Le Mercantilisme Et La Monnaie

à considérer la monnaie comme voile et ne jouant pas de rôle sur le système productif. C’est un paradoxe car l’économie politique classique, tous courants confondus, intègre le marché dans sa vision, en fait même le régulateur suprême et l’harmonisateur universel des intérêts, et, de plus, elle fait de l’échange marchand l’acte fondateur de la société. En faisant du travail le fondement de la valeur, les classiques situent celui-ci dans l’acte de production sur lequel la monnaie n’exerce pas d’influence

les dessous féminins) et de l'ivrognerie (une « feuillette » désigne au XVII° siècle une barrique, un tonneau de vin). Dans cette fable, La Fontaine fustige à la fois les mœurs dépravées du clergé, la fausse dévotion des ecclésiastiques et le mercantilisme de la religion, et tout particulièrement celui des Jésuites (les services religieux sont assimilés par le fabuliste à une activité particulièrement lucrative). L'évocation, teintée d'humour noir, d'un strip tease impossible du défunt (« Robe d'été

IR SOMMAIRE CHAPITRE 1 : Les physiocrates et la naissance de la doctrine libérale 2 Section 1 : la critique de mercantilisme 2 Section 2 : les principes de la physiocratie 3 I- La théorie du produit net 3 II- Le tableau économique 3 III- La liberté du commerce 3 IV- La croyance dans l’ordre naturel 3 CHAPITRE 2 : L’école classique britannique et ses prolongements continentaux 3 Section 1 : Les précurseurs de l’économie politique classique 3 I- Bernard De Mandeville et l’harmonie

va avoir une multitude des échanges et ils vont se faire dans différents pays donc en différentes monnaies => apparition du change => naissance de la banque. On va ensuite avoir du vocabulaire approprié avec notamment la notion de « banque » : banco => banque ; banca rotta => banqueroute. On a une institutionnalisation des pratiques. => apparition de la spéculation car on va subdiviser les monnaies et on va gagner de l’argent en faisant du commerce de l’argent. Ensuite, on va avoir l’apparition

D’autres aspects de la théorie de Smith, tels que la conception de la monnaie comme un simple instrument destiné à surmonter les inconvénients du troc ou le libre-échange généralisé comme condition de la croissance économique, marqueront durablement la science économique, même après le déclin de l’école classique. Dans le Livre IV de la Richesse des nations, la thèse de Smith sur le commerce international reprend une critique du mercantilisme entamée par en 1752. Hume pensait qu’un solde excédentaire de

rationalité limitée elle-même. 4)La distinction entre micro-économie et macro-économie. La notion de circuit économique signifie qu’il y a une circulation de biens, de monnaies, de matières, entre les différents acteurs de l’activité économique. On parle souvent pour simplifier de flux réels pour les matières et de flux monétaires pour les monnaie et informations. A)Les agents économiques. Page 3 sur 22 Si on considère une économie nationale, comme l’INSEE, va définir 4 agents intérieurs et 1 agent extérieur

l'Islam, notamment avec la Route de la soie. La soie, les épices, les perles, etc … font parties des ressources échangées. Ces marchandises précieuses vont logiquement aboutir sur un échange de monnaie. La monétarisation des échanges exigent des économies-mondes mures. Seul l'Islam accepte d'autres monnaies. Le transport de marchandises par bateau à grande échelle apparaît. Les échanges internationaux représentent 1% des économies dans les économie-mondes. Au début du 16ème siècle, dans une économie-monde

chef. - Pas accumulés par une même personne pendant un temps indéfini, ils circulent entre différents chefs de tribus. - N’ont pas une valeur économique au sens où nous l’entendons aujourd’hui. (coquillages qui font office de « monnaie »). Avec cette « monnaie » on achète des biens de subsistance, pas de prestige. Ces sociétés n’accumulent pas de trésor. Cette distinction entre les deux bien est essentielle car elle nous prouve que les sociétés ne sont jamais limitées à la survie. Beaucoup

conduit à une économie mondiale fondée sur des économies-mondes changeantes et produisant un monde inégal. Le capitalisme est par essence mondial, dans la logique de l’accumulation et de l’exploitation illimitées du profit et des richesses. 3. Mercantilisme et libéralisme : économie, société et Etat – de nouvelles pratiques, de nouvelles idées (XVIe-XVIIe) Le capitalisme ne peut être envisagé seulement comme un système économique ; il articule étroitement changements institutionnels, sociaux et politiques

l'utilisation des biens d'une maison (« oikos »), considérée comme unité collective de production d'une famille élargie ou d'un clan. La richesse est considérée du point de vue de l'abondance des biens produits et de leur utilité, non de l'accumulation de monnaie par l'usure ou le négoce dont les procédés font l'objet d'une autre discipline qu'Aristote appelle chrématistique (de khréma (la richesse) et -atos (degré superlatif)) et qu'il considère comme des activités stériles, voire déshonorantes dans l'Éthique