Le Mensonge Et Kant

parle du monde, l’humanité, le bonheur, la justice, la liberté, la mort, Dieu… Il faut donc philosopher dans le but d’une vie humaine, plus lucide, plus sereine, plus raisonnable, plus heureuse… ce qu’on appelle la sagesse (bonheur sans illusions ni mensonges). Il s’agit donc de penser mieux, pour vivre mieux (réflexion personnelle). Il y a deux grandes dimensions de la philosophie : * Une dimension pratique (rapport à la vie concrète) : avoir une vie qui est la plus harmonieuse possible et la moins

humaine • Point Important : L’existence précède l’essence ( ex : coupe-papier la production précède l’essence) • Ce concept rejette l’existence de Dieu : car Dieu n’aurait pas • Les philosophes athées du XVIII tels que Diderot, Voltaire ou Kant mettent l’essence comme base de la nature humaine. Sartre rejette cette primauté. Car pour lui l’homme n’est d’abord rien puis il devient. • Essence : ensemble des qualités qui permettent sa création et sa définition • Concept très en vogue

une fonction particulière, l’œuvre d’art est caractérisée par son inutilité. L’œuvre d’art est ainsi un objet dont la durée de vie est particulièrement importante : il constitue, produit le réel. Référence possible : Arendt, La crise de la culture, Kant, Critique de la faculté de juger B. L’art comme moyen d’expression. C’est justement cette gratuité qui permet à l’art de constituer un langage plus adapté pour parler du monde réel, car en se détournant du réel quotidien, trivial, préoccupé par

l’électricité », « l’eau en se solidifiant augmente de volume ». -Morale quand elle est fondée sur une loi psychologique c’est-à-dire sur le mode constant ou habituel de l’agir humain : « les parents aiment leurs enfants », « l’homme répugne au mensonge ». Les assertions suivantes, sans être toujours vraies[4], le sont dans la majorité des cas. En effet, les certitudes morales concernent l’agir constant d’êtres pourvus de liberté (donc d’une certaine manière indéterminés), tandis que les certitudes

justice. De plus, la mauvaise foi, un mensonge à soi où l'on se trompe soi-même qui permet de se masquer la vérité, permet à l'homme d'écarter ce qui le dérange. L'être humain ne peut donc jamais coïncider avec lui-même, il existe une distance, un décalage, une inauthenticité entre ce que je vis et la représentation que j'ai de ce vécu. C'est pourquoi le cogito assure que nous avons conscience que nous sommes mais pas de ce que nous sommes, comme l'affirme Kant. CONCLUSION : Pour conclure, nous

prestance du franc maçon - le ciseau et le maillet (pour combattre les aspérités et naître de nouveau - le levier (IL s’agit pour l’essentiel de s’élever) - l’Equerre parce que la beauté est liée à la vérité l’éthique, le refus du mensonge et de toutes formes de corruption 2.3. La beaute et la colonne d’harmonie - faire ici une relation avec les notions de : • l’harmonie musicale • la mesure/ la tempérance • la tolérence (plusieurs perceptions

sincère sans être vrai la sincérité est une croyance, dans la vérité de mon discours ma sincérité est une certitude subjective. La vérité est relative au sujet. Inversement le mensonge suppose lui aussi une intention mais de dire le faux. « Est illusion le leur qui subsiste même quand on sait que l’objet supposé n’existe pas » KANT- [Anthropologie au point de vue pragmatique.] Erreur => lat. errare : se tromper / une fois expliquée l’erreur peut être évité Illusion => lat. illudere : se jouer

L'Imagination, 1936. http://www.devoir-de-philosophie.com/passup/citations.php?PARAMS= 164 Citation 167 « La conscience simple, mais empiriquement déterminée, de ma propre existence, prouve l'existence des objets dans l'espace et hors de moi. » Kant, Critique de la raison pure, 1781. http://www.devoir-de-philosophie.com/passup/citations.php?PARAMS= 167 Citation 168 « La conscience est un trait d'union entre ce qui a été et ce qui sera, un pont jeté entre le passé et l'avenir. » Bergson

le point de départ de la reconnaissance sociale de cette individualité. - Le concept de personne va plus loin. L’individu n’est plus défini par différence (ce en quoi il diffère de ses semblables) mais comme unique, pour ce qu’il est par lui même (Kant) Il représente une valeur absolue, il n’est plus un pion sur l’échiquier social, qui n’aurait qu’un prix (il serait remplaçable par n’importe quel autre individu) On remarque donc que la notion de personne dépasse notablement la simple identité. ΕSi

œuvre. Quel rôle peut alors avoir l’inspiration voir l’imitation dans la création d’une œuvre architecturale ? Néanmoins, l’imitation en art a des mauvaises intentions : n’est-elle pas un geste inutile qui répète en fait ce qui existe déjà un mensonge qui trahit l’original qu’elle prétend imiter ? Elle semble contraire à l’idéal répandu d’un artiste créateur et aux antipodes de l’autonomie qui caractérise la position esthétique, l’art pris dans sa caractéristique « libérale ». Cet aspect, nourri