Le Modèle Aida

plusieurs émetteurs ? ; •Le modèle se réfère à une communication contrôlée par l’émetteur. Or, les entreprises ne maîtrisent qu’une partie seulement de la communication qui les concerne ; I.2.C. Les limites du système de Shannon et Weaver (suite) •Le modèle ne prend pas en compte le contexte socioculturel de la communication ni les caractéristiques personnelles de chaque récepteur comme son implication, son expérience, ses motivations ou sa personnalité ; •Le modèle propose un schéma qui correspond

déclaration comprenant les sommes versées par elle sous forme de retenue à la source avec l'identité complète de leurs bénéficiaires (appelée Déclaration de l'Employeur). 5.6 Normes Il existe 3 normes internationales de qualité ISO 9000 ayant des modèles d'exigence différents: • ISO 9001: obligation de résultats, • ISO 9002: maîtrise de l'ensemble des opérations de fabrication et de logistique, • ISO 9003: le façonnage simple et la distribution. Il est fortement conseillé d'organiser son entreprise

développent selon deux axes : la production, les hommes I) Dimensions du management McGregor propose deux théories de management : la théorie "X" et la théorie "Y". I-1) La théorie "X" C’est le modèle de management le plus courant. Elle est basée sur la production et le contrôle selon le modèle Taylorien d'organisation scientifique du travail. Le management est exclusivement centré sur la production dont le principe de base, l'homme au travail est seulement un outil.et qui se caractérise par

déclaration (appelée Déclaration de l'Employeur) comprenant les sommes versées par elle sous la forme de retenue à la source avec l'identité complète de leurs bénéficiaires. 5.6 Normes Il existe 3 normes internationales de qualité ISO 9000 ayant des modèles d'exigence différents: • ISO 9001: obligation de résultats, • ISO 9002: maîtrise de l'ensemble des opérations de fabrication et de logistique, • ISO 9003: le façonnage simple et la distribution. Il est fortement conseillé d'organiser son entreprise

référencer dans un portail, mais de faire de la pub dans ce portail. Web TV pas confortable, pas de contenue, reste cher pour faire une bonne émissions. Now ce sont des sites collaboratif de mise en ligne de vidéo: youtube, dailymotion. Mais de modèle écconomique, bon outil mais, on est jeune sur ce métier: exemple pub sur FB: est ce que cela marche? On n'a pas de recul. Web 2.0: support experimental. Web 2.0 collaboratif. Que peut-on faire avec le site Web? Proposer de l'information: qui on

faciliter la compréhension et la perception du message • Un seul bénéfice pour le consommateur : faire un choix pour faciliter la mémorisation du message. Bon à savoir : Pour être efficace une promesse doit répondre aux 4 critères « AIDA »  • A : Attirer : informer sur le produit en présentant un avantage différent des concurrents • I  : Intéresser : impliquer le consommateur, il se reconnaît dans la cible, on lui parle • D : Désirer : donner envie grâce au bénéfice

UNIVERSITE DE CARTHAGE INSTITUT DES HAUTES ETUDES COMMERCIALES DE CARTHAGE 3EME ANNEE LICENCE FONDAMENTALE EN GESTION (SPECIALITE FINANCE) SUPPORT DE COURS : AUDIT FINANCIER & COMPTABLE Enseignants : Volume horaire : Aida KRICHENE Monem GHRAIRI COURS 42.H (3 h/semaine) TD : 21 H (1h.30 /semaine) Année Universitaire 2014-2015 Institut des Hautes Etudes Commerciales de Carthage 2 CHAPITRE 2 : LES APPROCHES D’AUDIT  EVOLUTION HISTORIQUE DES APPROCHES  LES ASSERTIONS D’AUDIT  LES RISQUES

marketing ? Pour comprendre ce qu’est le marketing, nous allons d’abord observer l’évolution d’un secteur qui servira d’exemple. Dans les années 20, Ford produisait un modèle de voiture unique, la Ford-T, qui n’était produit qu’en une seule couleur mais qui s’écoula à plusieurs millions d’exemplaire. La production d’un modèle unique reposait sur le Taylorisme (standardisation) et sur les économies d’échelles. Dans les années 70, Renault proposait 16 versions différentes de la 4L. Dans les années

poursuivirent leur propre programme, de manière informelle et discrète, durant les dernières années de l’administration Hoover. J. Edgar Hoover, directeur du FBI, était un despote féru de discipline qui demandait à ces hommes (blancs à 99%) de se modeler sur les "G-Men" ("Government Men") que l’on voyait dans les films hollywoodiens : ils devaient traquer les ennemis publics plutôt que rester derrière un bureau "à ne rien faire". Les agents ambitieux qui voulaient faire bonne impression écrivaient

déclenché et il souhaite maintenant réduire la tension que l'écart entre lui et ce groupe d'aspiration engendre. Il souhaite ressembler à cette élite belle et riche qui lui semble hors d'atteinte. Même si il ne s'imagine pas un jour être comparable à ce modèle, son but est de se rapprocher de ce symbole dont il est encore trop éloigné. Deuxième étape: La recherche d'informations Stéphane ne limite pas ses achats à une seule enseigne et a déjà fait l'acquisition de plusieurs parfums exclusivement de