Le Moine

engagements sacrés qu'on avait décidé de prendre envers le Dieu tout puissant ». - Le document concernant l'Auvergne, le 5 et le 6, sont des extraits d'une œuvre qui s'appelle Correspondance diplomatique des papes. Auteurs : Raoul Glaber : moine chroniqueur, né en 985 et mort en 1047. A 12 ans, il entre dans le monastère de St-Léger-de-Champeaux, puis de 1025 à 1030, il entre au monastère de St Bénigne à Dijon et enfin, en 1039, il entre au monastère de St Germain d'Auxerre. Ses chroniques

au mariage de sa cousine Irène avec le fils de Jean Cantacuzène, Matthieu. A leur retour à Constantinople ils firent face à une nouvelle crise tout à fait byzantine. La crise se base autour d’un petit groupe d’ermites (personne, le plus souvent un moine qui a fait le choix d'une vie spirituelle dans la solitude et le recueillement) orthodoxes appelaient les hésychastes. L’hésychasme, ou quiétisme signifie en grec « silence saint » n’est pas une nouveauté pour l’Eglise orthodoxe. Cette pratique spirituelle

La tentation de saint Antoine Jérome Bosch,1506 Huile sur toile, 131.5 x 53 et 131.5 X 119 puis 131.5 x 53 (ouvert) Musée national, Lisbone Le saint moine résistant aux assauts du mal omniprésent dans le monde sensible est le sujet apparent. Le thème de la passion et de la souffrance sert d'introduction au thème central du triptyque qui traite d'une autre passion : celle de la beauté du mal. Quel contraste en effet entre les deux scènes grises et désolées du triptyque fermé et la splendeur

dixième de leurs ressources à leurs hôtes, parmi lesquels on trouve très peu de vrais pauvres. L'exercice de la charité prend l'aspect de cérémonies annuelles où les moines lavent les pieds à des pauvres professionnels. La haute dignité qu'occupe le moine semble justifier son extraordinaire aisance matérielle. L'humilité est comprise comme une soumission au sort. Si celui-ci est favorable, il n'y a pas de raison de ne pas s'y soumettre également. Quand au travail manuel, il est rejeté comme indigne

VS Hommes utiles. - Pratiques religieuses jugées peu sincères : verbes péjoratif « tintinnabuler » - Moines sont des « trouble-fêtes », « mange-merde » et des « moque-Dieu » ← Registre satirique (ou polémique) II. Un moine au contraire de tous les autres : Frère Jean « Ce n’est pas le cas de notre bon Frère Jean » - Etre social, pas exclu, qui fait attention à son apparence : « honnête, joyeux, décidé, bon compagnon » -> accumulation d’adjectifs mélioratifs

Clairvaux donnera naissance à 68 nouvelles abbayes. En 1132 Bernard de Clarivaux va faire accepter par le pape l'indépendance de Clairvaux par rapport à Cluny. L'énorme renommé de l'abbé de Clairvaux va arriver au oreilles de Guillaume de Saint-Thierry, moine bénédictin, élu abbé par les moines de Saint-Thierry près de Reims en 1121. En 1118 il rends visite à saint Bernard à Clairvaux, avec qui il se lie d'une profonde amitié. Après une première lettre de l'abbé Bernard à Guillaume de Saint-Thierry où il

moines » ». En effet le fait de poser les quatre deniers (dit coutumier, c’est la cérémonie) en plus de montrer sa soumission (le serfs avait aussi parfois une corde au cou lors de la cérémonie), cela permettait de payer la redevance que l’on devait au moine, cette redevance était appelé Caput ou capitation (soit du au fait qu’elle était du par personne ou qu’on la posait sur sa tête). Mais de plus en plus souvent les hommes libres qui se faisaient serfs n’avaient pas à faire le geste de poser les quatre

de Nursie, aussi appelé Saint Benoit pour les catholiques, c'est le fondateur de l'ordre bénédictin il aurait vécu entre la fin du Ve siècle (naissance vers 480-490) et le milieu du Vie siècle (mort en 547). Il est considéré comme le patriarche des moine d'Occident, car sa règle a eu un énorme impact. C'est Charlemagne qui décida donc de faire de cette règle, la règle des moines de son royaume. « Des sages la portèrent à la connaissance des abbés et des moines. » (ligne 15) Les moines et les abbés

lettres étaient destinées. Certains ouvrages, comme LES ADAGES ou L'ELOGE DE LA FOLIE sont encore publiés de nos jours. BIOGRAPHIE : LA JEUNESSE D'ERASME esiderius ERASMUS, naît à Rotterdam aux alentours de 1467. Il est l'enfant naturel d'un moine copiste, ou d'un prêtre prénommé Gérard, et de Marguerite, la fille d'un médecin. Il a un frère, dont il ne dira que peu de choses. C'est en 1476 qu'il entre à l'école à GOUDA. L'année suivante il part pour Utrecht. En 1478 le jeune Desiderius rejoint

pratiques un tas assez gros pour surchargez sept navires », ou l'autre qui « se glorifiera de n'avoir pas touché à l'argent pendant soixante ans », il se moque de leur silence, pratique jugé inutile à la pratique religieuse par les évangélistes avec le moine qui aurait perdu « dans le silence perpétuel, l'usage de la parole ». Dans La critique de L'Eglise, l'on retrouve un argumentaire satirique visant les évêques, les cardinaux, les gens d'église. On y retrouve une critique vive des évangélistes au sujet