Le Misanthrope Nœud

Humphry Davy (scientifique britannique, 1778-1829) selon laquelle il n’existe pas de chaleur interne excessive au centre de la Terre. Les unités de mesure employées tout au long du roman renforcent le caractère sérieux, précis et scientifique : nœuds, pieds, lieues, etc. Il s’agit du système métrique anglo-saxon. De plus, le professeur emporte dans son expédition un grand nombre d’appareils de mesure (voir chapitre 11) : deux boussoles, un manomètre, un thermomètre d’Eigel, un chronomètre et

Elle agit comme un catalyseur : •  Frollo révèle tout son vice ; •  Phœbus démontre qu’il est un personnage fait d’apparences, incapable de sentiments profonds ; •  Quasimodo révèle qu’il n’est pas un monstre, mais un être capable de l’amour le plus tendre. Le nœud amoureux qui se tisse entre ces différents personnages forme une sorte de carré amoureux  doublé d’un triangle (le trait pointillé indique le lien de parenté père-fils) – destins au-dessus desquels  plane, comme une présence humaine, la cathédrale Notre-Dame

qui dénonçons les ressorts agressifs cachés sous toutes les activités dites philanthropiques. Nous devons pourtant mettre en jeu l’agressivité du sujet à notre endroit, puisque ces intentions, on le sait, forment le transfert négatif qui est le nœud inaugural du drame analytique. Ce phénomène représente chez le patient le transfert imaginaire sur notre personne d’une des imagos plus ou moins archaïques qui, par un effet de subduction symbolique, dégrade, dérive ou inhibe le cycle de telle conduite

confrontation du raisonneur et de l’homme à marottes ou de l’extravagant. Dans L’École des femmes Chrysalde démontre à Arnolphe l’inanité de sa « méthode » qui consiste à épouser une femme ignorante pour échapper au spectre du cocuage. Dans Le Misanthrope, Philinte fait l’éloge de la modération et des usages à Alceste, figé dans son rejet maladif des compromissions. Cléante, dans Le Tartuffe, ou Ariste, dans L’École des maris, sont eux aussi les porte-parole d’une éthique qui ne doit rien aux circonstances

en scène.; et justement, il y a trop de "ficelles".. ** rigueur de la mécanique du théâtre classique qui vise un résultat efficace, sobre et net: a) unité d'action b) structure très précise: SCENE D'EXPOSITION; PERIPETIES convergeant vers le NOEUD de l'INTRIGUE; DENOUEMENT EXPOSITION: " instruire les spectateurs du sujet et des principales circonstances, du lieu et même du momentoù commence l'action; du nom, de l'état, du caractère et des intérêts de tous les principaux personnages." NB:

fut Molière se plaisait à la caricature comique pour ridiculiser l'avarice. Il fut forcé de développer l'avarice d'Harpagon sur un mode voisin du burlesque, pour maintenir sa pièce dans le domaine de la comédie, car un avare conçu sur le mode du “Misanthrope”, en nuances, eût fait inévitablement basculer la pièce dans le drame Ce drame, on l’a avec l'odieuse rivalité entre Harpagon et Cléante, amoureux de la même femme pour laquelle le père éprouve une convoitise libidineuse et qu’il lui dispute âprement

prennent le dessus. La pièce demeure donc une farce, le franc rieur que fut Molière ayant été forcé de développer cette avarice sur un mode voisin du burlesque, pour maintenir sa pièce dans le domaine de la comédie, car un avare conçu sur le mode du “Misanthrope”, en nuances, eût fait inévitablement basculer la pièce dans le drame. Ce drame, on l’a avec l'odieuse rivalité entre Harpagon et Cléante, amoureux de la même femme pour laquelle le père éprouve une convoitise libidineuse, et qu’il lui dispute

particulièrement de celle des premières impressions, que l’habitude n’a pas eu le temps d’émousser :  l’esthétique du sublime nous transporte en revanche dans des paysages sauvages, loin de la société des hommes, nourrit un génie à la fois mélancolique et misanthrope qui se complaît dans le spectacle de l’inhumain et de la terreur. Ceci nous permet de comprendre pourquoi la partie la plus novatrice du texte de Burke se trouve bien évidemment dans sa théorie du sublime, qui invente, ou du moins donne pour la

fonction symbolique - le monologue La construction de l’action La scène d'exposition. Elle fournit des informations nécessaires à la compréhension de la………………………… : qui sont les………………………………, ce qui les sépare, les rapproche, le but de leur…………………………. Le nœud de l'action. Il plonge les personnages dans un……………………………………………. : entre la raison et la passion, le devoir et l'amour, la morale et la politique, conflit d'intérêt entre un individu et la société, combat de l’homme contre l'absurdité du monde. Le

Tes sabots lourds. Au lieu d’un haillon trop court, Qu’un superbe habit de cour Traîne à plis bruyants et longs Sur tes talons ; En place de bas troués, Que pour les yeux des roués Sur ta jambe un poignard d’or Reluise encor ; Que des nœuds mal attachés Dévoilent pour nos péchés Tes deux beaux seins, radieux Comme des yeux ; Que pour te déshabiller Tes bras se fassent prier Et chassent à coups mutins Les doigts lutins, Perles de la plus belle eau, Sonnets de maître Belleau