Le Mensonge Freud

fonctionner que si on croit fermement en sa culpabilité. La thèse de René Girard peine à s’imposer chez les spécialistes des religions et les anthropologues. En réaction à cette prudence des spécialistes, il commet sensiblement la même erreur que Marx et Freud: il s’enferme dans un ensemble d’argumentation circulaire, où la falsification de sa théorie devient impossible. Pour ma part, je pense qu’il saborde sa crédibilité en agissant ainsi. D’autant qu’une personnalité arrogante et désagréable transparaît

que différente de celle d’aujourd’hui la propagande a toujours eu pour but servir l’intérêt d’un groupe ou d’une personne. S’il n’existe pas de fondateur, il y a bien un père de la propagande, neveu du ‘’guignol de la psychanalyse’’ « Sigmund Freud », Edward Bernays a longtemps été et reste un des révélateurs de la propagande. En 1928, il écrit la bible de la propagande. Il a été la source de plusieurs grand propagandistes tel que « Joseph Goebbels – ministre de la propagande sous le troisième

religion qui se veut purement rationnelle. Ce qui compte pour Kant, c'est de faire le Bien (pour être digne d'être sauvé) : j'ai besoin pour cela d'exercer ma raison. Bien = ce qui est universalisable (qu'on peut appliquer à tout le monde). Ex : Le mensonge → si tout le monde ment → ce n'est pas moral → négation de la sincérité. La raison source de moralité (universelle). Pour Kant, on ne peut pas prouver que dieu existe, il est raisonnable de poser les postulats suivant si l'on ne veut pas désespérer

reconnaîtra ainsi que Frantz pouvait difficilement agir autrement qu’il ne l’a fait, à cause de la pression familiale qu’il a subit. Sartre veut fonder philosophiquement les sciences humaines en s’appuyant sur une critique de la psychanalyse de Freud et du marxisme : prendre en compte à la foi l’individu seul et cet individu au sein de l’histoire. Huis clos et Les Séquestrés d’Altona permettent de voir l’évolution de la pensée de Sartre entre l’Être et le Néant et la Critique de la raison dialectique

l’envie d’assouvir ses « pulsions », la conscience est donc vulnérable aux pulsions elle ne peut pas les calmer. L’individu ayant des troubles de la mémoire ne peut pas se fier à ses connaissances de son moi ni à celle du monde extérieur. Selon Freud, « La conscience est la conséquence du renoncement aux pulsions » Dans ce cas ci la conscience n’est pas assez forte pour lutter contre les pulsions. Pour conclure, la conscience est le guide de l’individu, elle

religions sont rapidement évoqués. C'est sans doute réduire leur portée, . mais c'est aussi permettre : à l'auteur de retrouver dans le monde moderne tout ce qui peut être esprit mythologique, c'est-à-dire souci de reconstruire l'humanité : théories de Freud, communisme, nazisme, cargo-cuit, récupération du passé par les historiens (ici, p. 168, de fort belles lignes qui insistent sur l'importance des sciences humaines), souci du nationalisme, en Europe orientale, de chercher et d'exalter ses origines

clinique : critique de l’excès de rationalité et de l’isolement des variables, intérêt soutenu pour le particulier et pour les faits impliquant le recours à l’observation fine, savoir constitué à partir de l’étude exhaustive de cas pris isolément. Freud (1856-l 939) évoque le terme en 1899 :il s’agit d’une application des connaissances psychologiques aux données de l’expérience clinique. Mais ce sont ses préoccupations, sa méthode et sa démarche qui peuvent être qualifiées de « psychologie clinique

possèdent tous des lacunes. Premièrement dans le discours mythique, il y a deux conceptions opposées du mythe qui s’affrontent dans le débat qui porte sur la vérité de celui-ci; la première conception est celle des Grecs qui considèrent le mythe comme un mensonge, une erreur ou encore une illusion. La deuxième conception du mythe crée une unité de sens qui, fondatrice des valeurs d’une société, projette ces valeurs sur un moment fondateur. « La vérité du mythe est une question fort débattue. Pour certains

impermanente, pas d’identité stable - le moi = matière mouvante, trouble, chancelant b) L’âme insondable (Montaigne) - doute sur la connaissance de soi car l’âme n’est pas phénoménale donc n’apparaît pas c) La mauvaise foi (Sartre) ≠ mensonge =connaissance de la vérité et conscience de la dissimuler - def : attitude paradoxale dans laquelle la conscience tente de faire un effort pour croire à ce que pourtant elle ne croit pas, mauvaise croyance - mauvaise foi qui rend opaque la conscience

et mauvaise foi, va se morfondre dans sa souffrance, celle d'une dépression par exemple, avec pour autre excuse que celle dont on parle, « le mal est un état plus facilement accessible et moins éprouvant que le bonheur », or cette excuse est un mensonge et un refus de faire son devoir, c'est à dire de persévérer dans son être. Dans ce cas encore, l'excuse « je ne fais de mal qu'à moi-même » est exclue puisque le fait que je n'engage que moi ne me donne pas le droit de perpétrer ma propre douleur