Le Mendiant Pour Dieu

tout alors que les mendiants amaigris par la faim et la pauvreté, n’ont presque rien, ne disposent de rien et n’ont droit à rien. Pensez-vous que ceci soit normal ? Ces inégalités de mode de vie étonnent les autres peuples qui vivent en harmonie avec la nature et se considèrent comme égaux les uns des autres. Notre société est multiple sur le plan des religions, autant le christianisme, l’islam et le judaïsme sont des religions monothéistes, qui croient et prient un seul Dieu. A l’inverse, je constate

cime 9. argentée je reconnus la déesse. 10. Alors je levai un à un les voiles. Dans l'allée, en agitant les bras. Par la 11. plaine, où je l'ai dénoncée au coq. A la grand'ville elle fuyait parmi les 12. clochers et les dômes, et courant comme un mendiant sur les quais de 13. marbre, je la chassais. 14. En haut de la route, près d'un bois de lauriers, je l'ai entourée avec 15. ses voiles amassés, et j'ai senti un peu son immense corps. L'aube et 16. l'enfant tombèrent au bas du bois. 17. Au réveil

tâche noire. « Oui, une fosse, le Voreux... Tenez ! Le coron est tout près.» (...) En courtes phrases, l'haleine coupée, tous deux continuèrent à se plaindre. Étienne s’exclama : « Il faut donc crever de faim? Bientôt les routes seront pleines de mendiants.» « Oui, dit le vieillard, ça finira par mal tourner. » D’après Émile ZOLA, Germinal, 1885 Légende Votre dialogue théâtral (à recopier et continuer sur une feuille) LANTIER, (s'approchant.) - Bonjour. LE VIEUX, (l'air méfiant.) - ……………………………

engagé de Victor Hugo :  « Le Mendiant » Le Mendiant Un pauvre homme passait dans le givre et le vent. Je cognai sur ma vitre ; il s'arrêta devant Ma porte, que j'ouvris d'une façon civile. Les ânes revenaient du marché de la ville, Portant les paysans accroupis sur leurs bâts.  C'était le vieux qui vit dans une niche au bas  De la montée, et rêve, attendant, solitaire,  Un rayon du ciel triste, un liard de la terre,  Tendant les mains pour l'homme et les joignant pour Dieu.  Je lui criai : « Venez

processusLe roi Readwand a élevé dans sa maison deux autels, il concilie les deux religions, il accepte le dieu des chrétiens en plus de ses dieux traditionnels. Sous le règne de Sigeberht le christianisme triomphe dans le royaume. Premier texte : montre la stratégie de compromis pour faciliter la conversion. Il donne des conseils : les laisser faire leurs sacrifices à condition qu’ils en face au dieu chrétien (contraire au christianisme), il ne faut pas détruire les lieux de cultes païens mais les réfecter

poème déclamé devant un auditoire puis fixé par écrit. C’est l’histoire du retour d’Ulysse dans son royaume après 10 ans de guerre à Troie. Il va mettre 10 ans pour retourner dans son île d’Ithaque. Il va surmonter des épreuves car Poséidon, le dieu de la mer est son ennemi. Les aventures se déroulent 1250 avant J.-C (date supposée de la guerre de Troie) et sur la Méditerranée ou dans ses îles. 3. Résumé Au début du livre, Télémaque, le fils d’Ulysse décide de partir à la recherche de son

au Nord Est de Rome, entre les collines de l'Ombrie, en 1182, et meure le 3 octobre 1226 à l'âge de 44 ans. Il fonde en 1209, l'ordre des Franciscains, un ordre mendiant qui prône deux buts, celui d'être égaux et fraternel, surtout en voyant le fossé qui sépare les riches et les pauvres de cette époque, et enfin être au service de dieu et d'autrui. Les travaux de la basilique Saint-François commencèrent en 1228, deux ans après sa mort, mais ils ne furent achevés en 1253, lorsque la basilique fut

I'essentiel cherche I'assouvissement, enfin un peuple qui mérite d'être distingué des autres.» Michaux est fasciné par l’Indien, qui est nu, qui prie sans cesse, qui se couche dans la rue, dans le hall des gares, attentif à lui seul, cherchant sans cesse Dieu, le divin. Sa religion «ne dégage pas la faiblesse de l'homme, mais sa force». Elle lui offre des modèles et des techniques de méditation plus efficaces. Il fut touché, en Inde, par le «peuple de l'Absolu», par des êtres qui «cherche[nt] Ie plus et

sauce au vin' un usurief ' un bon damné bien gras à hôtelier, ce que tuvoudras' * Je ferai très attention' Monseigneur' » avec son feu et avec ses âmes' Le jongleur reste seul' vu grands b{.co1s du ciel' avait so Mais saint Pierrt, àut dêguisé en mendiant' la Lucifer partir. ff arrive Iussitôt' le guenilles afftuuset' Il connalt barbe toute §ale, uei" At pa§: tout de suite il *u q";iit"it' Il n hésite ,"it if Jongleur, pleine d'argent' un cornet' sort de ses poches une bourse so des dês, et il I'invite

français. Il est baron de la Brède et de Montesquieu. Né en 1689 d'une famille de magistrats et de bonne noblesse au château de la Brède près de Bordeaux, il porte d'abord se nom auquel il sera toujours très attaché. Ses parents ont choisi un mendiant pour être son parrain pour que toute sa vie il se souvienne que les pauvres sont ses frères. Il a fait des études de droits. 1714 : Il devient conseiller auprès du parlement de Bordeaux. 1716 : Il hérite de la fortune de son oncle, de