Le Moi Est Il Haïssable

originaux. » La charité En revanche Pascal recommande de pratiquer la charité : qui est un amour désintéressé pour autrui inspiré par Dieu. Car c'est se préparer à recevoir la grace. Il faut également se rabaisser, se détester : « le moi est haissable » frag 253 « Nulle autre religion n'a proposé de se hair... etc » lire la suite p 180 , il dit juste qu'il faut détester cette partie de l'homme corrompue ( a cause du péché originel) qui est en lui. N'aimer que Dieu Par ailleurs la

INTRODUCTION : Désirer la gloire ou la réussite sociale, et faire tout ce que l’on peut pour honorer l’amour propre. L’ambition est pour certain haïssable, pour d’autres, elle est indispensable. La littérature réaliste évoque ce désir et c’est dans les œuvres de Maupassant, de Balzac ou de Stendhal, qu’on le retrouve de façon récurrente. Souvent, ces œuvres nous poussent à nous demander si l’on peut être ambitieux tout en gardant ses valeurs morales et, si l’on doit forcément l’être pour ??? grimper

de vers : versus =retour) Analogie de l'image. Répétition de sons (rimes), de rythmes (mètre), de syntaxe (parallélisme). MOYENS DE FASCINER La poésie peut utiliser les moyens de la prose mais en les détournant. Ex: BRETON: «  le mot le plus haïssable me paraît être le mot « donc » ». Ces liens logiqques peuvent être utilisés de manière subversive. Ex: RONSARD « Aimez-moi donc » Lorsque la poésie recherche la clarté de la démonstration, les qualités de la prose( cohérence), lorsque triomphe l'idéologie

entêtement est détestable, car il ignore toute raison ou logique, et, pire que tout, agit sans prendre en considération les conséquences sur les autres personnes. Jusque lors, Victor Hugo n’a fait que de nous expliquer à quel point ce personnage était haïssable, mais il faut continuer dans le livre pour découvrir l’ampleur de la chose. Car ce sont bel et bien ses actes qui achèvent de rendre le Directeur méchant. Ce dernier est agressif avec Claude Gueux car il est jaloux du voleur, qui jouit d’une bonne

plus rien à lui seul, mais il est un rien qui a tendance à se prendre pour un tout, un rien dont la prétention est de se placer au centre du monde dont il n’est qu’une partie relative. Ne faut-il pas alors conclure avec Pascal que « le moi est haïssable » ? qu’il est ce qui bien loin de nous ouvrir les portes de la vérité et vers l’universel. Mais une telle attitude ne consiste-t-elle pas à être trop cruel avec le moi, tout en lui faisant trop d’honneur ? Pascal semble ne voir précisément dans

en même temps qu’à aimer et louer les belles choses, «à blâmer, au contraire, légitimement les choses qui sont laides, à les haïr», et cela dès son plus jeune âge, avant qu’il soit capable «d’avoir acquis la raison» la laideur ne pouvait être que haïssable. En effet on peut le constater la sélection beau/laid opère dès l’école. Elle s’initie dès la cour de récréation où les attaques contre les « moches » se révèlent impitoyables. De nombreux enfants souffrent en silence des persécutions faites à ceux

Gnathon Les synonymes : La petite introduction : -Égoïste : égocentrique -Odieux : haïssable, détestable. -Quittant : abandonnant -Fantaisie : imagination -Acerbe : agressif (qui attaque, blesse par la moquerie et la satire) -Cru : فظ -Indignation: sentiment de colère que soulève une action qui heurte la conscience morale= colère. -Dégoût : aversion, écœurement. -Sans-gêne : manière d’agir de qqn qui n’observe pas les règles habituelles de la politesse. (L’impolitesse) {LAROUSSE} -Concrète :

les écrivains comme Rousseau ou Cohen peut manquer de pudeur. Rousseau revendique de ne rien taire de mauvais ou de bon, de « montrer à ses semblables un homme dans toute la vérité de la nature ». - rappel du précepte classique : le Moi est haïssable. (cf. Pascal : « le sot projet que [Montaigne] a eu de se peindre ».) - rejet de la complaisance à laquelle certains se livrent : refus d’une littérature trop narcissique (« tout à l’ego »), d’une introspection qui risque parfois d’isoler l’écrivain

que le lecteur y retrouvera, sinon ses propres sentiments, au moins quelque chose d'apparenté à ce qu'il ressent lui-même. * 2. Le héros romantique Tourmenté, exprime son intimité = introspection (extériorise ses sentiments). Le « moi haïssable » de Blase Pascal : JE Exaltation, passion, spiritualité, aspiration ou ennui, mélancolie, sensibilité exacerbée, souffrance et déception. Ex : « Souffrance du jeune Werther » de Goethe avec l’omniprésence du je et hypersensibilité du héros

l'émotion quand elle défend Bourguignon r24-26 → stratégie marche, elle ne peut pas s'empêcher de défendre Bourguignon, et se rend compte que quelque chose ne va pas particulièrement en colère contre Lisette r22 «l'impertinente...», «rien de plus haïssable que cette fille la» → hyperbolique attaquer Lisette et en même temps défendre Bourguignon «on dit que j'ai des emportements … surprise..» → reprend les termes de Lisette «on» un peu méprisant => hors de ses gonds a la fin de la r24 accumulation