Le Mensonge Freud

morale, qu'elle m'a conduit à une philosophie du psychique, dont je voudrais tracer ici les grandes lignes, réservant son application thérapeutique pour un autre ouvrage. J'ai été d'abord entièrement sous l'influence de la psychologie matérialiste de Freud, et c'est en termes de biologie mécaniste, conformes à son idéologie des sciences naturelles, que j'ai exposé ma conception du génie créateur (l'Artiste). Mais depuis, enrichi par l'expérience, il m'est devenu possible d'exprimer ces mêmes problèmes

étaient au moins les mêmes que ceux des hommes dont il parlait. Ils révélaient donc quelque chose du passé alors que dans le cas de l'histoire réfléchie, ils sont anarchiques. L'histoire peut même créer plus ou moins consciemment des véritable mythes (mensonges) qui servent les intérêts de son milieu ou de sa patrie. On peut estimer que le jugement d'Hegel vaut pour les historiens du 19ème siècle (qui parfois produisaient même des faux) mais n'est pas valable pour les historiens actuels.→ Une autre impasse

Ce sont les seuls à le voir. Le chef : il annonce l'arrivée de la reine et discute avec les soldats. La matrone qui cherche son fils alors qu'il n'est plus de ce monde depuis que le sphinx l'a tué. Les cinq leçons sur la psychanalyse de freud Première leçon : étude d’un cas. Découverte de l’inconscient, de ses rapports avec certains troubles somatiques.               Le cas d’Anna : la patiente présente des troubles tellement divers qu’on ne peut les supposer en rapport avec le cerveau

d’autres éléments constitutifs de l’être. Ce sont des aspects de l’homme qui sont très importants parce qu’ils déterminent sa pensée mais que l’homme peut définir difficilement. Ce mouvement est influencé par la psychanalyse de Freud et par la philosophie de Bergson. Les idées de Freud sur l'inconscient et le subconscient ont mis en question l'idée d'un moi stable, constant et à ce moi stable il oppose un moi fluide, un moi en conflit avec la conscience- la conscience éloigne l’homme de l’animal mais l’instinct

conflictuelle : * une approche basée sur la compétition, la rivalité, l’opposition et le marchandage * des communications axées sur la confrontation, les positions, la méfiance, l’utilisation intensive de stratégies et de tactiques, la tricherie et le mensonge * une façon d’atteindre des résultats basés sur un rapport de force et un compromis généralement linéaire * * L’approche compétitive: * Les conséquences d’une négociation à dominante conflictuelle : * la non-considération des solutions de rechange

le jugement ou d’un chantage à une pension alimentaire anormalement élevée pour continuer à voir les enfants ou autre déménagement à grande distance pour éloigner les enfants, de dénonciation mensongères de violences et parfois même d’incroyable mensonges d’abus sexuel pour interrompre tout lien avec l’enfant. Ces exemples se passent dans l’indifférence la plus totale. Au lieu de trouver un soutien auprès de la justice ou des autorités avec autant d’attention que pour les femmes victimes de violences

dépendance, comparaison, paraitre, compétition => inégalité * * Crée un état de guerre * Droit du plus fort vs. Droit du premier occupant * * Association entres les forts * Établir des lois pour protéger leur propriété : Mensonge! * * Les pauvres devront sacrifier leur liberté pour leur protection * * Les lois restreignent la liberté * On veut protéger la liberté, mais on instaure un gouvernement. * * Origine inégalité : Propriété + Perfectibilité

manière parfaitement consciente ou bien de manière inconsciente, la parole peut servir d’écran. Parler serait donc un moyen de mettre à distance ce qui est douloureux, ce que le sujet essaie de refouler, si l’on suit la théorie psychanalytique de Freud. Parler pour ne rien dire, ce serait se mentir à soi-même, se payer de mots pour tromper son angoisse par un doux et inoffensif bavardage. On pourrait lire le poème de Verlaine « Birds in the night » comme une forme de logorrhée verbale où le poète

l’autre. En résumé : « je » me vois d’abord tel que je suis vu par l’autre (« bien vu », de préférence…), et en plus je ne me vois pas tel que je suis vraiment. N’oublions pas en effet que l’identification imaginaire résulte d’un stratagème et d’un mensonge : alors que à 6 mois je ne suis en réalité qu’une larve rampant laborieusement à même la moquette, voici que je m’aperçois tout d’un coup grand et debout, entier et si beau (c’est l’autre qui en atteste) ! Cela justifie bien cette jubilation et ces

stade de l’infantilisme n’est-il pas destiné à être dépassé ? L’homme ne peut éternellement demeurer un enfant, il lui faut s’aventurer dans l’univers hostile. “ Dans cet extrait tiré de L’avenir d’une illusion“ , Freud attribue la croyance religieuse à de l’infantilisme. Ici ce qui caractérise l’enfance c’est l’ignorance, et celle-ci serait la cause des croyances. Par suite, l’acquisition de la raison de l’adulte devraient nécessairement le détourner de ses croyances