les empereurs germaniques qui se considèrent comme les représentants de Dieu sur terre). 2 Le renouveau spirituel A Le succès du monachisme Vers 1100, la vitalité du monachisme est à son apogée. • L’abbaye de Cluny (fondée en 910) est la plus grande d’Occident. Mais à force d’intervenir dans les affaires de la chrétienté

gnostiques de l’islam, selon lequel le moteur de la création aurait été l’amour de Dieu et Son souhait d’être connu par Ses créatures : "J’étais un trésor inconnu, J’aimais à être connu : J’ai donc créé les créatures, Je me suis fait connaître d’elles et par Moi elles Me connurent." D’autre part, selon le Coran, le corps de l’homme a été façonné d’argile tandis que son âme lui a été directement insufflée par Dieu : "Il lui donna sa forme parfaite et lui insuffla de Son Esprit" (32:9). L’origine de

« matins du monde ». La poésie se veut souvent « poésie des commencements ».  Anciennement, la poésie révélait/ célébrait les Dieux   -          Les Contemplations, Hugo  Poésie d’inspiration religieuse qui voit Dieu dans chaque élément de la Nature (prend un caractère symbolique=> Dieu)   -          Les Biens de ce Monde, René-Guy Cadou Décrit le poète et sa demeure (le poème) => ce qu’on trouve dans le monde poétique (meubles/mots magiques : ont un pouvoir sur nous : conduisent à imaginer

in medias res: subordonnées temporelles au passé simple (vers1 et 4) qui situent la scène au moment de l'embarquement. Personnages qui renvoient à la pièce de Molière: le mendiant, les femmes anonymes séduites, Sganarelle et Don Luis, Elvire et enfin le Commandeur et tous semblent harceler encore D.J. Seuls le mendiant et le commandeur qui dans la pièce résistent à D.J ne lui adressent pas de reproches mais conduisent D.J vers son destin (ils se trouvent d 'ailleurs respectivement dans la première

personnages complémentaires A) Le Vilain dont l'identité est indécise paysan libre <=> homme courtois rustre représentant divinité (Dieu ou Satan) [vilain → vaillance = mendiant → générosité | mis sur le chemin par Dieu et testent] futur prémonitoire → ce qu'il annonce va de fait se passer (écho) mots de l'existence de Dieu : chapelle, Nature diabolique (tente Calogrenant) B) Le chevalier homme (on s'identifie à lui) → chevalier courageux (champ lexical)

hiérarchisation : avec le rôle du pape, de l’évêque, du prêtre. Une institution qui se réforme par les Réformes grégoriennes XIe siècle et Ordres mendiants XIIIe siècle. Une institution qui fixe des règles de conduite : école, hospice, charité. Essaie d’encadrer la violence, avec les mouvements de la paix de Dieu et de la Trêve de Dieu. En conclusion, on peut dire que non pas le clergé, mais l’Eglise qui assure un encadrement de la société chrétienne car elle veille sur

Son rôle est clairement défini par les Euménides : c'est une arme, et la question est de savoir si celle qui la tiendra sera Clytemnestre ou Electre. Le rôle du Mendiant et des Euménides est plus complexe. Ils participent à l'action, les Euménides bâillonnent Oreste afin qu'il ne puisse pas répondre à l'appel d'Electre, le Mendiant répond à la place de Clytemnestre pour éviter qu'Egisthe n'apprenne le retour d'Oreste. Les Euménides ne sont plus exactement les Furies vengeresses de la mythologie