Le Mendiant Pour Dieu

 Au Moyen Age, en Occident, la quasi-totalité de la population est chrétienne (qui croit en Dieu et au Christ). Pour accéder au paradis et dans la crainte de l’enfer, les chrétiens doivent respecter un certain nombre de règles : réciter des prières quotidiennement, assister à la messe du dimanche, se confesser, jeûner, aller en pèlerinage. La vie des chrétiens est également rythmée par les sacrements Tout au long de l’année, de grandes fêtes religieuses rappellent les épisodes de la vie du Christ

testament et des dogmes. Dogme chrétien: 325 au conseil de Nicée C'est le Credo (=profession de foi) -Croyances chrétiennes du M-A: -existence d'un Dieu unique, tout puissant Trinité : -Dieu le père créateur, le fils(Jésus), Le saint esprit (parole de Dieu) -Immortlité de l'âme -Existence du Jugement dernier -Eglise=rpzte et ganrante de Dieu sur T. -Existence d'intercesseurs (Marie, les Saints...) -Enfer facilement atteignable B) L'Eglise catholique, une institution organisée 1) Le clergé

(ordres mendiants qui parcourent les villes) 2) Enrichissement de l'Eglise → grâce aux dons des fidèles et pèlerins, grâce au loyers que payent des paysans en échange de terres, grâce à la dîme. (exemple de sa puissance : construction de nombreuses cathédrales) 3) Une Eglise plus puissante que les monarques → Pape Grégoire VII met en place la réforme Grégorienne : il cherche à imposer un théocratie où son pouvoir serait supérieur à celui des monarques. L'Eglise impose la Paix de Dieu et la trève

sont des religieux mais pas des moines : ils ont la particularité de ne prononcer qu'un seul vœu, celui d'obéissance, dans les mains du maître de l'ordre (ou de son représentant). Les vœux de pauvreté et de chasteté sont implicitement inclus (ordre mendiant). * Les bénédictins portent un scapulaire noir à capuchon, et une ceinture noire autour de la taille. La coule (noire ou plus rarement blanche), est portée par les profès solennels lors des offices et principaux actes de la vie communautaire

son esthétique moderne. Selon lui, c’est celui qui accorde à cette ville son souffle vital si essentiel, origine de la beauté parisienne. De fait, chaque homme, quel qu’il soit, constitue la sève de Paris. Le troisième poème de la section, A une Mendiante rousse, est le premier à réellement mettre en valeur une personne humaine. Dès la lecture du titre, il y a une mise au premier plan de cet être chétif et pauvre. Elle semble d’abord exclue de notre société du fait de sa pauvreté, ou encore de sa

Le peuple Il est composé de paysans sans terre ou de manoeuvriers travaillant de leurs mains pour les autres. Victimes des mauvaises récoltes et des guerres, ils sont les premiers atteints par les épidémies et la misère, devenant alors mendiants et révoltés. Les révoltes populaires ont été très nombreuses surtout au XVII siècle. Une société très chrétienne: Le pays est presque en totalité catholique. Les juifs et les protestants sont peu nombreux. Le clergé catholique est très

sculptures gravées sur les murs de l’église étaient une façon d’enseigner à la population illettrée. Les clercs étaient instruits ; ils enseignaient dans les écoles, ils soignaient les malades dans les hôpitaux. Ils venaient en aide aux pauvres et aux mendiants. Les clercs aidaient à améliorer les techniques agricoles et à défricher les forêts. Durant cette période il n’était pas commun de voyager mais lors des chantiers important pour la construction d’une église les différents travailleurs étrangers permettaient

durassiens évoluent sous le signe de l’eau. Dans cet article, je présente quelques-uns d’entre eux : la mendiante, Anne-Marie Stretter, Lol V. Stein et la mère dans le cycle indochinois. Nous verrons que ces femmes sont toutes marquées, d’une façon ou d’une autre, par les rapports qu’elles entretiennent avec l’élément aquatique. Ces relations diffèrent de manière significative. Pour la mendiante, l’eau est d’abord un élément néfaste, qui accompagne et s’associe à la douleur qu’elle éprouve. Ensuite

« scorpions »,  « serpents ».On peut y trouver une gradation, « glapissants, hurlants, grognants… ».On relève aussi des oxymores (violence antithétique et figures d'opposition).Il y a des métaphores, des comparaisons, à tous les vers exemple : « comme les mendiants ».La mort est une allégorie, "sourdes plaintes", "fleuves invisible", métaphore filée, le mal est comparé à un oreiller confortable où Satan va nous bercer. L'Ennui est aussi personnifié "il rêve d'échafauds en fumant son houka".Vocabulaire courant

personnes en marge de la société : « Ils sont de notre monde sans en être ». A travers l’histoire, deux visions et interprétations de la pauvreté ont coexisté : il y a la pauvreté appréhendée en tant que valeur spirituelle : les pauvres sont les élus de Dieu. Mais même dans ce sens, ils sont toujours traités comme des personnes à part. Comme tels, ils présentent une utilité pour les riches car ils sont leurs "intercesseurs" auprès du Divin; les aumônes distribuées par ces derniers participant au salut