Le Mendiant Pour Dieu

consciencieux, pour quel salaire que ce soit, plaisait infiniment à Dieu. L’ascèse protestante a développé ce point en y ajoutant une incitation psychologique, la conception du travail comme vocation («Beruf» chez Weber). Cette notion est le meilleur, et souvent même l’unique, moyen de parvenir à l’état de grâce. Le travail n’est plus un moyen mais devient une fin en soi. Tous sont concernés par cela puisque tous sont concernés par le plaisir de Dieu. Cela entraîne une acceptation des inégalités du monde et

La balade du pendu. Il écrit au nom des marginaux : révoltés, mendiants, prostituées, étudiants… I. Peut-on se révolter au Moyen-Age ? Le Moyen-Age était très chrétien, or le christianisme préconise l’obéissance au pouvoir politique. Saint-Paul (qui était juif ???) dans Epître aux Romains : « que chacun se soumette aux autorités placées au-dessus de lui… celui qui résiste à l’autorité se rebelle contre l’ordre voulu par Dieu ». Cpdt, il y a eu des révoltes de paysans (des jacqueries ou

apparaissent l'ordre des Franciscains fondé par François d'Assise (1182-1226) et celui des Dominicains, fondé par l'Espagnol Dominique (1170-1221). A la différence des moines, ces Frères Mendiants ne s'enferment pas dans un monastère ; ils vivent de la mendicité et parcourent les villes pour dire la parole de Dieu et enseigner. Si le clergé séculier est exclusivement masculin (leurs membres ne peuvent pas se marier), le clergé régulier est ouvert aux femmes qui sont enfermées dans des monastères

beaux vêtements, mangeant avec les mendiants, embrassant la main des lépreux et leur donnant de l’argent, réparant l’église Saint-Damien comme lui avait demandé le Christ et reniant désormais tout bien matérielle et monétaire. Il se vêtit d’une simple tunique et comme ceinture il usa d’une corde. Un jour, une croix d’or lui sortit de la bouche, touchant le ciel et à partir de ce moment, il eu la conviction qu’il était devenue l’imitateur de l’homme de Dieu. Lorsqu’il pria mentalement, le diable

raison. L'imagination liée à l'écriture sont des moyens d'échapper à leur temps, d'éviter la dure réalité de la vie. C'est une fuite constante. Certains poète tels Hugo ou encore Mylène Catel pensent ( pensaient ) que la poésie est " l'étoile qui mène à Dieu". Guillaume du Bartas dit un jour que "la seule poésie est un pur don céleste". D'après eux, leur don est manifestation de la puissance divine. D'autre part, ils sont convaincus que seul le poète connaît la vérité. Pour eux, la poésie doit " éclairer"

comme dans le poème « Le mendiant », en roman dans les Misérables, mais aussi dans ses discours politiques comme le « Discours à l’Assemblée » prononcé le 30 juin 1850. Dans ce texte, il dénonce vigoureusement devant les membres de cette assemblée les horreurs de la misère. Un plaidoyer habile Une prise à partie de l’auditoire Interpellation forte de l’auditoire « Figurez-vous » x5 en anaphore. Implication forte du locuteur avec des interjections comme « Hé mon Dieu ! », « Ah oui », et «

signifie qu’il a vécu du bonheur et du poème tout au long de sa vie et que maintenant, il est épuisé. 2. Quel est le pouvoir de la rêverie ? Faire renaître des souvenirs. III- « Extase » (p. 52) 1. C’est par le biais de l’eau que la nature vient saluer Dieu. IV- « À une femme » (p. 53) 1. Le thème de se poème et l’amour. Victor Hugo explique qu’il est prêt a tout donner à la femme qu’il l’aime, pour qu’elle l’aime en retour. V- « Sur le bal de l’hôtel de ville » (p. 54-55) 1. Expliquez la métonymie

 il deviendra riche jusqu’au jour où quelqu´un se rebiffera. Le lendemain, l’esclave réitère son geste. Il gifle à nouveau un homme mais  celui­ci le tue avec un couteau. Cet exemple nous dit que les personnes abusant des autres seront punies par  Dieu. 2.­Comment faut­il punir une épouse jalouse À   Barcelone,   il   y   avait   un   homme   marié   avec   une   femme   très   jalouse   et  cependant très bonne. On conseilla à cet homme, au moment où sa femme  commencerait à crier à cause de sa jalousie

l’œuvre. Il évoque plusieurs fois des mots religieux comme « débauches » (p.111 et 112), « péché » (p.110), « paradis » (p.105), ou encore « louanges » (p.94). Il invoque également un certains nombre de fois les personnages du christianisme, tel que « Dieu » (p.95) ou « Seigneur » (p.121), « le diable » (p.98) appelé aussi « Satan » à la page 89, sans oublier Jésus Christ qu’il nomme « l’autre » à la page 118, et même deux apôtres : « Luc » (p.120) et « Pierre » (p.122). Camus va même jusqu’à associer

comme Cocteau, s'inspire des grands mythes de l'antiquité et poursuivent ainsi la tradition; mais Giraudoux fait une oeuvre originale en transformant le désir de vengeance en quête de la vérité. Le premier acte s’achève sur un long monologue du mendiant tandis qu’Oreste et Electre sont endormis. Le jardinier profite de l’entracte pour venir s’adresser directement aux spectateurs. Sa tirade présente l’originalité de se situer hors de la tragédie. Par la voix du jardinier, Giraudoux propose ses réflexions